Pause Cigarette[ Pv Kazuko]

Akaime entra dans la cour, après avoir longé son long couloir qui liait aussi à l'infirmerie.
Elle était toujours en blouse blanche, par-dessus son haut noir, décolleté et son simple jean détaillant ses courbes, et les mains dans els poches.
La cour était vide, il n'y avait pour l'instant personne, c'étaient sans doute les cours à cette heure ci.
Elle avait le sourire aux lèvres, heureuse d'avoir un boulot super, des connaissances toujours aussi intérressantes et bien entendu, il y avait Brian... son "coup de foudre" d'amour.
Elle pouvait se dire qu'elle rêvait un véritable conte, mais elle n'était pas trop de ce genre là.

*Pense: bon allez, ma pause... sinon je vais être encore en retard, ne voyant plus le temps passer...*

Elle attrapa une cigarette de son paquet, et la posa délicatement sur ses lèvres roses.
Elle chercha son briquet dans ses poches et le sortit enfin, mettant le feu à l'extrémité et prit quelques bouffées, se détendant légérement.

Kazuko venait de finir son entrainement et sortait de la douche. Il avait vêtu un jean sombre et une chmise noire, les cheveux encore humides.

D'un pas rapide et très énergique, il vint s'établir dnas la cour pour fumer calmement son énième cigarette de la journée. Il fumait beaucoup plus depuis le décès d'Akyra. C'était inadmiscible mais avait-il le choix?

**Non... je dosi surveiller mes nerfs et la clope est le seul moyen Light que j'ia pu trouver pour le moment...**

Il soupira. Il avait multiplié les heures d'entrainement et les cigarettes pour tenter de rester calme. Tandis qu'il sortait une cigarette de son paquet, il réalisa qu'il avait oublié son briquet Il pesta rapidement puis aperçut une jeune femme qui lui était inconnue.

Il la rejoignit d'un pas léger et lui sourit chaleureusement.

-Bonjour... auriez-vous du feu apr hsard? J'ai oublié mon briquet...

Elle sortit de ses minimes pensées en entendant que quelqu'un l'interpellait, ce quelqu'un étant sûrement un étudiant, qui lui demandait du feu.
Elle sortit son briquet de sa poche, et l'alluma pour qu'il puisse approcher sa cigarette.

-"Voilà... je n'aurais pas cru qu'il y avait encore un étudiant par ici..."

*Pense: et un autre qui fume en plus... je devrais les compter dans cette école... enfin, ce ne sont pas mes poumons. Voilà un truc que je ne pourrais jamais soigner...*

Elle le regarda de ses yeux flamboyants, le sourire aux lèvres comme à son habitude, elle n'avait pas trop de quoi être extrêmement triste, même si tout dans sa vie n'était pas rose non plus.

Kazuko sourit gentiment en allumant sa cigarette. L'infirmière, car il avait deviné que c'était là sa fonction, semblait fort étonné de croiser un élève.
Il se gratta le fond d la gorge

-Disons que je fais partie des élèves qui ont le moins de cours... Je suis simplement le cours de la maîtrise de l'élément de feu et c'ets uniquement pour pouvoir rester dans cette école. Le reste de mes lessons sont par correspondance car je ne travaille pas au même niveau.

Il fit un sourire légèrement gêné puis recracha doucement de la fumée. La jeune femme était séduisante et semblait avoir bien vécu, ce qui lui inspirait un respect chaleureux et aimable.

Akaime continua à sourire, même à travers qu'elle aussi soufflait finement entre ses lèvres, mains dans ses poches, on ne pouvait pas se tromper sur son rôle d'infirmière, surtout qu'elle n'aimait pas trop mettre du blanc sur elle.

-"Mhhh... je vois. Bah... après tout, c'est toi qui vois, je ne suis pas surveillante, ni prof... et tu suis un cours très important, voir le plus important surtout si tu contrôles mal le feu, ou pas encore à la perfection."

Elle enleva la cigarette de ses doigts fins, et montra plus son sourire amical.

-"Je suis l'infirmière, comme tu as pu le deviner... Akaime Inochi... mais Akaime suffira amplement..."

Il rit doucement

-Ce n'ets pas un question de maîtrise du feu. juste d eplace ici. j'essaie de m'abaisser au niveau de me scamarades et de garder ma place dans cet internat. Quoi qu'il n'y ai plus rien de vraiment important.

Il sourit avec amertume. Puis regarda la jeune femme avec amabilité

-J'avais deviné en effet. Enchanté Akaime, je me nomme Kazuko Akata. Elève.

Elle le regarda du coin de l'oeil, et avait bien compris qu'il devait être meilleur que les autres étudiants. Mais, pour ce qu'il restait d'important ici...

-"Vraiment?! C'est dommage... je me demande alors pourquoi tu restes ici, si rien n'est plus important pour toi..."

Elle lui souriait de manière aussi aimable que lui, en se défaisant de la cendre de sa clope.

-"MOi aussi, j'avais deviné, Kazuko."

Kazuko se mordit la lèvre inférieure Cette jeune femme, si jeuen comparée à lui, n'était probablement pas la personne à qui il aurait du parler de ça, mais la jeunesse émotionnelle du garçon et le brouillon actuel de ses sentiments le poussèrent à se confier

-Il y a de sgens pour qui je dois rester des choses que je dois faire Mais depuis le suicide de d'une excellente amie, je n'ai plus vraiment le goût des choses Et cela m'agace

Il sourit tristement, recrachant à nouveau de la fumée, dissimulant son visage mélancolique derrière l'écran gris.
Il arqua un sourcil

-Aviez-vous deviné que j'étais le confident d'Akyra comme moi j'ai deviné que vous êtes la nouvelle amante de monsieur Connely?

Un sourire amer se dessina sur son visage. Se spouvoirs avaient cet avantage certain: celui de lui donner une longueur d'avance sur les autres. Cependant, même avec une longueur d'avance, il fallait toujours bien jouer pour la conserver

Elle souriait au jeune homme très perspicace dans ses propos et sans doute devin, elle le fixa de son regard rouge, sa clope entre les lèvres roses.

-"Quand tu m'as dit le suicide d'une fille, j'avais assez deviné de qui il s'agissait, puisque Brian m'en avait parlé... mais tu te trompes sur un point, Kazuko... ce qui montre que tu n'es pas aussi doué que tu le dis..."

Elle lui souriait avec un regard espiègle.

-"Je suis sa petite amie, compagne ou autre... au plus simple, nous sommes ensemble... et non pas son amante."

Akaime n'était certainement plus son amante, et ne l'a jamais été. Tout était maintenant clair entre Yuna et elle, et elle ne détestait pas Yuna, et réciproquement.

[Hj; sorry but ji vais a demain soir alors bye*]

Kazuko acqieusça en silence, un sourire triste e amer aux lèvres. On pouvait difficilement faire mieux dans sa situation

-Par le terme amante, je ne pensais pas à une union sexuelle... J'ai été élevé au milieu de gens assez à cheval sur le vocabulaire. L'amante dnas l'ancien langage et dans le langage correct d'ailleurs, signifie la compagne, l'aimée.

Il la regarda doucement, snas aucune trace de colère ou quoi que ce soit. Seul Brian avait le droit à sa colère... brian ainsi que tous les autres. mais pas elle, elle n'y était pour rien. il était égal à lui même.

-Je ne me permet jamais ce genre de terme peu glorieux envers des gens qui ne le mérite pas. ce serait mal me connaître que m'en penser capable Akaime.

Il cracha doucement de la fumée, ensorcelante et mortelle... tout comme il aimait penser qu'il était devenu.

Elle riait en l'écoutant, il avait vraiment de bonnes paroles au fond, et elle acquiesca de la tête ses propos.
Akaime admira la fumée errée autour d'eux, comme s'ils étaient pris dans un nuage grisatre, et personne n'était autour d'eux.
Akyra était donc la meilleure amie de Kazuko, et il devait sans doute aussi penser qu'elle s'était suicidé à cause de Brian.
Pourquoi ne pas s'en prendre à celle qui l'aimait maintenant?

-"Ah... je ne connaissais pas l'ancien langage, même le langage correct! Merci de ne pas me mettre dans ce groupe de gens peu glorieux alors!"

Elle lui souriait paisiblement, les yeux tournés vers le ciel, pourtant bleu, mais elle voyait beaucoup plus gris qu'autre chose.

-"Tu en veux à Brian, n'est-ce pas? Je pourrais le comprendre aussi que tu voudrais te venger... je ne me trompe pas, n'est-ce pas?"

Il lui rendit son merci d'un getse gracieux de la tête. on lui avait appris le respect d'autrui et le respect des femmes. Il s'y était toujours tenu si on omettait le passage avec Yuna. Alors elle prononça ce qui ne pardonnait pas. Ce qu'elle n'aurait pas du dire et qui allait, il le savait déjà, déclancher sa colère.

-En effet, j'en veux à Brian et j'estime que c'est justifié.

Il soupira doucement, se forçant à rester calme, sentant son corps se crisper entièrement, ses muscles se faisant douloureux.

-Et la vengeance est un acte bien puéril mais qui pourtant me plait. Donc non, vous ne vous trompez pas Akaime, mais vous êtes encore bien loin de la vérité si vous voulez mon avis.

Son regard se durcit, tentant désespérément d'avoir l'air impassible, mais c'était surtout sa colère, son amertume et sa sagesse qui transparaissait. Alors la vieillesse morale de Kazuko se faisait ressentir. On ne pouvait plus lui donner 17 ans.

Akaime le regarda, l'observa du coin de l'oeil, tous ses gestes même petits, ses sentiments sur son visage, et le ton de ses paroles.
Elle en fronca les sourcils, elle n'aimait pas voir ça, elle savait ce que ça voulait dire, et elle n'allait pas rester les bras croisés, à voir l'homme qu'elle aime se faire... descendre.

-"Oui, c'est justifié. Parce que son coeur ne ressentait plus d'amour... parce qu'il s'en veut encore qu'il en pleure... des regrets, une vengeance..."

Elle soupira tristement, et ôta la cigarette de sa bouche.

-"Je te préviens, Kazuko... et en toute politesse... vu que personne n'a encore rien osé faire... si tu tentes quoi que ce soit sur Brian... je serais là. Je ne compte pas regarder sans agir, surtout quand le seul homme que j'aime d'amour est la cible."

Elle le fixa du regard, elle n'avait pas peur, si... que le pire arrive, mais elle voulait que ce soit clair. Brian lui avait dit qu'il ne savait que peu contrôler l'air, mais il avait d'autres talents, c'était sûr. Mais, Akaime aussi... elle savait manier parfaitement la foudre, et même si ce serait à contre -coeur, elle saura réagir.

Un sourire amer étira le slèvre sdu jeune homme. Ainsi, elle pensait pouvoir faire quelque chose

-En premier lieu, je ne m'abaisserais pas à le tuer. Je n'aime pas me salir les mains sans raison valable. je ne fais aps partie de ces êtres minables qui ne pensent qu'au meurtre. Seulement, si j'ai un jour le moyen de le faire souffrir... Sachez que je sauterais sur l'occasion. Le reste du temps, je resterais fidèle à moi même. Seuls ceux qui l'ont fait souffrir volontairement risquent réellement quelque chose

Il rit tristement

-J'ai malheureusement trop de bon sens pour vouloir faire quoi que ce soit de vraiment horrible à ce très cher professeur, même si au fond je ne lui en souhaite pas moins.

De toute façon il savait que si un jour il voulait tuer Brian, personne ne serait assez puissant pour l'en empêcher. Sauf peut être Kokuryu ou Eden. Shaali et Horié aussi peut être. Mais les autres seraient impuissants. Kazuko n'était pas vraiment humain.

Akai lui souriait légérement, il était fidèle à lui-même, pourquoi pas... elle aussi, c'était pour ça aussi qu'elle lui disait franchement les choses.
Elle souffla la fumée et la respira à nouveau, tranquillement.

-"Je dois t'avouer que j'apprécie ce bon sens là... je voulais juste mettre les choses au clair..."

Elle posa son regard flamboyant droit dans le sien, apercevant son sourire toujours triste. ET elle reprit la parole avec une douce voix.

-"Pourquoi ton sourire a toujours cette même tristesse, Kazuko? Toujours et toujours triste..."

Il ferma les yeux un instant et tourna son regard sage vers elle

-Les choses sont claires. Je ne les voyais pas autrement de toute façon.

Alors elle lui demanda pourquoi cette tristesse... Il ne savait pas eactement pourquoi non lus, la mélancolie était sa meilleure amie. Elle avait toujours été là, aussi loin que remontait ses souvenirs émotionnels.

-Cette tristesse? Je ne saurais pas dire excatement. peut être parce que c'ets mon karma de souffrir... Ou d'être habité par des idées sombres.

Il grogna doucement, à peine, impuissant face à la réalité

-Que dire d'autre? La vie n'a pas vraiment de saveur, je m'y suis fait.

Elle tourna ses yeux vers un banc, et se posa, jambes croisées, clope à la main. Elle ne savait pas que quelqu'un pouvait penser ça de la vie. C'est vrai qu'elle n'était pas tout à fait agréable de temps en temps... mais en l'entendant parler si mélancoliquement et en le voyant, il le pensait pour toute une vie.

-"Tu sais... il y a une diffèrence entre être habité par des idées sombres et tout faire pour qu'elles ne partent pas de soi-même..."

Akai ne pouvait rien y faire, il était comme ça, elle ne pouvait pas le changer, et n'y songea même pas. Mais, qu'est-ce qui a pu le rendre tel quel ?

-"Je ne peux pas croire que la vie, comme tu en parles, existe... il y a peut-être des choses que tu possèdes ou des personnes qui t'apprécient, qui te font sincèrement sourire..."

Alors Kazuko planta son regard sombre dans ses yeux de feu et lui parla sérieusement

-J'ai fait des choses horribles autrefois... j'ai perdu goût à la vie en voyant les horreurs du monde. L'une des personnes que jaimais le plus a été assassinée et violée sous mes yeux, on ma fait subir des choses horribles pour sauver la communauté de moine à laquelle jappartiens. Les jeunes d'aujourd'hui veulent tous se suicider et les adultes veulent dominer le monde. D'ici un millénaire tout au plus la planète sera morte. un enfant meurt de fin toutes les 30 secondes, et on a plus de deux personnes qui meurent à cause du sida ou dun cancer par tranche de 5 minutes... où ets la beauté du monde?

Il soupira

-Le regard d'une femme qu'on aime, un moment de calme, une nuit douce ou encore la beauté simple des choses... où en est l'intérêt quand on peut savoir ce genre de chose? L'éphèmérité des choses me tient à coeur et j'ai appris à l'apprécier mais cette mélancolie qui m'habite ne me quittera plus jamais. je m'en suis rendu compte quand j'ai retrouvé Akyra. Vosu comprenez? Je l'ai tenu dans mes bras, morte, ensanglantée. tout comme j'avais tenu Kira 3 ans auparavant. Tout coimme on a failli me tenir tant de fois. Où est la beauté de la vie dans tout ça Akaime?

Il restait calme. Crachant la fumée de sa cigarette avec attention. De toute façon, plus rien n'avait d'importance

Elle comprenait bien tout ça, elle était infirmière et en avait vu des choses aussi tristes et horribles que ça, et en avait fait aussi des actes impardonnables en martyrisant tout le monde étant ado.
Elle avait perdu toute sa famille, à cause de son égoisme et son agressivité sans limite.
Akaime pouvait sans doute être bien placer, même si leurs vies n'ont pas été semblables.

-"Je n'ai jamais dit qu'elle n'était pas horrible par moment. Tu ne m'apprends rien Kazuko. Et tu n'es pas le seul à avoir des regrets du passé, des souvenirs douloureux, même si les miens ne semblent pas être plus important que tes paroles. Mais, tu comptes rester comme ça toute ta vie, mélancolique... triste, repensant aux personnes décédées à chaque seconde de ta vie, qui est déjà courte..."

Elle souffla et continua à lui parler sérieusement.

-"C'est aussi pour tout ce que tu dis que je voulais ête infirmière... tous les adultes ne veulent pas la domniation et la puissance après tout. Je ne compte pas laisser le monde partir en fumée... et encore moins cette seule école qui a voulu m'héberger... je tiens à tous les étudiants ici, je n'en comprends même pas le sens, car certains pourraient avoir de bonnes raisons de me poignarder au fond."

Elle en riait ironiquement en pensant au mal qu'elle a pu faire physiquement par le passé, et mentalement par le prèsent.

Kazuko rit avec ironie, presque moquerie.

-A mon avis Akaime, nous sommes loin d'avoir le même âge. Je ne suis pas sûr que vous sachiez de quoi vous parlez. Vous ne connaissez rien à la vie après tout. Moi même, il m'a fallu du temps pour en apprendre la saveur, puis pour m'en dégouter.

SOn regard se fit amer, dépité, presque enragé.

-Et il n'y a rien ou presque à sauver de cette planète. Vos rêves sont baux, mais ou vous mèneront ils si ce n'ets à l'échec? Carpe diem et oubliez la vie même, c'ets un conseil que ej vous donne

Il tira doucement sur sa cigarette. Il plaignait cette infirmière... Il al plaignait parce qu'au fond, elle se berçait dans de sillusions qu'elle savait fausses.

Elle se leva, n'en supportant pas plus, et le regarda, le défiant du regard, une colère enragée brillant dans ses yeux.

-"Oui, comme tu ne sais rien de moi non plus. Autrement dit nous nous connaissons pas, donc tu es bien gentil, mais sur ça tu n'as rien à dire, et surtout pas un conseil à rendre les gens abrutis."

Elle finit entièrement sa cigarette, et la fit disparaitre en fumée par un court jus en contact avec ses doigts. Elle ne se faisait pas d'illusion, et était terre à terre mais elle avait des buts dans la vie, et comptait bien les atteindre un par un.

-"Mes rêves... non pas des rêves... des objectifs.,.. et non pas menés à l'échec, surtout quand on ne fait rien. Si tu ne veux rien faire pour changer cette vie minable de mélancolie, restes dans l'ombre à repenser à tout ce que tu n'as pas pu faire, et tes regrets si tu en as quelques uns..."

Elle était de nature horriblement directe.

-"Ne fous rien, et regardes les personnes qui semblaient tenir à toi, partir... peu importe comment... mais je ne resterais pas les bras croisés, je réagirais, suivant mes intuitions."

Kazuko éclata d'un rire franc, amusé, toute trace de mélancolie effacée tandis qu'il scrutait le visage de l'infirmière avec un étonnement sans pareil

-Alors celle là, on ne me l'avait jamais faite! Puisque vous semblez être la première personne qui puisse tenir le coup, je vaus vous raconter brièvement ma vérité

Il se rapprocha d'elle tout en tirant encore sur sa cigarette

-Ma vision de la vie se rapproche de la votre à vrai dire. J'ai vécu des choses horrible smais à chaque fois j'ai connu autre chose pour m'en sortir. Je suis mort une petite quinzaine de fois et pourtant je suis toujour slà! Sans parler de l'amour, de l'amitié des gens, le fait d'en apprendre toujour splus. Mais cette mélancolie qui m'anime c'est le regret de constater chaque jour que la vie est trop courte. Et aussi une part de naissance je pense, mais ça doit être dû à ma nature même. rien de bien méchant, mon espèce à ça dans le sang.

Il sourit doucement

-ce genre de discours, je le tiens aux personnes souvent désillusionnées ou trop illusionnées qui n'iont ni assez de tripes ni assez de réflexions pour accepter la réalité des choses. J'avoue que ce n'ets aps votre cas, alors je vous dit ma vérité...

Elle respira un instant, se rasseyant, s'affalant sur le banc.

-"Merci d'avoir remarqué que je n'étais pas du genre à me faire des illusions... mais je te disais aussi ma propre vérité. Quant à accepter la réalité des choses... oui, sans doute."

Elle souffla du reste de la fumée grisatre qui restait en elle, souriant à Kazuko.

-"Mais, j'aime mieux voir un doux sourire qu'un sourire triste... après toutes ces paroles..."

Elle rigola sincèrement, et brièvement.

-"Je serais une bonne infirmière, je te dirais d'arrêter de fumer, tu sais. Mais... moi même, je ne le fais pas."

Kazuko sourit calmement. Cette jeune femme lui plaisait, elle était sincère, franche... amusante aussi. une personne comme il ne pensait pas en trouver à Kinako. Enfin pas maintenant et surtout pas dans ce contexte. Cependant il restait calme et regardait doucement la jeune femme.

-un sourire doux? Hum... je sais faire quand j'en ai envie

Il sourit, presque sans une once de mélancolie.

-De toute façon, que vous soyez une bonne ou une mauvaise infirmière, je continuerais de fumer, encore et encore...

Il rit, de façon discrète mais réelle.

-Rien que pour ce moment passé en votre compagnie, sachez que si jamais vous avez besoin de quelqu'un de très... compétent dans des domaines que vous ne pouvez atteindre, je vous aiderais dans les limites de mon possible... C'est votre récompense pour avoir écouté ma vérité.

il fit doucement un signe, très vif, mais concret, il scellait sa promesse comme il l'aurait fait avec un des siens... Car cette jeune femme en apprenant la vérité des Sunins étaient à présent conséidérée en tant que telle

Elle hocha la tête légérement, lui adressant un sincère sourire. IL n'avait pas un mauvais fond juste une belle mélancolie, mais... qui n'en a pas au fond? Personne, c'est un sentiment... humain après tout.

-"Je te remercie... je n'oublierais pas. Si j''ai besoin d'une aide, je viendrais te voir. Et qui sait... ça arrivera sans doute plus vite que je ne pourrais le penser..."

Elle soupira alors, en prenant quelques bouffées de sa clope.

-"Tu sais... Kazuko..."

Elle lui adressa un sourire, et un regard amicaux. N'est-ce pas mieux de voir un beau sourire, et entendre des rires... qu'un visage froid et n'écouter que des larmes couler? La vie est tellement courte, que l'on ne devrait pas la passer à la regretter, la pleurer, la détester... se venger... mais, et si jamais...

-"Tu as un beau sourire... j'espère que tu sauras le refaire mais pas seulement par envie... mais par habitude..."