Tornade de foudre

Ryusuko pénétra dans la salle d'entraînement. Depuis qu'il était ici, il s'était à pine entraîné mais il s'y connaissait quand même, grâce à son entrainement intensif au monastère. Le jeune homme s'avanca au centre de la pièce et concentra toute l'énergie de la foudre entre ses mains. Puis il les leva au-dessus de sa tête, ferma les yeux et sentit un frisson lui parcourir le dos, signe que la tornade de foudre se créait. Bientôt, l'élément dévastateur se mit à tourner à toute vitesse utour de lui et à l'envelopper complétement. Ryusuko tourna sur lui même au rythme de la tornad, puis produisit une violente explosion : en deux seconde, le phenomène avait disparu. Le jeune homme était agenouillé par terre, epuisé, mais heureux. Cela faisait si longtemps qu'il ne s'était pas autant defoulé !

Le torse se soulevant au rythme saccadé de sa respiration, yusuko tourna la tête et vit qu'une fille l'observait. Ne voulant pas avoir l'air d'un faible devant une fille (il avait sa fierté, quoi !), il se relva précipitament, s'éclaircit la gogre et lanca
Salut ! Tu as vue mon attaque ?
Il voulait savoir l'avis de quelqu'un d'extérieur, a vrai dire, il n'avait jamais vue une tornade de foudred'une autre façon qu'à l'intérieur...

Sora avait envie de s'entraine,sa fesais un moment qu'il ne s'etait entrainé,il arriva dans la salle et regarda...Tien il n'etait pas seul...il y'avait deux autre personne...il posa son epée a l'entre et s'approcha d'eux il resta a une certaine distance et s'inclina.

Bonjour desolai de vous deranger,utiliser vous la salle actuellement? si sais le cas je repasserai plus tard.

Il se redressa et attendit sa reponse.

Ryusuko vit apparaitre dans l'encadrement de la porte une nouvelle personne, un mec cette fois. Il répondit poliment
Oh, tu peux venir si tu veux, cette salle est bien assez grande !
Il se pencha un peu et appercut l'épée appuyée contre le mur. Elle était superbe, la lame eguisée au maximum et la brillance de la garde soigneusement nettoyée montrait que son propriétaire y tennait comme à la prunelle de ses yeux, ce qui n'était pas étonnant, car l'objet était magnifique.