Toi et moi (pv Alexandre)

Ilecouta Mao sans sourire de rien

-Euh ,non j'ai rien .Mais pouruqoi tu dit que je vait pas bien au juste .


Il n'avait pas envis d'aller d'aller a la cafet'.

-Ca me dit rien merci quand meme.

Il remis sa chemise et son jean's et dit

-Tu m'en veut beaucoup?

A present, c'était elle qui essayait de se disculper
Ben je vois que tu souris plus, tu dis plus rien, tu pleure même, alors moi je m'inquiéte !
Elle baissa les bras, découragée.
Mais non je ne t'en veut pas, pas quand tu me regarde comme ca...

il esquica un leger sourire

-Sij'suis comme ca c'est parceque je regrette de t'avoir dit ca.

Si Alexandre avait reagis comme ca c'etait parce qu'ilavait peur veuille dire qu'ils sortiraient ensemble.il avait vecu de trop mauvaise experience pour risquer que ca arrive a nouveau .

-Ca me rassure parce que je me suis comporter comme un con etje veut pas que tu croivent que j'en suis un.

Mao sourit devant son air abattu : il était encore plus mignon comme ça.
Allez, c'est pas grave, bon alors tu veut aller te coucher et me laisser toute seule ? Tant pis, on est potes, hein ?
Sur ce, elle lui fit un petit baiser sur la joue, et tourna les talons, sans pour autant partir, car elle était hésitante à le laisser tout seul, triste et déconfit.

Il sourit legrement

-Je vait pas aller me coucher tout de suite j'croit que je vait aller faire un petit tour d'abors.

il etait content qu'elle ne fut pas rancuniere. Il enfila rapidement ces basket et regada Mao

-Quesqu'il y a ?

Elle le regarda tristement, et dit d'une voix morne
Je n'ai pas envie de te laisser tout seul.
Mais elle savait que les garçons comme les filles avaient besoin de solitude, et elle lanca donc avant de partir
Bon, ben...aurevoir !
Elle fit bonne figure jusqu'aux dehors, mais dés qu'elle fut hors de sa vue, elle fondit en larme ; il était triste, et elle ne voulait pas qu'il soit triste.

Juste a se moment laAlexandre sortie et posa ses main sur les epaules de Mao

-Pleure pas !

Il laissa glisser sesmainle long de ses bras et unefois arriver au mainil les sasit

Mao leva les yeux et se dit en son fort intérieur
J'ai vraiment l'air trop conne !
Elle serra les mains, puis les enleva, gênée. Avec l'humeure changeante du jeune homme, elle avait presque l'impression de ne pas le connaître. Elle ravala sa salive et le regarda péniblement dans les yeux
Il...il faut vraiment que j'y aille. Si tu ne veux pas venir boire un coup à la cafet', alors salut !

-C'est moi qui l'air con

Ilregarda lajeune fille sans un sourire

-Non desoler,je suis fatiguer je croit . Je vait rentrer . Ala prochine alors

Ilârtie en direction des doirtoirs sansse retourner.

Mao partit à son tour, pas fâchée d'aller se coucher. Aprés un long bâillement, elle alla dans sa chamabre, les cheveux encore trempés par l'eau de la source.