De retour dans la chambre après une longue journée

Après être partie de la chambre, Michiyo était allée d'abord aux sources thermales puis elle avait fait un tour en ville et était même allée jusqu'à la plage.
Ensuite, elle était allée en cours, puis en salle d'entraînement à cause de l'urgence de se contrôler, et enfin en boite de nuit. Elle irait bientot manger à la cafétéria.

Il faisait de nouveau nuit, elle avait passé une nuit blanche et n'avait donc pas encore dormi depuis son arrivée.

Il se faisait tard, son collocataire devait être là, elle supposa qu'il dormait, elle ne savait pas si elle était prête à l'affronter, mais elle n'avait guère le choix.

Elle trouva madoka endormi, elle réussit à ne pas le réveiller, posa un léger baiser sur sa joue, lui souhaita de beaux rèves, et ce sans même le réveiller, il avait le sommeil lourd.

Michiyo s'allongea donc et s'endormit aussitôt pour ne se réveiller que le lendemain matin, elle ouvrit les yeux, et chercha si Madoka était toujours là où s'il était sorti.


[HJ: j'ai ressenti le besoin de mettre de l'ordre dans les actes de Michiyo et j'avais envie de la faire un peu évoluer, avant de pousuivre sa relation avec Madoka, j'espère que ca te conviens...]

Madoka,comem tout le monde le sait(évidemment), est un lève-tard.Il baîlla un grand coup,déployant ses longues jambes et ses bras fins,les cheveux en bataille.D'un oeuil morne il observa tout la pièce plongée dans le noir avant de se lever et de s'étirer lentement,ses muscles ankylosés par la nuit:
Crevé moi,j'me souviens qu'aprés que Michiyo s'est enfuie,j'me suis endormie comme une masse et tout habillé en plus...
Sans regarder s'il y avait quelqu'un dans la chambre il enleva son tee-shirt,exhibant ses muscles,pectoraux d'acier mais aussi ses piqures aux bras.Il les regarda en silence avant de se diriger toujours torse nu vers la fenêtre et de l'ouvrir avec un grincement pour dénuder le ciel d'hiver un peu frisquet aus oleil peu apparent.Lumière faite ,il promena son regard sur sa chambre d'internat,peu habitué à la voir,dans le lit de la jeune fille il aperçut une forme en train de s'évéiller avec des mèches vertes dépassant de sous la couette:
Tiens,elle est rentrée finalement,j'me suis fait des fausses idées toute la soirée...
Il s 'accouda à la rembarde de la fenêtre,souriant,ses cheveux courts dorés volant dans l'air froid et toujours torse nu,les traits tirés:
"Bonjour Michiyo,bien dormi?"

Tandis que Madoka commmencait à se déshabiller, Michiyo l'observa du coin de l'oeil, elle était toujours allongée, et elle trouvait la vue fort agréable.
Soudain, tandis qu'il s'accoudait à la fenêtre, elle remarqua des traces sur le bras du garcon, sans même y penser, elle se leva d'un bond, lui agrippa le bras avec violence et autorité, et lui lança, presque méchante:

"Qu'est-ce que c'est que ca? Ca va pas, t'es pas bien? Comment tu peux te faire ce genre de chose?"

Tandis que la jeune fille l'agrippait avec violence,madoka eut un sourire las,elle allait le détéster c'est sûr,lui et sa réponse:
"Michiyo,je ne voulais pas que tu le sache mais maintenant mais je crois que je n'ai plus le choix:je me drogue depuis que j'ai 9 ans à l'héroïne,c'est dû à de mauvaises fréquentations,j'aimerai arrêter mais je ne peux pas..."
Il dégage son bras avec douceur de celui de la demoiselle,baissant les yeux humblement:
"Tu dois trouver ça pitoyable mais c'est la verité...Je pense un jour pouvoir en sortir ,pour l'instant l'espoir est mort"
Il passe un main dans ses cheveux,baîllant.

Michiyo n'en croyait pas ses oreilles.

*Il ne voulait pas que je le sache... et comment il aurait fait ca? Un jour notre relation aurait forcément évolué, et je m'en serais bien rendue compte un jour ou l'autre... sous la douche par exemple...*

"9 ans? c'est très jeune... comment ca s'est passé? comment tu as pu te laisser enbreinguer de cette facon à cet âge... la sagesse ne t'a-t-elle donc jamais touché?"

Michiyo était décue, elle avait cur que les choses se feraient toutes seules... mais malgré cela, sans même prendre le temps d'y réfléchir, elle avait décidé qu'il allait arrêter, et même si elle doit le harceler pour cela.

Elle le regarda d'un air désolé, un nuage de buée triste dans les yeux.

"Je peux savoir pourquoi tu ne peux arrêter, tu es sur que ce n'est pas plutot parce que tu ne le veux pas?"

Elle avait été dure, son ton se calma et elle le rassura:

"Je ne me permettrais pas de juger tes actions passées, je ne connais rien de ta vie et je ne peux donc pas comprendre. Cependant, il est clair que tu vas devoir m'expliquer."

Elle eut un mouvement de recul et de déception en l'entendant parler avec si peu de confiance, de croyance et de désespoir. Elle savait à quel point l'espoir était une chose essentielle, elle en avait eu tellement besoin tout au long de sa jeunesse. Mais elle ne pouvait pas supporter de voir ca.

Elle prit le tee-shirt du jeune homme, et sans le lui dire, lui tendit et lui fit comprendre qu'il était préférable qu'il le remette. Elle s'approcha ainsi de lui et lui déposa sur la joue un baiser d'une douceur extrème avec l'espoir qu'un jour il comprendrait que l'amour était la bien meilleure de toutes les drogues, (l'amour et non le sexe). Elle allait devoir le convertir.

Madoka enfila son tee-shirt,conscient d'avoir déçu la demoiselle,dans ses yeux si doux il voyait à présent des larmes...Il soupira et quand le baiser effleura sa joue,il comprit qu'il pouvait se faire pardonner.Il se posa sur son lit défait,invitant d'un geste de la main Michiyo à faire de même:
",Ce ,'est pas une story de sagesse,c'est une longue histoire qui commence à ma primaire,j'ai toujours été un enfant influençable et j'ai grandis dans un quartier peu fréquentable où la violence et la drogue régnaient en mâitres,une sorte de Harlem japonais s'tu veux.Je me battais avec mes poings,me protégeais avec ma carapace mais j'étais seul.J'ai commencé à traîner avec des gens plus âgés que moi,je me sentais en sécurité avec eux,ils repoussaient les "méchants",je crois même m'être rendu compte que l'un possédait un pouvoir,celui du feu,il s'appelait Sasuke,c'était mon meilleur ami de l'époque,j'avais 9 ans,lui il en avait 15...C'est différent mais bon...je l'adorais,moi l'enfant unique sans famille ou presque.Mais...mais...une jour on a retrouvé Sasuke mort dans son appartement,à cause d'une overdose de cocaïne,je n'ai rien compris,trop jeune.Tout a coup tout la bande s'est tourné vers moi et l'hiver de mes 9 ans,j'ai appris que Sasuke avait été un dealer et que je devais prendre sa suite...C'est ce que j'ai fait mais j'utilisais ma marchandise en grande partie sur moi,le poid du stress était impossible à supporter et je continuais à me piquer jour aprés jour,j'en suis toujours sorti vivant mais mes notes scolaires s'en ressentaient alors voilà...J'ai abandonné le deal y'a trés peu de temps mais mes parents n'ont pas voulu me croire,que j'avais arrêté les conneries et m'ont envoyé ici...Je continue maintenant,la piquouze, car cela me fait penser à sasuke et jamais je n'ai été aussi proche de lui depuis tout ce temps .Mais il est mort et je dois passer à autre chose.Te sens-tu capable de m'aider?"
Il serra ses mains sur le draps,souriant légérement,mal à l'aise et triste,anxieux de sa réponse à venir:
Elle va me jeter c'est sûr...

Suivant le geste de son collocataire, Michiyo s'assit lentement aux côtés de Madoka sur son lit en poussant un léger soupir, mélange de patience, de curiosité et d'appréhension.

Elle l'écouta avec attention, avec respect aussi, elle voulait comprendre et ne l'interrompit donc pas pour s'assurer qu'elle ne le perturberait pas et ne le couperait pas en cours de route:

*Autant qu'il vide son sac, sans que j'aie à le forcer, c'est mieux.*

Elle le regardait par intermittance, un regard vers lui puis un regard sur ses chaussures, comme pour fuire, mais cela n'était pas vraiment le cas.

A la fin du récit douloureux et, elle l'espérait, honnête de Madoka , Michiyo avait la gorge serrée.

Elle tenta après un long silence de le réconforter:

"Tu dois faire ton deuil, je comprend. Mais tu dois trouver un autre moyen de te souvenir de lui, c'était une personne très importante pour toi, alors je ne crois pas que tu puisse l'oublier et passer à autre chose aussi facilement.
Il faut que tu puisse te souvenir de lui de manière positive et non à travers la drogue."

Elle hésitait à dire le fond de sa pensée. Mais elle se ravisa, elle ne voulait pas le faire fuire, ni provoquer qu'il se ferme à elle. Il était déja sur la bonne voie, elle ne devait ni ne voulait gâcher ca.

En ce qui concerne la question du garcon, elle n'était pas sûre d'être de taille et répondit donc simplement:

"Tu verra bien!"
en tentant de lui sourire, mais elle ne trouvait pas assez de joie en elle à ce moment précis, elle avait des doutes, peut-être même trop de doutes.

Un idée lui vint cependant à l'esprit, après tout n'avait-elle pas besoin d'un cobaye, et Madoka avec sa carapace et ses problèmes n'était-il pas le candidat idéal?

Elle sentit les mains du garcon se crisper, mais ne fit rien pour qu'il se détende trop absorbée par ses propres pensées.

Il leva la tête ,étonné:
"Tu as raison mais Sasuke c'était Sasuke et des fois j'ai l'impression qu'il est encore là,prés de moi,à me murmurer des conseils à l'oreille..."
Il lui sourit et décrispe ses mains,prenant celle de Michiyo entre les siennes:
"Je crois que je t'adore ma princesse...Je veux t'aider à devenir "normale"...à réaliser ton souhait."

Michiyo savait bien que la vie était difficile. Mais elle commencait aussi à comprendre qu'il fallait l'affronter pour pouvoir avancer et en profiter.

"Je sais bien oui! Tu devrais peut-être écouter Sasuke."

Elle réfléchit et se dit que peut-être ce qu'il entendait n'était pas positif, alors elle s'en assura:

"Quel genre de choses te dit-il?"

Elle rougit devant cette déclaration:
*il m'adore alors qu'il me connais à peine...*

Elle le prit dans ses bras un court instant et lui dit en le regardant droit dans les yeux:

"Alors on s'aidera mutuellement, c'est plutot un bon compromis?"

Au fond d'elle-même, elle savait très bien qu'elle ne serait jamais normale mais l'intention de Madoka la touchait énormément. Du moment qu'elle pouvait être meilleure...

Un petit sourire narcois sur son visage:
"Et bien ,c'est uen façon de parler car à l'époque Sasuke me donnait beaucoup de conseils et aujourd'hui quand je suis dans les mêmes situations qu'autrefois j'ai l'impression que sa voix me les répéte encore avec la même intonation...Rien de plus,je ne porte pas un revenant dans mes poches^^"
Il l'enlaça à son tour:
"C'est parce que c'est ce que je souhaite vraiment,j'aime trés facilement,c'est un défaut,mais j'adore encore plus rapidement,les sentiments pour moi?Ce n'est qu'un jeu,un jeu inutile et ennuyeux.Ce que j'ai c'est une parodie,je ne connais pas de véritables amours...Toi,il faut que ut vive,que tu te dévelloppe et un jour,j'ne suis sûr,tu deviendras une grande et belle jeune femme...plus puissante et charismatique que toutes les autres..."
Il lui fait un baise-main,ses yeux dans les siens,lui a dressant un sourire charmeur:
"je suis fier de vous servir ma princesse..."

Le sourire de Madoka lui parut étrange, elle ne comprenait pas très bien ce qu'il signifiait.

"Considérer l'amour comme un défaut, c'est pas un peu trop... spécial. Les sentiments ne sont pas un jeu."

Elle était choquée des pensée de Madoka, elle n'était pas du tout ce genre de personne, elle connaissait rien à l'amour, mais elle y croyait dur comme fer.

"Les sentiments ne sont pas ennuyeux. Tu dois être bien blasé pour penser ca! C'est hors de question pour moi. Je n'ai jamais eu la possibilité de ressentir quoique ce soit pour quelqu'un sans que cela se termine par un désastre, à l'exception de mes soeurs bien entendu."

Michiyo était sur le cul que le jeune homme en soit réduit à me plus croire à l'amour, avait-il donc tant souffert? Elle n'en savait rien, mais elle s'en doutait d'après ce qu'elle savait de lui.

Elle rougit sous les compliments ardus de Madoka. Elle ne croyait nullement en ce qu'il disait, elle ne voulait pas devenir puissante ni même charismatique, elle voulait être maitresse d'elle-même. Rien de plus.

Le sourire charmeur de Madoka n'eut a ce moment-là aucun effet sur Michiyo, elle était bien trop perplexe, même si le contact des lèvres du garcon fut fort doux et agréable.

"Je ne suis pas une princesse. Tu devrais être fier de toi, tu ne me connais pas encore assez pour être fière de quoi que ce soit que je puisse faire. Je suis quelqu'un de très autonome, mais je ne suis pas encore fière de moi, et j'ai encore beaucoup de travail pour le devenir."

Michiyo ne se tenait pas en très grande estime, mais elle avait bon espoir, et Madoka, quant à lui, devait être bien désepéré pour avoir ce système de pensée.

(desperate housewife?Ben moi sh'uis un desperate houseman^^)
Son sourire s'effaça aussi vite qu'il était venu:
Je suis d'un naturel charmeur...et alors?
Il se remémora le visage de Sasuke avec nostalgie,se demandant ce qu'il ferait dans ce cas-là...Brouillée, l'image apparut devant ses yeux fatigués et lassés:un grand gars aux cheveux longs ,noirs,à l'apparence assez féminine,aux yeux sombres et ténébreux,charismatique,un leader u visage d'ange,qui aurait cru qu'il partirait d'une manière aussi...bête et inutile?Il aurait pu devenir l'un des plus grands.Madoka soupira profondément,que faire?:
"Je n'y peux rien crois-moi et toi tu es toi,moi je suis moi,nous sommes ce que nous sommes,rien de plus rien de moins...
L'amour?pfff...un sentiment féminin...
Il la voyait rougir avec innatention,ses pensées concentrées sur un seul but:avoir la vie sauve,comme avant.Ils e sentait braqué sous les questions de la demoiselle et savait que ses nerfs n'allaient pas tarder à craquer...Qu'elle s'étonne qu'il en puisse pas aimer?C'est un plan galérien,pourquoi s'encombrer de sentiments alors que la moitié de la planète se tape dessus.Il s'était trompé un fois de plus,elle n'était peut-être pas celle qu'il attendait avec impatience:
"Tu ne ressens d'amour qu'envers une de tes paires alors..."
Il tut la fin de la phrase,pensant le reste:
...Deviens lesbienne...
"Ce n'est pas une question d'amour,les hommes n'ont pas été conçus pour aimer mais pour produire alors fi de ces "sentiments" qui nous alourdissent,l'affection est un poid insurmontable...L'amour rend bête,idiot,incompétent...Quand tu vois toutes ces filles qui collent un mec jusqu'à l'écoeurer ça me rend malade...Ca fait pitié"
Je m'en suis trop rendu compte quand Sasuke est mort,il avait sa cour d'admiratrices...Je vais reprendre son métier ingrat,quitter cette école qui ne m'aidera pas...Trop de temps s'est écoulé depuis que j'ai quitté l'enfance et rien ne me poussera à y revenir,à encore essayer de croire que l'on peut vivre d'amour et d'eau fraîche,pas même toi Michiyo...Pas même toi...
Il se rendait compte que ses paroles dures pouvaient la meurtrir à jamais mais...il se retrouvait,tel qu'il était,un lâche...
Il repensa à une jeune fille de primaire qu'il avait vu de loin,une rousse,il l'avait enviée sur le moment,elle était entourée de monde,captait l'attention mais la solitude vaut mieux que perdre un jour tout ce que l'on a de plus cher...Parce que,quand il a commencé à dealer,la bande s'est détournée de lui,le prenant pour un "grand" en aucun cas encore un petit enfant de 9 ans qui fait un métier dangereux,les gens ne se méfiaient pas de lui...Il baissa les yeux,cachant un sourire:
"Je suis honnête,crois-tu que je t'aurai dis ce que je pense sans avoir confiance en toi?J'ai trop menti,sur la marchandise,je me suis menti à moi-même,j'ai préférer rester aveugle alors donner le bonheur à quelqu'un est-ce immoral?Je préfére quand tu souris..."

Michiyo était un peu perturbée, elle ne comprenait pas très bien où il voulait en venir, elle avait les larmes aux yeux. Elle se leva et alla s'allonger sur son lit. Elle était décue. Ce garcon ... elle ne savait pas comment faire... il était trop perturbé.

Cependant sa dernière phrase l'interpella, elle répondit avec véhémence et un brin de colère dans la voix:

"La vérité, c'est que tu n'as plus confiance en personne depuis le grand drame de ta vie, et aussi que tu refuse d'accepter et de faire ton deuil. La drogue n'est pas du bonheur, c'est un paliatif, une facon de faire semblant d'oublier, alors que ce n'est pas le cas. En vérité, tu ne fais que fuire."

Elle lui tourna le dos, elle n'était pas sure de dire ce qu'il fallait, mais elle ne voulait pas qu'il se braque, elle refusa de philosopher avec lui, il avait peut-être bien connu l'amour, mais elle non, elle ne voulait pas passer à côté de l'amour, elle voulait aimer, ce n'était pas l'unique raison de sa venue, mais elle gardait toujours l'espoir, et elle sentait au fond d 'elle même que Madoka n'avait plus d'espoir pour lui-même , il en avait au moins pour les autres.

J'en étais sûr...
Il se lève lentement,l'air sérieux,ouvre la fenêtre et prend une grande inspiration,il monte sur le bord ,le tee-shirt agité par des courants d'airdéplie les bras et saute dans le vide(depuis le 7éme étage)...
Mon signe est l'air c'est normal que je parte ainsi,j'en ai marre...
Malheureusement,sa carapace se forme automatiquement au fur-et-à-mesure qu'il tombe et il atterit en douceur sur le sol de l'internat..
"Putain,j'peux même plus me suicider en paix!!!!!!Il faut toujours que ce foutu truc se mêle de tout!!"
Il lève la tête vers la fenêtre,les yeux tristes,étant sûr que Michiyo ne s'était pas inquiétée puis il part en courant vers la forêt...vers de nouvelles aventures,avec un peu de chance moins sombres...

Michiyo s'était bien entrainée, et elle sauta pour rattrapper Madoka qui était passé par la fenêtre presque sous ses yeux, elle poussa un hurlement, puis créa un vent de force continue vers le haut sous elle, pour faciliter son atterrissage, elle arriva au sol et vit Madoka s'éloigner en courant, elle lui cria:

"Enfo**é!"

Elle s'efforca alors de remonter de la même manière qu'elle était descendue, en créant un vent susceptible de la porter, il lui fallu bien deux heures pour réussir un tel exercice, elle avait prit sa patience à deux mains, elle y allait progressivement trouvant la force de monter de monter toujours plus haut et de passer devant toutes les fenètres des différents étages avant d'aggripper enfin la fenêtre de sa chambre.

A Bout de souffle, elle s'allongea sur son lit de nouveau, elle n'eut même pas le temps de réfléchir, qu'elle était tombée dans le royaume des songes.