Le commencement
New York, 2005
Un homme marchait dans la rue. Issu d’une famille les plus normales, Tom avait premièrement vécu subtilement, à l’abri des regards, des moqueries des autres, malgré son caractère timide et peu ouvert. Puis, l’école secondaire arriva, où notre ami se fit moquer de lui en tant que "boulette", "gros tas" ou encore "d’obèse" se qui n’améliora pas son caractère. Devenu farouche autant que fragile, il a sut tout de même bâtir sa vie, gravir peu à peu les échelons. Toujours un peu rondelet, mais très fort, Tom travaille maintenant fièrement pour la police new-yorkaise depuis quelques années.
L’homme se dirigea vers sa pâtisserie préféré, à huit heures du soir, avant de retourner dans sa voiture de police. Il savoura son beignet fourré à la crème anglaise, puis reçu un appel :
" Un cas urgent dans le secteur de Time Squares, je veux cinq voitures avec moi et des hommes armés, nous avons à faire à une prise d’otage "
Le policier, habitué à se genre d’interruption, jeta sa pâtisserie à contre cœur et alluma ses gyrophares bruyants en direction de Time Squares…
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La rencontre
Donc, rapidement, il se dirigea entre la 50ème rue et la rue principale. Tom se faufila entre les automobiles avec aisance, familier à ce genre d’interventions. Le policier se rendit au bâtiment précis où il y avait déjà plusieurs voitures blanches, bleus et rouges. Le chef leur cria d’entrer à l’intérieur, car, les autorités avaient essayé mais les ravisseurs étaient restés, bien cloîtrés à l’intérieur du vieux immeuble.
Après avoir mit son gilet pare-balles et remplit son revolver de balles, Tom entra prudemment, ainsi que ses confrères le suivant.
"Police, ouvrez cette porte"
Cria celui-ci, sans résultat. Il répéta la phrase, mais sans succès, l’homme enfonça la porte avec son pied. Le spectacle qui suivit le terrifia, mais il ne resta rien paraître. Trois jeunes femmes nues, retournées sur le sol, un fou brandissant son pistolet au dessus de leurs têtes.
"Monsieur, lâchez votre arme, tout vas bien se passez…"
Dit-il, essayant de le faire le plus doucement possible, sachant que toutes leurs vies étaient en péril. Il répéta cette phrase plusieurs fois, mais, le psychopathe n’avait pas l’air de comprendre, gardait toujours son air colérique. Puis, le fou tira dans la tête d’une jeune femme, prise au hasard. Tom s’élança vers le ravisseur, pour le désarmer, pour le tuer, mais trop tard,… il venait de recevoir une balle dans la tête.