Et une nouvelle arrivée. UNE! [Open]

Samedi 19 Février à 14H32.

Samedi le jour des arrivée, les bouchons, une voiture plutôt classe se gara non loin du parking, celui-ci étant plein. Dans cette voiture au vitre teinté d'une couleur sombre, un chauffeur, munit de gant blanc, tout ce qu'il y a de plus classe au monde ouvrit la portière arrière gauche, puis d'un geste galant de la main fit signe au passager de sortir. Mais, la portière droite s'ouvrit et tout souriant Akira sortit, c'était le coup traditionnel qu'il aimait jouer à son chauffeur, n'aimant pas être traité comme un prince, alors qu'il n'a rien fait pour. D'un geste rapide et précoce de la main il ouvrit le coffre et y sortit une énorme valise. Lui, contrairement à tant d'hommes avait besoin de beaucoup d'affaires, il en avait tellement. D'un geste plutôt amical, il fit signe à son chauffeur un bref au revoir et tourna les talons. Il avait tout ce qu'il lui fallait et n'avait rien oublié. Cependant, une fois tourné vers les portes du pensionnat, il se dit qu'il aurait pu peut être être plus aimable avec son chauffeur que ses parents traité comme un domestique. Au fond c'était un domestique mais pas un chien. Il posa sa valise à terre pour se retourner. Il était toujours là, par politesse. Il se dirigea vers lui et d'une poignée de main amicale il lui glissa dans celle ci quelques gros billets qu'il avait dans la poche de son manteau. Il n'avait jamais était très fort dans les excuses ou dans les paroles, c'est pour ça qu'on disait de lui qu'il était maladroit. Mais certainement que ces billets qui était peut être la moitié de sa paye mensuel, pourrait aidé sa famille à vivre plus aisaiement ce mois ci.
Il eu en échange un sourire, qui était rempli de sous entendu. Sur ce il repris sa valise en main, et se dirigea d'un pas sûr et décidé les marches de marbre du pensionnat.
Voilà qui s'avançait dans la salle commune, un jeune homme sur de lui. Avec une allure plutôt soignée. Il portait un jean qu'il avait déchiré à certain endroit, particulièrement à l'arrière au niveau de ses cuisses laissant apparaitre son sous vêtement. Les trous étaient faits exprès de façon à donner un "style" différent. Sur les genoux des traces de couleurs fluo, du jaune et du rose principalement. Son tee-shirt étant caché je me passerais la description^^. Son long manteau, lui descendait jusqu'aux genoux, là aussi il l'avait modelé à sa façon, laissant le côté classe du manteau noir et la touche personnelle de couleurs dans le dos, où il avait dessiner avec talent une croix ainsi que quelques inscriptions illisibles. A la main toujours sa mitaine de cuir qui faisait très "armure". Ses cheveux étaient ébouriffés mais coiffés, il avait cette manière de les peigner...

Ce jeune homme là, était bien Akira, qui poussa du pied la porte entre-ouverte. Histoire de bien situé où il est, il posa sa valise sur le bord et tourna le regard partout, c'était une belle pièce qui regorgeait de gens tous aussi pareil, la dernière mode. Aucune personnalité. Apparemment ce n'était pas ici l'entrée principale, car il était bien le seule à porter un valise.
Il s'appuya décontracté contre le mur, pour observait les gens lui passait devant, le regarder avec stupéfaction. Il comprenait pas ce comportement, pourtant il était bien Homme pas Martien. Les gens le faisaient bien rire même si parfois ça l'inquiéter plus qu'autre chose.

Au bout d'une bonne dizaine de minutes ou peut être moins, une personne qui, aller plutôt vite trébucha sur sa valise pourtant rangée sur le côté. Il fut en premier temps surpris, puis il s'approcha lentement et sourit bravement.Tournant son regard clair caché par quelques mèches rebelles vers celle-ci. C'était une personne plutôt jeune, c'était déjà pas un pion ou autre, enfin d'après le peu qu'il voyait d'elle, à cause des nombreux passages et des rayons de soleil qui lui tapait avec violence dans ses yeux bridés. Il tendit une main sûre en direction du sol. Attendant tout geste.

[Qui veut post, c'est totalement LIBRE. Please assez bon rp, enfin normal quoi x'D]

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

La porte était déjà entrouverte. Elle la poussa donc avec maladresse, manquant de se la prendre en pleine tête.Les élèves déja présent la remarquèrent à peine. Elle avançait tranquillement mais sûrement dans le couloir menant à la salle commune. Avec sa musique sur les oreilles, à un niveau de décibels bien trop élevé par rapport à ce que l’on recommandait, Andrea ne remarquait rien ni personne. Une besace multicolore bougeait au rythme de ses pas. Elle portait en ce jour doux mais imprévisible, une jupe noire découpée au niveau des genoux qui laissait pendre des lanières en cuir qui descendait presque jusqu’à ses chaussures décorées avec du feutre. Son tee-shirt était déchiré au niveau du cou, laissant ses cheveux retomber dessus.

Andrea n’avait pas remarqué la présence d’une personne, et surtout de sa valise, non loin d’elle, et lorsque la jeune fille passa près de l’inconnu, elle sentit le sol se dérober sous ses pieds. Elle atterrit sur le sol avec un magistrale « VLAM » accompagné d’un charmant « ET MER** ».

Revenons au pourquoi du comment de cette situation.

Andrea s’était levé avec la forte conviction que la journée serait aussi banale que les autres. Coup de chance ou très bon instinct, sa matinée s’était déroulée aussi monotonement que les autres. Vadrouillant entre le parc, le lac, le hall et autre endroit susceptible d'y croiser une connaissance, la demoiselle n'avait rient trouvé. En début d’après midi, alors que le soleil tapait assez fortement, la demoiselle cherchant des gens, alla direction la salle commune. Elle entra donc, et n’y vit que quelques personnes ou Andrea ne saurait pas mettre de nom sur leurs visages.

Rien n’avait changé depuis hier, et rien ne changerait demain. C’est avec cette phrase en tête que la demoiselle avança vers un coin de la salle sans jamais remarquer qui que ce soit.
La suite vous la connaissez. Elle ne remarque pas la charmante valise, trébuche et s’étale par terre avec autant de discrétion quelle put.

Relevant son visage marqué par la moquette, Andrea se retourna vers le propriétaire du bagage et regarda la main qu’il lui tendait avec un sourire plutôt brave. Elle la prit et se releva, époussetant ses vêtements avant de dire :

« Ne vous en faîtes pas, la moquette est de charmante compagnie quand on sait lui parler ! »

La demoiselle avait lancé cette phrase d’un ton plutôt ironique, mais s’empressa de sourire pour atténuer l’effet de sa mauvaise humeur.

[Merci d'avoir posté Miss ^^]

Le soleil brillait de façon à l'aveugler. Il mis une main devant les yeux histoire de voir qui était la personne en face de lui, plutôt à ses pieds. C'était une demoiselle, plutôt charmante, vêtue d'une jupe noire plutôt originale. Il garda la main tendu. Il devrait peut être s'excuser de l'avoir fait tomber? Après tout c'est elle qui est venu chercher sa valise. Il garda son sourire charmant sur le visage. Aujourd'hui il était d'une humeur débordante de nouveauté, pour lui, c'est aujourd'hui que tout change. Même si au fond, il sais que sa petite vie de bourge va lui manqué terriblement, même si il se sent si différent, en tout cas, il venait vivre ici changeant encore de pensionnat pour une nouvelle vie, et aussi pour se tester. Il avait besoin de découvrir de quoi il était capable. C'était essentiel. Puis cette école pourrait l'aider grâce à de nombreux cours, pour faire disparaitre son pouvoir ou l'améliorer de façon à qu'il ne se brûle plus jamais.
Sa main toujours tendu dans sa direction, elle ne perdit pas de temps pour la saisir, et avec délicatesse il l'aida à se remettre sur pieds. Elle était bien tombée tout de même avec une telle discrétion que tout le monde l'avait fixé avec une certaine moquerie. Il y avait rien de drôle, juste une personne un peu ailleurs et certainement très pressée.
Elle épousseta avec légèreté ses vêtements surement un vieux reflexe.
Sa première phrase de sa première rencontre de sa première journée de sa nouvelle vie, était pleine de reproches, mais ce n'est pas ça qui le fit perdre sa sûreté. Si elle voulait des excuses elle était tombée sur la mauvaise personne, il n'était pas du genre à savoir toujours ce qu'il faut dire dans les bons moments.C'est pour ça qu'il était d'une maladresse incontournable.^^
Elle laissa apparaitre sur son visage un sourire, magnifique qui effaça tous les sous-entendus. Ça lui allait bien de sourire ^^.
Akira, tourna la tête dans la direction du couloir ou se précipité la demoiselle, bien évidement il y avait aucune indication pouvant l'aider à savoir ou cette demoiselle X pouvait bien se dirigeait. X était le nom qu'il donnait au inconnue quand il ne savait rien d'eux. Un ancienne habitude.
Il se décida, et dit d'une voix plutôt agréable:

" J'espère bien. Je suis Akira."

Evidement, petit bourge qu'il est, il ne pouvait pas perdre une occasion de se présenter. En faite, dire ça comme ça était forme de politesse. A vrai dire il n'aime pas trop paraitre trop prétentieux, car au fond il ne l'est pas, ce n'est qu'une image. En réalité c'était une personne très compliqué à comprendre. Et souvent son style vestimentaire choquait et la timidité des gens leur empêchaient d'aller vers lui, c'est peut être bien ainsi.
Mais là, sans refus, il aurait accepté de l'aide, pour savoir par où se diriger de façon a regagner un éventuel endroit où il pourrait poser sa valise.
D'un geste gracieux et habituel il dégagea ses yeux de toutes mèches de cheveux trop envahissantes. Ses cheveux étaient d'une couleur sombre qui se mariait parfaitement avec la couleur de ses yeux d'une couleur claire, virant du vert au marron passant par le jaune, c'était certainement rare pour un originaire du Japon.

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

[De rien c'est toujours marrant de rencontrer quelqu'un de nouveau ^^]

Il semblerait que la journée serait un peu moins banale que les autre. Aveuglé par le soleil, le jeune homme propriétaire de la valise mit sa main en visière histoire de voir qui s’était magistralement prit les pieds dans le bagage et avait atterrit sur le sol. Andrea le dévisagea un instant, cherchant dans ses souvenirs le moindre détail qui pourrait la pousser à connaître ce jeune homme. Apparemment, rien n’indiquait que la demoiselle l’avait déjà rencontrée. Il semblait avoir le même âge qu’elle, peut être plus jeune qui sait. Il était habillé de façon originale, choquant sans doute les quelques personnes présentes dans la pièce.

Suite à sa chute les regards s’étaient tournés vers les deux jeunes personnes, fixant surtout la demoiselle. Elle leva les yeux au ciel et n’y prêta pas la moindre attention. Elle avait l’habitude alors un peu plus un peu moins.

Elle remarqua qu’il ne s’excusait pas. Sans doute avait il raison de ne pas le faire puisque c’était elle qui n’avait pas fait attention mais quelque chose lui indiquait que l’inconnu n’en aurait peut être pas faites même si cela avait été sa faute. Peut être était ce juste une impression ?

La demoiselle croisa son regard. Un regard plutôt inhabituel ici au Japon. Ses yeux étaient d'une couleur claire, bien trop claire pour ne pas être remarqué. Elle planta ses yeux dans les siens, fixant se pupilles avec attention, comme si en le fixant ainsi, elle découvrirait ce qu’il pensait vraiment.

« La moquette et moi c’est une grande histoire d’amour. Enchanté Akira, je suis Andrea. »

Elle apprécia le fait qu’il parle d’une manière agréable malgré le fait qu’il semblait faire partie d’une famille aisée. Andrea jeta un regard sur le sol, et vit son casque ou la musique continuait de tourner. Elle le ramassa et le rangea dans sa besace. Akira avait une valise, attendait dans la salle commune, et ne semblait connaître personne. Un nouveau sans doute. Il se faisait rare en ce moment. Ou peut être était ce elle qui ne sortait plus et ne remarquait pas l’arrivée peut flagrante des gens. Allez savoir.

La jeune fille regarda la salle commune comme si elle y venait pour la première fois. Il serait juste de dire que Andrea n’y passait pas ses journées et que les moments ou elle s’était rendue à cet endroit, était plutôt rare.

D’une voix qui se voulait sympathique, elle lui dit :

« Tu es nouveau ? «

[Marrant ? Si tu le dis ^^]

Akira avait pris l'habitude d'examiner les gens avant de leurs adresser la paroles ou de faire plus ample connaissance. D'ailleurs, il commença son examination dès maintenant sur la demoiselle.
Elle avait de long cheveux, légèrement ondulés, qui lui retombaient avec négligence sur ses épaules, frêles. Elle portait donc sa jupe bizarre qui s'arrêtait aux genoux. Elle avait un air de petite fille sage et timide. Cette description était la sienne. Elle ne devait pas être très vieille, peut être avait elle le même âge approximatif, du moins elle faisais très jeune. Pas comme une gamine heureusement, mais plus comme une ados respirant la joie de vivre et la bonne humeur, du moins les autres jours.
Impossible que son visage soit connu, c'était ses premiers pas dans un endroit tel que celui ci, d'ailleurs durant quelques secondes il examina les lieux, plutôt charmants d'ailleurs, il espère s'y plaire. C'était la première fois qu'il venait dans une si petite ville en plein milieu du Japon. Pourtant il en a vu des villes, villages...Presque fait le tour de ce pays qui est le sien.
Il passa, dans ses cheveux une main à la fois gênée et à la fois rassurante.
Depuis ces nombreux bruits dut à la chutes de mademoiselle, les regards étaient percutés sur les deux adolescents, surtout sur elle, elle s'était quand même mangé la moquette! Il fixa certaines personnes deviennent gênantes, même si elle semblait être habituée à ce genre de regard sur sa personne.
Il ne sait pas comment il aurait réagit si c'était de sa faute, il avait bien d'autre chose à penser. Il venait d'arriver et était assez bousculé par son arrivé si précoce. Il avait pris cette décisions il y a une semaine environ et avait pris que peu de temps pour s'organiser.
Bizarrement il fit un pas en arrière surpris. Quand la demoiselle X fixa ses yeux il eut l'impression de retournait en arrière. Elle avait cette façon qu'il connaissait parfaitement, elle avait presque les mêmes yeux qu'ELLE. Il en fut pétrifiés un instant. Pendant quelques mois, il n'avait plus pensé à ELLE. C'était bizarre, et ça lui rappelait qu'il avait même pas chercher à la revoir. Il secoua la tête comme pour chasser toutes mauvaises impressions de son esprit, et tourna la tête détachant son regard du sien.
Quelques instants après, elle parla, encore. Une histoire d'amour avec la moquette? Elle semblait être munie d'un bon sens de l'humour. Mademoiselle X s'appelait en réalité Andrea. Joli prénom qu'il n'aurait jamais mis sur un visage comme e sien. Il s'y habituerais.

" C'est merveilleux alors. Félicitations ... Enchanté Andrea."

C'était rare qu'il ait des choses à dire, pour le début il n'était que très peu bavard, normal non ? Il avait de quoi être intimidé par tous ses évènements et cette soudaine rencontre qui le renvoya si loin dans le passé.
Oui il sortait d'une famille plus qu'aisée? C'était un problème ? Ça faisait de lui une personne à part ? Ou avait il le droit de vivre comme les autres? Dans ce pensionnat? On ne choisis pas sa famille et encore moins son niveau social. C'est étrange les "pauvres" rêvent d'être riches, parce qu'ils croient que l'argent fais le bonheur. Lui rêve d'être "pauvre" pour pouvoir se débrouiller seul. L'argent fais pas le bonheur, car lui a tout ce qu'il veut en matériel, mais il a pas ce qu'on achète pas, comme de l'amabilité, de l'amour ou même de l'Amitié. Qui sont tout de mêmes les choses les plus importantes pour un homme, pour vivre.
Elle se pencha pour ramasser son casque diffusant encore une musique, presque inaudible. Elle le rangea avec précaution dans son sac en bandoulière.
Il détester le statut de NOUVEAU, d'un coté c'était le moment de montré au autres qui tu es sans être connu c'est à dire que tu peut être une personne bien même si au fond tu ne l'est pas. Mais d'un autre c'est le moment ou tu es déboussolé connais personne et doit te débrouiller sans aide. Même si la solitude était une grande histoire d'amour, comme elle et sa moquette, il aimerait rencontré des gens aimables. Si tout le monde était comme la Miss Andrea alors il n'aurait aucun soucis à se faire!
Il répondit à sa question pourtant évidente par un :

" Non, non, je me trimbale ma valise de 20 kilos 500 pour le plaisir de ne pas la laisser dans ma chambre que je ne connais pas encore."

Il laissa passer quelques secondes, puis eut un léger rire, qui prouver bien que ce n'était qu'une plaisanterie et réponse bête à question bête.

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

Andrea avait presque perdue la notion du temps. Lentement ses yeux s’abaissèrent vers la moquette ou Akira l’avait félicité pour son histoire d’amour avec. Elle sourit avec amusement. La demoiselle préférait rire de sa chute. « Mieux vaut en rire qu’en pleurer ». Ouais, c’Est-ce que l’on dit. Alors elle garde le sourire et rit de ce qui est ridicule aux yeux de certains. Ils pouvaient rire, Andrea s’en moquait depuis bien longtemps.

Elle l’observa à son tour. Akira était plus grand quelle, ce qui n’était pas dur en même temps, et avait devant les yeux des mèches barrant son regard que la demoiselle avait fixé quelques instants auparavant. Akira en avait presque été dérangé ou alors n’était ce qu’une impression ? Pourtant il avait détourné ses yeux intrigants.

Il lui dit qu’il était enchanté. Politesse ou sincérité ? Elle ne dit rien et continua de sourire calmement.

« Moi de même Akira «

Le jeune homme avait des vêtements sortant du commun, peut être souhaitait il se démarquer. Il n’y avait aucun mal à cela. Chacun est livre de faire ses choix, qu’ils soient justes ou non. Tous dépend du point de vue. Les gens ont des visions différentes des choses, et Andrea espérait bien découvrir celles du jeune homme.

Elle regarda la valise, cause de sa chute bien que ce fut aussi de la sienne. Mais elle provoquait les moqueries et que ce soit positif ou non, la rencontre des deux jeunes gens. Andrea se demanda un instant si il était vraiment d’origine Japonaise. Ses yeux … elle s’attarderait sur la question plus tard et qui sait aurait peut être l’occasion au moment propice de questionner directement Akira. Pour l’instant, Andrea se contentait de rire, amusé, par la réponse de son interlocuteur.

La demoiselle lui répondit presque aussitôt :

« Ma foi, si cela t’amuses »

Elle eut un rire moqueur et taquin et s’empressa d’ajouter :

« Si ça t’intéresse je peux t’indiquer le chemin pour les dortoirs, sauf si tu préfères t’amuser à promener ta valise encore quelque temps »

Elle ne connaissait pas son élément, aurait il l'amabilité de le lui dire ou la forcera t'il à le trouver ? Cette pensée lui arracha un sourire discret. Peut être aurait il de la chance par la suite et il rencontrerait surement les quelques personnes sympathiques de l'établissement.
Bien que la demoiselle n'en connaisse que la moitié.

Elle baissa rapidement le regard vers la moquette d'une couleur discrète. D'ailleurs un faible sourire d'amusement apparut à ce moment là. Il la fixait avec attention. C'est vrai qu'Akira était plutôt joyeux que triste. Du moins ça dépendais. Il serais tombé il aurait rit certainement aussi.

Akira n'avait jamais hérité d'une grande taille, tout le monde disaient qu'il était petit, mais en tout cas, il est très fin ce qui le grandit un peu ^^. Il passa deux doigts sur son front, dégageant une mèche de cheveux, qui ne tarda pas à revenir au bout de quelques secondes. En clair il était rare qu'il est les yeux dégagés, pourtant il avait des yeux étranges et certainement unique. Le regarda que Andrea avait porté à ses yeux l'avait pas vraiment dérangé, du moins il en avait l'habitude, mais le fait que sa façon de le regardé et ses yeux ressemble beaucoup à ELLE, l'avait un peu choqué et pétrifié sur le coup. Au fond, il avait l'impression de retourner de nombreuses années en enfance en la regardant au fond des yeux. C'était plutôt agréable. Il replongea donc son regard intriguant dans les yeux envoutant de la demoiselle. C'est bizarre mais en regardant une personne de telle, on aurait put dire qu'ils se connaissent depuis longtemps, non, juste 5 minutes...

Deux minutes avant il aurait dit ça par politesse mais ça avait changé, elle semblait être une personne bien inintéressante et surtout sympathique, ça ce vois sur son visage angélique.

Se démarquer ? Non, je ne pense pas. A vrai dire il avait toujours rêvé d'être différent mais si il se trouve démarquer ce n'est absolument pas à cause de sa façon de se vêtir si originale. Non en faite il avait toujours "confectionné" ses vêtement lui même, surement parce que ses gouts étaient différents mais surtout parce qu'il déteste la mode, celle qui change souvent et que tout le monde suit comme des imbéciles! Il disait de ces gens qu'ils n'avaient aucune personnalité, peut être qu'il en demandait trop. Au fond il aime peut être se faire remarquer.

Il suivait avec précision le regard de son interlocutrice, se dirigeant vers sa valise qui semblait pesée une tonne, mais qui n'en pesée que 20 et quelques! Dessus il y avait collé de nombreux autocollant qu'il avait pris un peu partout, un autocollant des Etats Unis, un autre de la Russie, et pleins d'autres, mais surtout un autocollant pour chaque pensionnat où il avait passé quelques moments, il y en avait vraiment pas mal. Ce qui prouvait qu'il ne restait presque jamais plus de quatre mois dans le même endroit.

Oui, il était bien Japonais, et étrangement il n'avait aucun parent avec des yeux aussi clairs! En faite ils lui avaient toujours dit qu'il avait eu un problème de gênes xD, lui avait pensé très jeune qu'en faite ce n'était pas ses parents et qu'il avait des origines Francaises... Comme quoi, dans l'esprit d'un enfant il y en a des choses qui trottent!

Andrea rit à sa réponse. Et lui répondit juste après que si ça l'amuses ... Il lâcha un rire discret, et garda son sourire qui lui allait si bien.

" Tu devrais essayer, tu verras, c'est marrant."

Il fallait qu'ils arrêtent là leur délire parce que sinon ça pouvait aller très loin, il était fort pour ça, mais bon ça donnait jamais une super image de lui. Elle rajouta quelque chose, si elle pouvait lui montrer le chemin? Super !

" Merci, ma valise à déjà assez promené aujourd'hui je crois. Je veux bien que tu m'aide à retrouver mon chemin, Miss."

Il sourit et introduit ses mains dans les poches de son jean déchiré. Il craignait toujours de faire ça, une fois sur deux sa mitaine cramé, et il se brulait les cuisses! Son élément? Si elle veut le découvrir elle à juste à attendre un peu et par "chance" ça sentiras le cramé...
Il détourna son regard discret vers d'autre personnes derrière la demoiselle, il y avait de jolies demoiselle ici, il le remarquait depuis le début! C'était sûr qu'il allait bien s'amuser ici, et sûrement qu'il rencontreras des personnes plus qu'aimables, qui seront après sa raison de rester ici !

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

Andrea suivit du regard les deux doigts qui dégagèrent la mèche de cheveux devant ses yeux. Elle était partit pour mieux revenir devant son regard. Un peu comme la jeune fille. Elle vadrouillait, s’enfermait longtemps, et revenait pour reprendre la ou le cours des choses s’étaient arrêtés. Andrea se surpris à penser que c’était dommage que ses yeux soient barrés par une mèche. Des yeux aussi surprenants. Elle n’avait pas l’occasion de croiser tous les jours de nouveaux arrivants, et de qui plus est, faire connaissance avec leurs valises.

La demoiselle se demandait bien à quoi pouvait penser son interlocuteur. Sans doute réfléchissait il sur elle ne savait pas trop quoi, les pensées des gens restent toujours secrètes. Dommage pour la miss curieuse. Elle regarda une nouvelle fois les vêtements du jeune homme, les trouvant plutôt pas mal et sortant du commun. Elle aussi détestait la mode. Pourquoi ? Pour la simple et pure raison que tout le monde s’habillait pareille, les gens pensaient la même chose, et elle avait peur que ça empire. Elle détestait l’idée de ne pas être libre de choisir elle-même. Alors quitte à être juger par les regards, Andrea avait fait son choix.

Elle savait qu’il suivait son regard. S’attardant sur la valise, puis sur les vêtements de Akira, et enfin sur ses yeux, une nouvelle fois.

On avait souvent dit à Andrea quelle avait un visage angélique. Elle avait usé à chaque fois. Andrea aimait s’en servir. Après pour elle, si les gens étaient trop naïfs, ce n’était plus un problème de les amadouer avec quelques paroles flatteuses. Elle savait que son caractère s’accordait parfaitement avec son visage. Les deux étaient complémentaires.

Les nombreux autocollants de la valise du jeune homme l’interpellèrent. Il semblait ne pas être restés longtemps dans chaque pensionnat. En serait-il de même pour Kinako ? Partirait-il du pensionnat dans peu de temps ?

Peu après sa réponse il lui recommanda d’essayer de promener une valise aussi lourde. Elle garda un sourire amusé sur son visage et reprit :

« Je ne voudrais pas te voler tes occupations et puis la moquette serait jalouse que je la délaisse pour une valise «

Elle émit un rire discret avant de reprendre un peu plus sérieusement (comment ça impossible ? Pff u_u):

« Très bien alors dès que tu es prêt je t’y emmène »

Andrea lui sourit gentiment, avant de remarquer que le regard de Akira s’était détourné vers des jeunes filles derrières elle. Le voir ainsi lui arracha un sourire amusé quelle s’empressa de cacher derrière son expression normale. C’est-à-dire l’expression habituelle de fixer les gens avec attention. Ce qu’elle fit sans presque s’en rendre compte.

Il semblait que chaque fais et gestes de sa part étaient suivis et calculer par la Miss qui se trouvait en face de lui, à un peu moins d'un mètre. C'est un comportement qui l'amuse beaucoup! Pourtant il avait l'habitude que les gens le fixe et note tous gestes de sa part.
Son regard était rempli de gaieté, en faite il avait toujours eu des remarques sur ses yeux, ils sont clairs et alors? C'est totallement normal pour lui. Pour le moment, du moment qu'il a encore plein d'espoir, il croit que il a trouvé le pensionnat, peut être qu'il aura du mal à en trouver un autre qui offre ses options. En pensant à ça, il se posa une question: Quel était l'élément de la demoiselle ? Il n'en savait rien, mais ce genre de truc son facile à découvrir, surtout chez lui. Si il faut elle, elle le maitrise parfaitement, elle en a de la chance !

Si Akira détestait bien quelque chose c'était bien être nouveau, pourtant il l'est souvent, en faite tant qu'il n'a pas trouvé ce qu'il cherche il partira loin à chaque fois, pour changer de pensionnat, de ville, de vie, et même de pays.

Akira avait la tête ailleurs, surtout quand il y a des moments ou aucune parole est mise en jeu. Il réfléchit à son passé, ses nombreux changement, ses découvertes. Tout ça revenait aux deux même personne, et à force il s'en veux de plus en plus de ne pas avoir chercher à les retrouver, alors qu'une d'entre eux deux lui à sauvé la vie d'un côté. Il se souvient très bien de cette image floue, d'écolière qui court vers lui tranquillement... Bref, ce n'est que du passé, ça lui passeras, et maintenant il devait penser au présent et un peu à l'avenir. Sur ce son regard se refixa sur la demoiselle qui elle même faisait jongler son regard entre ses vêtements, sa valise, et ses yeux.

La mode...Le mec qui a inventé ce mot, ce truc, est vraiment un idiot, si tu n'est pas à la mode t'es un ringard? Alors Akira est ringard et très fier de l'être! Beaucoup de jeunes cherchent leurs personnalités, leurs styles, lui la trouvé étant tout petit. Une chance.

La demoiselle avait des yeux envoutants, oui c'est le mot! On avait l'impression de partir dans sa vie, dans son passé quand on regarder sa pupille. Ses yeux étaient entrainant, et lui donnait quelque chose que de nombreuses jeunes filles n'ont pas!

Oui c'est ça, il allait partir dans quelques mois, si il n'est pas bien, il a les moyens d'aller où il veut pourquoi ne pas en profiter ? Puis, il a toujours était solidaire, voyager seul, sans rien, sans personne, seul. Il en avait parcourut des pensionnats mais pourrait il rentrer dans un autre malgré son élément si envahissant ?

Elle avait depuis un bon moment un petit sourire amusé et taquin, qui faisait très gamine et qui lui procurait un charme dévastateur. D'un regard mesquin il regarda le sol, la moquette. Il dit avec prétention.

" Peut être qu'une valise ne convient pas à Mademoiselle la Princesse.Surtout."

Elle émit un rire discret, qui le fit sourire, un sourire plutôt normal ^^. Dès qu'il est prêt ça veut dire quoi ça? Il s'est pas installé, il est toujours près surtout pour pouvoir se poser enfin et découvrir la chambre qu'on lui propose.

" Je suis prêt."

Il attrapa de sa main droite la poignée de la valise. et sortit sa main gauche munit de la mitaine de cuir noir qui faisait contre-poids. Il souleva la valise et resta planté devant Andrea.
Il avait eu de la chance de tomber sur elle, il serait tomber sur quelqu'un d'autre. Enfin quelqu'un d'autre serait tombé sur sa valise...Il aurait pu plus mal tomber!
Il regarda les jeunes filles derrière elle. Il allait super bien s'amuser, surtout qu'il aimait bien courir derrière elles. XD
Il retourna son regard sur le demoiselle qui était le plus près de lui, et lui fit un sourire, la voilà qui le fixait de nouveau.

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Elle le suivait du regard. C'était la une de ses mauvaises manies. Dévisager les gens. Elle aimait observer le contour des visages, leurs yeux, la lueur de folie qui pour certain s'allumait dans le regard, ou même la tristesse qu'on pouvait y lire. Andrea ne pouvait pas s'en empêcher. Et c'était peut être pour cela qu'on lui disait quelle était dérangeante. Son visage contrastait avec son regard qui lui semblait parfois bien moins angélique que le reste.

Pour la demoiselle, l'air angélique est un atout. Elle est peut être aussi fausse que les autres ou que certain. Cependant, elle n'aimait pas qu'on la critique pour ses agissements en la qualifiant de manipulatrice. User d'un air, user des paroles. Après tout, ce n'était pas de sa faute si les gens étaient aussi naïfs.

Son élément Andrea l'aimait bien. Il l'amusait en quelque sorte. Et il pouvait l'aider. Il l'avait déja fait. Alors délicatement, quand les regards se tournaient ailleurs, la demoiselle s'en servait. Rien que pour un instant.

La jeune fille chercha dans son sac durant quelques secondes et en sortit un dé. Elle le regarda et avec un sourire le fit tourner entre ses doigts fins. Il claquait à chaque fois contre sa bague qui s'entortillait autour de son index, ce qui la faisait encore plus sourire. Futile mais amusant.

Andrea avait à peine fait attention au visage de son interlocuteur. Elle s'était fixée sur ses yeux, comme beaucoup sans doute. Elle le détailla. Il avait les traits fins, des cheveux très légèrement ondulés, noirs. Son visage s'accordait avec ses yeux. Sa aurait été dommage de gâcher un atout comme celui ci.

Il lui répondit avec prétention. Elle le fixait toujours. Elle planta cependant son regard dans le sien, un regard quelle voulait déstabilisant mais aussi provocateur.

"Et oui Mademoiselle la Princesse est très exigeante que ce soit en matière d'amusement ou quoi que ce soit d'autre..."

Andrea laissa planer un silence de quelques secondes puis reprit :

"Soit, allons y "

Avant de partir, Andrea entendit des rires derrières elles. Elle se retourna et vit les jeunes filles qu'Akira regardait il y avait de cela quelques secondes. La demoiselle leur adressa un sourire lentement, puis avança vers une porte non loin et déclara en détournant son regard vers le jeune homme :

"Charmantes j'en suis persuadé"

Andrea arqua un sourcil et ouvrit la porte pour se diriger vers les chambres.

Le regard qu'elle posait sur lui ne le dérangeait absolument pas, c'set pas comme toutes ces personnes qui au bout d'un trop long moment fixé par la même personne, en peu plus et se sent gêné, lui c'était le contraire, c'était plutôt flatteur! Si ça peut occupé cette demoiselle tant mieux pour elle!
Pour lui, elle avait un visage angélique et ne semblait pas être une peste loin de là, elle semblait être une personne tout à fait fréquentable.Du moins pour lui. Il n'aimait pas les filles qui le trainaient par le bout du nez. Ce genre là était plutôt le genre qu'il ne fréquentait même pas. C'était pas son genre de filles.

Akira lui n'aimait pas son élément, il n'arrivait pas à le contrôler et brûler chaque jours un peu plus sa mitaine gauche. C'était son accessoire indispensable et préféré!

Il la fixa, à son tour cette fois, n'ayant rien d'autre à faire, elle chercha dans son sac en bandoulière, et trouva un dé, un dé qu'elle fit tourner autour de ses doigts avec en même temps cognait contre une jolie bague d'argent. La voir s'amusait avec son dé déclencha son reflexe et sa manies la plus désagréable, trouve t-il. Celle de faire tourner son piercing entre ses incisives. Aujourd'hui c'était une petite boule noire et violette. Il le faisait très discrètement.

Akira comme la plupart des Japonais avait un corps très maigre, et fin, tout dans la longueur. Pourtant il était très gourmand x'D. Ses yeux étaient bridés à justesse, ni trop ni pas assez. En faite il avait un visage presque parfait.

Quand elle le fixa, il fut une nouvelle fois perturbé, et garda son regard dans le sien, à la décontracté. Son regard à elle était déstabilisant, et provocateur, comme quoi, elle était peut être pas aussi sage qu'elle en a l'air. Il fit un sourire mesquin histoire de ne pas semblait ridicule et répondit:

" Je vois ça ..."

Il fit un pas en avant pour lui montrait qu'il était d'accord et qu'il attendait de connaitre le chemin pour avancer. Il s'apprêter à aller dans sa chambre pour la première fois, il faudrait qu'il regarde les alentours.
Il y eu des rires justes après quelques pas, il se retourna vers les "bécasses" qu'il regardait tout à l'heure, et leur sourit, il se demandait pourquoi ces soudains rires. Il suivit Andrea, jusqu'à une porte ou elle fit une discrète remarque sur celles-ci. Il dit avec un air innocent:

" Hein ? De qui parle-tu ?"

Ils se dirigèrent vers un escalier après avoir passés la porte.

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Avec satisfaction la demoiselle avait remarqué que son regard fixe ne le dérangeait pas. Beaucoup de gens pensaient comme lui. Visage angélique, caractère angélique. Mais loin de la. Andrea n'était pas bourré de défauts, certes, mais savait se jouer des gens et qui plus est, aimait sa.

Elle remarqua la mitaine qu'il portait à sa main. Elle la trouvait plutôt jolie, s'accordant avec le jeune homme. Mais sa curiosité fut vite attirée. La portait il parce qu'il aimait cela ou pour cacher quelque chose ? La question n'était pas encore élucidé mais comme pour ses origines, Andrea aurait peut être l'occasion de le lui demander sous peu.

La jeune fille avait noté sa maigreur, comme la plupart des Japonais, et se rendit compte que c'était peut être cela qui le grandissait. Mais à la base il devait déjà dépasser Andrea facilement. Elle n'était pas bien grande, juste dans la moyenne des filles de son âge et arrêterait de grandir. La demoiselle s'était habitué à être regardé de haut par la plupart des gens, ce qui ne la dérangeait pas puisqu'elle pouvait à loisir leur prouver combien elle était aussi déterminé qu'eux.

Il lui fit un sourire mesquin qui plut énormément à la demoiselle. Il savait répondre, tant mieux. A Kinako, on ne sait jamais sur qui on va tomber alors si Akira avait du répondant, c’était encore plus intéressant.

Akira prit un air faussement innocent, et lui répondit qu'il ne savait pas de qui elle parlait. Elle sourit avec amusement et se dirigea vers un escalier de marbre qui montait à l'étage des dortoirs.

"Je suis convaincu que tu es aussi innocent que tu ne le parais"

Répondit elle avec ironie. Andrea continuait de jouer avec son dé, claquant régulièrement contre sa bague ce qui pouvait quelque fois horripiler les personnes se trouvant avec la demoiselle. Elle monta les marches lentement, s'arrêtant pour se trouver face au jeune homme et lui dit:

"Avec un peu de chance, tu seras avec une personne gentille, et avec encore plus de chance, une jolie fille. "

Andrea lui adressa un sourire puis continua son ascension des marches.

Pourquoi ce regard qu'elle portait sur lui ne lui faisait rien ? Parce qu'il ne le voyait pas comme tous les autres simplement. Il avait une manière différente de voir les choses. Pouvoir jouer des gens et un atout que peu de gens arrive à atteindre et à contrôler. Lui même n'a jamais oser, mais c'est rare qu'il en use, vu qu'il n'aimait pas ces
manières de faire. Il préférer y aller à la manière de discussion ou même forte qui sait?

Sa mitaine était précieuse, d'abord, il la trouvait ma-gni-fi-que et en plus de ça elle était très utile. Il en
avait jamais chercher d'autre. Elle était irremplaçable. Toujours il a porté des mitaines, mais celle ci avait pris la trace de sa main et s'accordait avec tout. Surtout depuis son "accident" qui l'obligeait a cacher sa main. C'était au fond une bonne excuse de ne l'enlevais jamais, enfin si pour dormir et se laver, que dans les moments où il est seul. A moins qu'il ai encore une crise de la part de son très cher élément qui l'obliges à la retirée. Au fond le médecin de famille réputée, l'avais envoyé dans l'hôpital des grands brûlé ou il travaillé un jour par semaine. Là ils lui conseillèrent de ne jamais enfermé sa blessure, de la laisser respirer l'air pur, pour qu'elle cicatrise, mais au fond, il détester cette vu de sa main brûlé et de sa paume presque à vive. C'était humain.

C'est vrai que la taille de la demoiselle ne la vieillissait pas au contraire. Normalement Akira à côté de ses copains étaient toujours le plus petits, mais c'est pas ça qui le déranges vraiment. Pour lui mieux vaut être plus petit que trop grand, après ça fait disproportionné pensait il comme réconfort.

Son sourire mesquin fut accompagné pas un regard qui s'accordait avec
perfection. Akira ne supportait pas les gens inintéressant et si il y a bien une chose qu'il espère à chaque moment c'est bien qu'il le soit lui même. En tout cas si il se trouve face à une personne pleine d'ennui, il ne resteras pas longtemps en sa compagnie. Il était franc et n'avait jamais rien à perdre, il balancé souvent tout en pleine figure, sans faire de mal à sa conscience. A vrai dire il trouve que la franchise est une bonne qualité.

Ils se dirigèrent vers les dortoirs ils étaient plutôt bien indiquaient en cherchant un peu il aurait pu trouver seul, mais il n'aurait jamais fait de première rencontre comme celle-ci. Il aurait manqué quelque chose, il appréciait sincèrement la demoiselle, elle semblait en cachait des choses, ce petit côté mystérieux lui plaisait souvent chez les demoiselles!

Aussi innocent qu'il le parait ? C'est parfaitement lui ça! Il lui répondit avec sureté:

" Exactement ça!"

Andrea utilisait souvent l'ironie pour faire passer les paroles qui pourrais
être prises péjorativement. C'était une bonne technique pour dire ce qu'on a a dire sans blesser l'interlocuteur. Mais avec lui, le jour où il arriveras à être blessé par des paroles il y a une grande marge. Il regarda tout en marchant avec équilibre la valise dans la main et le regard sur sa main jouant à claquer son petit dé contre sa bague. Pour l'instant ça ne le dérangeait pas, peut être qu'au bout de deux heures il en aurait marre. Elle aussi d'ailleurs XD. Elle monta les marches une par une lentement, il la suivit, elle avait juste une marche
d'avance, lui avait une valise ><. Elle se retourna face à lui, il était tellement concentré dans sa marche qu'il faillit lui tomber dessus, mais s'arrêta à temps. Il lâcha un soupir de soulagement. Il avait éviter une deuxième chutes.
Elle lui parla, quoi ? Un colocataire? Il avait oublier ça, c'est dommage lui qui aime son espace vital lui qui deteste partagé sa salle de bain et tout le reste. Il ne pourras plus faire ce qu'il veut... Une jolie fille? Ca change tout. Mais peut être qu'il préfère encore la solitude! Il dit et pensa ensuite:

" J'y crois pas trop, Miss!"

* Ouais en plus si il faut je vais tomber sur un mec, ou une peste ...Misère Naooon U_u *

Il continua sa marche avec concentration et réflexion. A vrai dire il marchait avec régularité parce que si il y allait à la va-vite il serais mort. Comme ça il prevoie même d'avoir un même escalier à monté après celui ci !

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Sa vision des choses étaient différentes des autres. Andrea appréciait cela. Si elle pouvait le regarder avec provocation, ou le fixer et qu'il ne disait rien, alors tant mieux. Sa lui ferait un passe temps de plus pour elle qui était très exigeante.

Peu de gens aimait le regard que Andrea portait sur eux. Souvent ils s'énervaient ou disparaissaient sans rien dire pour ne pas avoir à affronter ces yeux qui les fixaient avec insistance. Elle, sa l'amusait et ne s'en privait pas.

La demoiselle ne se privait pas pour faire des remarques puériles ou ironiques. Et souvent elle était franche. Bien trop peut être. Mais Andrea préférait la franchise à l'hypocrisie. Quoique. Il lui arrivait d'être hypocrite pour avoir ce quelle voulait. Malgré tout, elle restait quand même sincère. Parfois.

La mitaine du jeune homme semblait vraiment importante pour lui. Bien qu'Andrea ne sache pas pourquoi, il semblait y tenir. Sa curiosité fut piqué à vif et la demoiselle se promit, quoiqu'il en coûte, de lui demander pourquoi il y tenait.

Ils arrivèrent dans un corridor bien éclairé, après avoir gravi les marches qui y menait, et s'y engouffrèrent. Les chambres étaient bien indiquées et sans son aide, Akira aurait pu s'y retrouver. Mais il était vrai que si Andrea n'était pas passée par la et n'était pas tombé sur sa valise elle ne l'aurait peut être pas rencontré.
La demoiselle préférait ne pas tout dévoiler d'un coup. Le mystère avait du bon.

Il acquiesça quand elle dit qu'il était aussi innocent qu'il le paraissait. Sa réponse lui arracha un sourire moqueur qu'il ne put voir puisqu'elle était de dos.

Andrea n'allait pas vite, car même si promener une valise devait lui plaire, le bagage devait quand même peser. Elle tournait de temps en temps la tête en arrière pour voir si Akira le suivait. Le dé continuait de tourner entre ses doigts et claquaient encore et toujours contre sa bague. Bon nombre de gens auraient déjà arrachés leurs cheveux tellement ça les stressaient. Le jeune homme semblait muni d'une bonne patience. Amusant.

Elle lui parla des chambres et des colocataires potentiels qu'il pourrait avoir. L'idée ne lui plaisait peut être pas trop. En fait, avec le dépeuplement d'élèves et le manque de professeurs, il ne risquait pas grand chose.

"Perso je suis toute seule. Et ce n'est pas plus mal même si me faire un monologue ne me dérange pas, la compagnie à parfois du bon. De quel élément es-tu au fait ?"

Elle se tourna vers lui, stoppant la marche dans le corridor et attendit une quelconque réponse de la part de son interlocuteur. Andrea voulait savoir l'élément d'Akira, et prévoyait ensuite de lui refaire monter des marches pour arriver à sa chambre.

Je crois que le secret d'Akira est qu'il est munit d'une très grande patience, qu'il ne faut pas dépasser trop. A vrai dire, il a toujours était patient et calme, peut être pour ça que des gens disait de lui qu'il était dans la lune, ou rêveur. Non en faite c'est juste parce qu'il gardait un calme et du sérieux pendant les moment les plus critiquable.
Si elle son passe temps était de fixer les gens comme si ils n'étaient pas humains, lui c'était plutôt à chaque nouvelle rencontre, il examiner cette personne c'était comme un jeu, après le temps passent et il regarde si son examination à était bonne, ou si il c'est trompé. Depuis son enfance il fait ça et sans se vanter il est devenue presque excellent. Il arrive à observer un comportement et dire ce qu'il ne va pas ou, ce qui a toujours dérangé la personne en question. Etrange, non ?
En faite Andrea était une peste. OO Elle s'en fixait un peu de ce que pensait les autres, si elle les agaçait elle continuait, que ce que les gens pensent elle s'en fou? Ça c'est un bon point. Mais de là a dépasser de trop grandes limites, Akira ne supporterais pas. Et si il part se seras évidement pas une perte pour lui, si c'est vraiment une peste. Des gens haïssent les hypocrites, les menteurs et tous les autres genre.Lui ne pouvait pas rester longtemps avec un peste. C'était comme ça. Au fond il doutait de lui, elle ne pouvait pas être une peste, elle. Elle cachait certainement bien son jeu, mais pas à ce point. Car une peste est fière d'être une peste non ? sinon c'est pas une peste... Du moins c'est cette image qu'il avait de La Peste.

L'hypocrisie ne dérangeait pas Akira c'est une très bonne solution pour soutirer quelque chose à quelqu'un. Il lui arrivait d'en abuser. Rarement.

Pourquoi une fille est toujours curieuse ? Peut être parce qu'elle s'intéresse un peu plus à son interlocuteur que lui le fait pour elle non ? Oui cette mitaine était importante mais que dans le sens utile. Si il n'avait pas cette foutue brûlure il ne la mettrait pas tous les jours. Cependant il lui arrive de changé mais les mitaine en cuir étaient dures à trouver. Pas qu'il n'aime que ça, mais le coton ou autre matière s'enflammait bien plus vite que le cuir, et puis sa frottait contre sa blessure à vif. C'était moins agréable. Elle en avait des choses à lui demander la Miss. Au moins il n'y auras certainement pas beaucoup de blancs...

Le corridor était magnifique, toute la lumière de l'extérieur s'y reflétait et de nombreux miroir la mettait en valeur. Quelques portes sur le cotés. Il marcha la suivant, toujours le regard jonglant entre le plafond, le sol, la gauche et la droite...
Si il ne se saurait pas rencontré aujourd'hui ils ne se seraient probablement jamais vu. Ça aurait était dommage. Mais ce n'est pas le cas, alors pourquoi se prendre la tête ?

Promener une valise lui plaisait, Certes, mais monter des escaliers avec, en y réfléchissant c'était la première fois qu'il porte sa valise. A cette pensée, il se pétrifia. Et se stoppa une demie seconde, mais il repris la marche ni vue-ni connue. Il y a tant de choses de tous les jours qu'il n'a pas fait. Comme se préparer à manger, laver sa salle de bain, et pleins d'autres trucs du genre. Ça aller donner ici! Il devrait se débrouiller seul, et au fond c'est pas ce qui lui faisait le plus peur. Apprendre c'est bien! Sauf que la plupart des ados ici ont appris à faire ça dans leurs enfance, c'est habituel pour eux. Lui ...C'est une autre histoire.

Elle le regardait de temps en temps histoire de voir si elle ne l'a pas perdu en route. Et non c'est pas le cas, dommage !
Les claquement raisonnant du dé contre sa bague devenait régulier, et bientôt il ne s'en rendrait compte que quand elle arrêtera. C'est sa la monotonie. Mais il ne fallait pas qu'elle continue trop longtemps, il parait de bonne humeur mais au fond c'est un ours en pleine hibernation qui à fermer l'œil que une heure cette nuit...Ce qui prouve tant de chose...

Ils croisèrent au passage quelques personnages bien tristes, il leur sourit comme il les aimerait voir sourire, en vain, tant pis.

" T'es toute seule ? T'en as de la chance mistinguette! "

Elle lui demanda son élément, il se doutait qu'elle allait lui poser cette question. Il s'arrêta après elle et posa sa valise au sol, soufflant un coup^^.

"Du feu. Et toi ?"

Si on pouvait appelé ça élément!
Il jeta un oeil vers le reste du couloirs menant à un escalier, il se demanda à cet instant à quel étage il pouvait bien dormir ? Dur dur la vie d'un ados comme lui hein ? =P

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Contrairement à Andrea le jeune homme semblait bien plus calme. En effet. Andrea a toujours été très impatiente. L'idée d'attendre ne lui effleure jamais l'esprit, c'est dire à quel point elle n'aime pas ça. Elle a de la patience, certes, mais jusqu'a une limite très bien définie. Non pas quelle perde son sang froid à tout moment mais c'est juste quelle n'aimait pas attendre. On ne se refait pas.

Andrea n'était pas une peste à proprement parler. Elle avait juste un caractère un peu teigneux. Elle aimait être franche pour qu'en retour on le soit avec elle, et se servait parfois de ses atouts pour arriver à ses fins. Rien qui, en somme et pour elle, ne semble très critiquable. Andrea n'était pas l'une de ces filles fières d'être une peste. Non, au contraire, elle les détestait. Et s'amusaient d'elles parfois.

L'hypocrisie n'était pas l'un des plus grands défauts de la demoiselle mais c'était la un de ses nombreux moyens pour obtenir ce quelle désirait. Elle l'usait avec brillance et se félicitait parfois d'avoir su le faire. Mais elle préférait utiliser d'autres moyens quand même.

Avec toutes les questions que Andrea avait à poser à Akira, elle se demandait quand le faire. Pour l'instant, elle ne préférait pas. Si ça se trouve c'était un goujat dépourvu de toute reconnaissance. Bien que ce fût une éventualité plausible, Andrea se doutait bien que le jeune homme qui la suivait n'était pas comme ça. A moins de se tromper fortement, Akira ne lui paraissait pas être quelqu'un d'aussi détestable. Il paraissait même très sympathique. C'est dire. Passer d'un extrême à l'autre ferait presque peur à Andrea.

Andrea avait appris vite à être indépendante dans le pensionnat. Se lever et devoir tout faire toute seule ne lui faisait plus aussi peur qu'à son arrivée. Se coucher en ayant tout fait de ses propres mains était presque jouissif. Alors elle n'en avait plus peur. Comme quoi.

Sur le chemin, pas aussi périlleux que ce que l'on peut croire u_u, ils croisèrent des personnes tristes. C'est toujours agréable de voir des gens comme ça. Ça donne la pêche u_u. Andrea continuait de faire claquer le dé contre sa bague, et au bout de quelques secondes soupira discrètement. Elle fit sauter le dé en l'air et le rangea dans l'une des poches de son sac avec un sourire tout aussi discret que le soupir.

"Et oui, j'ai de la chance. Peut être que tu n'en auras pas autant que moi ! Mais au fait...mistinguette ? Dis donc, je sais que je suis petite mais quand même > <"

Elle lui tira la langue avant de rire avec amusement. Au final, il lui avoua être du feu. Ah. Ça devenait amusant.

"Le feu est un élément très serviable mais en même temps dévastateur"

Ils arrivèrent devant plusieurs portes. Ils arrivaient enfin devant les couloirs qui menaient aux dortoirs respectifs à chaque élève.

"C'est pourquoi j'aime l'élément premier que je possède. Je suis aussi du feu."

Elle lui sourit et ouvrit la porte qui menait aux chambres des élèves du feu.

Oui, il était calme, heureusement, il fallait mieux. Si elle est si impatiente que ça pourquoi elle joue avec la patience des autres ? En fait, elle cherchait beaucoup les autres! Bon lui ça le dérangeait pas plus que ça le coup du dé qui se promène entre ses phalanges et contre sa bague, mais il y a des limites! Qu'il faudrait mieux ne pas dépasser.

Si c'est pas une peste elle a juste des caractéristiques de pestes, qui pour l'instant ne sont pas ressortit à la surface en sa compagnie. Les pestes étaient des pourries-gâtées, au fond lui aussi l'avait toujours était pourri-gâté, mais ne se vanter pas avec devant ce qui n'ont pas cette "chance", si on peut appeler ça comme ça. C'était prétentieux ? C'était pas son intention. Mais seul lui pouvait se comprendre enfin c'est ce qu'il pense, après il se trompe peut être.
Pour y revenir sur les pestes, lui ne se moquaient pas d'elles que lorsqu'il faut se "défendre", sinon se moquait d'elles était pas son passe temps favoris, il était trop gentil pour ça^^.

Enfin, gentil est un bien grand mot, tout le monde donne qu'un même surnom qui le qualifie bien disent ils: coureur de Jupons, ou alors briseur de cœur. AU fond les deux n'allait il pas ensemble? Le deuxième était un peu injuste c'était de sa faute si les filles s'attachait à lui? Il pense qu'ici ça changeras. Peut être a t'il décidé de faire des efforts, d'être clair. Enfin c'était de brève pensée qui lui traversèrent l'esprit quand il pensa à Mistinguette.

Oui c'était un surnom qui lui collait à la peau. Même si il trouve que dans Mistinguette le son "M" indique une possession, c'est peut être que lui qui pense ça^^.

Akira un goujat ? Pourquoi pas un prêtre non plus hein ? Non il se pensait bien le contraire. Il n'aimait pas les goujats! Si on fais la globalité de tout ce qu'il n'aime pas ça en fait des choses, pourtant il ne se croyait pas aussi difficile que ça en matière de personnalité. Il se surprend seul. Cette idée le fit sourire soudainement.

Tiens, joyeux de voir des personnes tristes? Il pensait la même choses, ça lui prouvait quand il avait un soupçon de tristesse, qu'il n'était pas le plus malheureux même si il le savait déjà. Pour beaucoup, être né avec une cuillère en or dans la bouche ça veut dire que son bonheur est assuré jusqu'à sa mort. Et sa mine toute contente le prouve, mais non en fait ce n'est que préjugés. L'argent ça apporte autant de malheur que de bonheur surtout quand on est riche dès la naissance. Tu peux pas savoir si les amis en lesquels tu crois sont là pour toi ou parce que à chaque sortie c'est toi qui payes tout...Ça c'est certainement le pire.

Le dé s'arrêta net, il regarda la main de la demoiselle tenant celui-ci. Elle le fit sauter en l'air, et le rattrapa sans mal pour le mettre dans une poche de son sac. Il sourit, si elle l'aurait pas rattraper il aurait bien rit!

Qu'est ce qu'elle est prétentieuse la Mistinguette! C'est vrai peut être qu'elle a de la chance que dans le cas qu'elle aime autant que lui la solitude. Est-ce le cas? Ou pas? Elle se tourna et lui tira la langue. Il fit une tête blasée, mais au fond son comportement lui plaisait et le faisait rire il répliqua pour sa défense:

" Peut être que tu a de la chance MISTINGUETTE!"

Il eut un sourire, il voyait pas bien le rapport entre sa petite taille est ce surnom tout mignon x'D. Il fit mine de réfléchir s'arrêtant en chemin, et dit ensuite:

"J'ai beau chercher je ne vois pas le rapport >< "

Il regarda autour, elle avait un peu d'avance, il fit un grand pas laissant sa valise au beau milieu et d'un geste de la main droite, il lui ébouriffa avec légèrement et précaution ses cheveux doux et d'une bonne longueur. Il refit un pas en arrière et repris sa valise comme si de rien n'était, espérant...rien du tout O.o.
Le feu dévastateur? Exactement ça, il fit un sourire et dit marchant :

"dévastateur c'est le cas de le dire, pour mon cas!"

Les portes où figuraient de nombreux noms tous aussi bizarres les uns que les autres. Il s'arrêta devant une porte portant un nom qui lui rappelait des choses et continua sa marche auprès d'Andrea. Elle aussi du feu ? Oh non c'est pile poil ce qu'il redoutait, ça sent la moquerie dans l'air...SUper!

" Alors tu es aussi du feu...Pas très positif tout ça. "

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

Il y des bornes aux limites ! C’est souvent ce que l’on avait dit à Andrea quand elle était petite. Les gens ne comprenaient pas pourquoi la demoiselle s’amusait à mettre des épreuves de patience partout ou elle allait. Andrea cherchait souvent les autres pour justement les voir en colère ou avec leur patience à bout. Elle voulait les voir sous un véritable jour. Les voir comme jamais les gens ne les auraient imaginés.

On pouvait le lui reprocher. Sans aucun doute mais Andrea avait réussi bien des choses en faisant cela. Et puis les gens sont parfois hypocrites, alors qu’une fois en colère et sur de n’avoir plus rien à perdre maintenant qu’ils ont tout dit, ils se dévoilent. C’est ainsi qu’on arrivait parfois à un dilemme. Fallait il aimer ou détester Andrea ?

Elle ne se considérait pas comme une peste. Elle préférait se jouer d’elles. C’était parfois amusant, mais bien trop souvent ennuyeux puisqu’elles avaient toutes les mêmes réactions. Andrea était ironique et puérile. Bien sur quelle en avait conscience mais il lui arrivait de parler trop vite parfois. Alors on la détestait pour ce quelle disait. Mais la demoiselle ne se vantait qu’en rigolant. Elle préférait rire de ce quelle avait eu et de ce quelle n’avait pas eu. C’était toujours mieux. On comprend ou non. Chacun son opinion.

A voir Akira, Andrea se doutait bien que c’était un coureur de jupons. Un briseur de cœur peut être aussi. Mais faire semblant de s’attacher à quelque un pour jouer avec était beaucoup plus détestable que d’être quelqu'un à qui l’on s’attache sans que cette personne le veuille forcément. Après si il laissait les choses se tasser sans rien éclaircir c’était son propre problème. Elle avait déjà assez comme ça.

Dans le surnom que Akira lui avait attribué, le son « M » rappelait en effet à Andrea la possession. Ce n’était peut être pas une vision partagé. Pourtant quelque chose lui indiquait qu’il y avait pensé aussi.

Elle doutait bien du fait qu’il soit un goujat mais qui sait ! Les gens sont parfois surprenants. Andrea aurait aimé connaître son avis sur la question. Peut être n’aurait il pas apprécié quelle pense cela de lui ? Tiens, une nouvelle question à poser. Une de plus.

Andrea fut contente de n’avoir pas raté son rattrapage de dé. La demoiselle se doutait bien que le jeune homme ne se serait pas privé pour rire si elle l’avait fait tombé. Elle aimait jouer avec sa chance. Voir jusqu’où elle pouvait aller pour tester son potentiel de chance était parfois effrayant !

La demoiselle aimait la solitude autant que la compagnie. Être seule faisait un bien inimaginable mais trop de temps, elle pourrait en devenir folle. Alors c’était dur parfois de rester cloîtré sans jamais croisé qui que ce soit. Elle se rendait bien compte quelle ne faisait pas d’efforts certains temps, mais sortir pour s’apercevoir que le pensionnat était désert, sans façon. Alors elle essayait de s’occuper. Par moments, en vain. Elle tentait d’oublier, et c’était tout autant en vain. Chercher à s’en sortit devenait quelques fois inutile. Totalement inutile. Et puis un beau jour des cris résonnaient dans la cour, des pas se faisaient entendre. Alors Andrea sortait et se disait que malgré tout, la compagnie n’était pas si dérangeante que ça.

Elle rétorqua à sa phrase défensive d’une manière amusée :

« J’aime jouer avec. Ma chance ne me lâche presque jamais. Quoique…Sa m’est déjà arrivée «

Elle eut un rire désabusé et soupira avant de continuer :

« Mais je ne peux pas m’en empêcher. Comme quoi ! On ne se refait pas ! »

Il ne voyait pas le rapport entre le surnom et sa taille. Elle se mit à rire franchement et dit :

« Moi non plus en fait ! »

Elle tourna le regard vers l’une des portes quand elle sentit une main, celle d’Akira, lui ébouriffer les cheveux avec précaution et légèreté. Elle se tourna vers lui et fit la moue avant de se remettre à rire. Il y avait bien longtemps qu’on ne lui avait pas fait ça !

Il lui dit que le feu était dévastateur dans son cas. Comme beaucoup il ne devait pas savoir le maîtriser. Andrea fit mine de réfléchir puis avoua :

« Je ne suis pas non plus très doué pourtant je suis en deuxième année »

La demoiselle avait une mine désespérée rien que d’avouer ça. Mais elle apprendrait !

« Et oui ! Alors si jamais tu as besoin de quoique ce soit, Mademoiselle la Princesse super exigeante est la «

Andrea lui fit un clin d’œil avant de ralentir un peu et de se retrouver à son niveau.

[J'aime beaucoup on post =D]

AKira en faisait partie alors, à quoi ça pouvait bien lui servir de mesurer la patience des autres, au bout d'un moment les gens devaient craqués... Bon heureusement aujourd'hui il était plutôt bien luné. Ah, pas bête ça façon de faire au fond, mais pour cela il fallait pousser des gens à bout, et ce n'est pas ce qu'il préfère faire voyez vous! Comme ça on dirait qu'il est super gentil sensible, aimable sans aucun défaut. Mais c'est bien le contraire, juste qu'avec Andrea ils ont des façons bien différentes de faire. Lui n'obligeait jamais les autres à être eux même mais souvent il arrivait à bouts, car justement il ne le cherche pas, et aussi peut être parce que lui est quelqu'un de pas artificiel, ce qu'il y a de plus personnalisé.
Pour lui si les gens sont hypocrites, ils ne doivent pas en être très fiers au fond d'eux. Alors pourquoi continuer à les baratiner, si ils étaient comme ça, et que ça en plaisait pas la Miss ou lui même, il n'avait qu'à plus gardé contact. Parce qu'on ne change pas une personnalité. Ils sont comme ça il le reste. Il croyait peu à la possibilité de changer.

Amusant, elle était alors un peu sadique, ou alors aimait bien les autres être mal à l'aise face à ses paroles. Elle était bien bizarre. Bon c'est vrai que de ce côté Akira n'était blanc comme neige, mais lui ne le faisait qu'en cas de force majeure! Sinon, il ne voit pas en quoi rires du malheur des autres et amusant c'est surtout cruel et détestable. Mais après tout chacun son opinion. Chacun ses choix chacun ses pensées, chacun ses doutes, chacun sa façon d'agir, chacun sa vie...

Coureur de jupons et alors ? Un briseur de cœur certainement aussi, et alors? Souvent il en était malheureux de devoir briser le cœur des demoiselles avec qui il s'amusait... Mais c'est pas pour autant qu'ils les traitent comme de la viande en super-marché. Bien au contraire. Il pensait, surement à cause de sa galanterie naturelle, que les jeune filles particulièrement étaient des demoiselles bien précieuses, des êtres rares, et à manier est traité avec plus de précautions qu'on manie un objet rare et précieux. C'était son point de vue, du moins c'est toujours avec politesse, gentillesse et délicatesse qu'il traiter les demoiselles qui en valait la peine. Après si il avait trop de charme ce n'était pas trop de sa faute si? Pour n'être plus un briseur de cœurs faudrait il qu'il arrête de s'amuser? Ça ferait donc le malheur de beaucoup d'entre elles et ça le priverait... De toute façon, comme je l'ai déjà dis, chacun sa façon de faire et surtout on ne peut pas changer un caractère.
Pour ce qui est de n'éclaircir que très rarement les choses, c'est surtout qu'il est plutôt maladroit pour ce qui est de discuter de ce genre de choses. C'était un peu malsain, mais bon. Et même souvent il croyait avoir était clair, il existe des filles qui ne veulent entendre que ce qu'elles veulent...

De toute façon grâce au son "M" tous les mots qui possèdent ce son font souvent possessifs. Mais avant tout, ce son venait plus de Mignonne...

Qu'elle pense ça de lui ne l'aurait pas gêné, de toute façon ce genre de chose on lui en à posé des questions! Si il était macho, si il était égoïstes et encore toutes les choses dures à entendre, rien y fait, il répond toujours la même chose: " A toi d'en juger." C'est vrai dire qu'elle se trompe était prétentieux de sa part.

Si elle ne l'avait pas rattraper son dé aurait certainement défilé les escaliers, et elle aurait était obligé d'aller le cherché, mais ce n'est pas le cas, donc c'est oublié ^^ Une autre fois, certainement. Elle semblait quelqu'un de drôle il ne perdrait pas une occasion de rire avec elle ou d'elle qui sait. Mais pas méchamment.

Le pensionnat avait l'air peu habité, et alors? Du moins la première personne qu'il avait rencontré lui semblait déjà de très bonne compagnie, il pourrait toujours la croisé vu qu'il semble être au même étage, si jamais il se sent si insociable ^^. Après rester toute la journée seul dans sa chambre était inconcevable! C'est impossible, il allait devenir fou, il avait besoin de souvent prendre l'air...

Comme ça la demoiselle était une chanceuse. Il y réfléchit et rétorqua avec son sourire habituel, certainement un peu défieur:

" Ah, si tu le dit...Mais tu me parait bien sure de toi Mistinguette"

Il ne répondit rien à sa prochaine phrase, que dire? Et puis elle avait raison et il était d'accord avec elle.Chacun ses passe temps hein? En tout cas testé sa chance n'était pas le sien, il était trop souvent déçu par celle ci ...
Un rire qui sort du cœur, ça faisait bizarre, il la regarda stupéfait, pour une fois, il rit avec elle, elle non plus ne voyait pas le rapport, ah ouf, il est pas seul alors. De toute façon il y a pas de rapport à moins que dans son enfance quand elle n'était que petite fille de un mètre moins vingt on l'appelait comme ça...

" Ah je me suis dis aussi, que j'étais tombé sur une folle. "

Il avait dit tout ça sur un ton ironique ce n'était pas le moment de la brusquer ou frustrer. Quand elle se retourna vers lui, il était prêt à tout, qu'elle lui fonce dessus, qu'elle le laisse se débrouiller seul, qu'elle lui balance des injures, qu'elle fasse n'importe quoi d'immature, mais en faite non, et il en fut surpris et fier. Elle fit juste la moue. Là elle donnait envie de la charrier, de la taquiner. Il eut un sourire en regardant ses cheveux, elle avait une corne, tiens il lui avait réveillé une corne. Il ne dit rien fixant cette petite mèche de cheveux dressée vers la droite.

il avait bien l'intention de maitriser du mieux son élément, ou alors de le faire disparaitre, il verrait ce qui est le plus facile. Il demandera à son prof' un peu d'explications à ce propos.

" Deuxième année, c'est bien. Oui mais tu contrôles un minimum au moins t'arrives à ne pas t'incendier hein =) "

Sa mine était devenu moins joyeuse, mais il n'y fit pas attention, il n'avait pas hérité d'un élément facile apparemment.

Si il avait besoin de quelque chose, elle était là? c'était bien gentil ça! C'était quelqu'un de bien alors elle.

Elle lui adressa un clin d'œil qui le fit largement sourire, puis arriva à sa hauteur, là il lâcha un simple "Merci" et finis par lui dire:

" Tu fais quelque chose après ?"

Il avait le don de ne pas être timide, à la pensée de toute les personnes qui a sa place serait rouge écrevisse, lui ne voyait pas pourquoi, c'est pas comme si... Enfin bon, c'était juste pour sortir un peu, autant être en bonne compagnie n'est ce pas ?

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

[Merci c'est gentil =D Je te félicites pour les tiens ! ^^]

Par moments, Andrea se demandait si elle n’avait jamais regretté d’être devenue ainsi. D’être née ainsi. Elle n’avait pas choisie d’avoir ce sentiment de bien être en obtenant ce quelle désirait avec des moyens douteux. Elle avait évoluée avec ce quelle avait. Évoluer ou régresser. Andrea avait des doutes. Peut être regrettait-elle d’être devenue ainsi ? Peut-être regrettait-elle de ne pas avoir pu changer en grandissant. Peut-être regrettait-elle tout simplement de ce quelle faisait par moments ? Des regrets. C’était difficile à avouer quand on en à. Surtout pour une jeune fille comme elle qui avait, par le passé, commis beaucoup d’erreurs. Elle aimait mettre à nue les gens. Elle voulait connaître les failles que les gens voulaient cacher à tout prix.

Et pourtant, elle détestait ça. C’était une manie, un tic quelle n’avait jamais réussie à combattre. Alors tant pis. Détester ou aimer. Les gens choisissaient d’être ou non avec elle. Andrea était comme ça. Même si parfois elle rejetait la faute sur les autres, c’était comme ça. Les gens ont tous des défauts. La demoiselle aussi. La perfection fascine certaines personnes, Andrea, elle, lui faisait peur. N’étant pas parfaite, elle avait peur d’affronter ce qui pouvait l’être. De devoir affronter ses défauts et les reconnaître. Elle avouait en avoir, mais seulement quand il le fallait. Pauvre jeune fille terrifiée par les erreurs.

Andrea ne riait pas du malheur des autres. C’était bien trop cruel et enfantin. Malgré sa puérilité elle avait conscience de certaines choses. Et comparer le malheur des gens est tout bonnement impossible. Alors elle ne disait rien. Et n’avait rien à dire. Ce n’était pas sa faute si les gens devenaient malheureux mais elle s’en souciait parfois. Puisque elle le serait peut être un jour, à son tour.

La demoiselle ne détestait pas les coureurs de jupons. C’était parfois amusant de les voir se pavaner. Certains en profitaient, d’autres moins. Chacun ses envies et ses habitudes. Il n’y avait pas de mal à avoir du succès auprès des femmes. Après, à lui de voir comment le gérer. Il n’y avait rien de détestable dans le succès qu’un homme peut avoir. Si, de la jalousie envers lui. Ce que Andrea n’aurait pas. Mais si les demoiselles appréciaient sa compagnie, alors tant mieux pour lui. Akira avait des atouts, et s’en servait. Ce n’était en rien reprochable. Il avait raison. Si il brisait les cœurs, et s’arrêtaient d’être ainsi, beaucoup de jeunes filles seraient déçus et lui ça le priverait. Alors pourquoi ne pas continuer ?
Les demoiselles ne veulent entendre que ce qui les arrange. Après, c’est leur problème à elles si elles s’illusionnent.

Après avoir remit le dé dans sa poche, elle se re-félicita de ne pas l’avoir fait tombé. Si il roulait jusqu’aux escaliers, Andrea aurait du aller le chercher. Sans façon.

La jeune fille se surprit à penser que si Akira et elle étaient au même étage, alors la solitude serait peut être moins présentes. Elle pourrait peut être lui rendre visite les jours de calme. Andrea ne voulait pas s’enfermer certaines fois, mais dehors, il n’y avait presque plus personne. Regarder le lac calme et silencieux, où voir la ville s’éteindre le soir pour se réanimer le matin de haut, perché sur le toit, une fois de plus seule, Andrea doutait que ce soit très plaisant. Par moments oui, seulement par moments.

Avouer quelle avait de la chance était peut être un grand mot. Mais certaines fois elle pouvait se révéler très chanceuse. C’était amusant de tester. Même si parfois elle était un peu dangereuse dans ses tests, Andrea s’amusait.

Akira paraissait perplexe quand elle lui dit avoir de la chance. Son sourire semblable à un défit l’amusa :

" Je te prouverais un jour que j’ai vraiment de la chance ! Tu verras… "

Elle rit amusé par sa propre phrase peut être un peu prétentieuse, et espérait vraiment pouvoir lui prouver quelle était chanceuse…ou pas.

C’est vrai. Andrea ne riait pas souvent ainsi. Elle était du genre joyeuse alors elle aimait rire. Rire, rire et rire. C’est parfois ce quelle faisait le plus souvent. Malgré les regrets, les défauts, les erreurs, elle ne s’en privait pas. Pourquoi devrait elle ?
Andrea vit la mine stupéfaite du jeune homme et continua de rire en même temps que lui. A vrai dire le surnom et sa taille n’avaient aucun rapport. La demoiselle avait parlé sans réfléchir. Ce qui était souvent dur pour elle u_u.

Akira parla avec ironie. Elle une folle ? Oui sans doute. Parfois on la prenait pour une idiote qui ne faisait que dire des bêtises, ou alors pour une jeune fille fofolle. Ce qui n’était pas vraiment faux. Mais peut importait pour qui on la prenait. Elle ne serait jamais plus qu’Andrea. Simplement.

La demoiselle ne pensa pas à la laisser seul ou l’injurier quand il lui ébouriffa les cheveux. Au contraire, si il n’avait pas été aussi grand, elle aurait sans aucun doute fait la même chose. Dommage, trop petite la demoiselle. Andrea secoua la tête un instant, tentant tant bien que mal de remettre ses cheveux en place. Bof pas terrible le résultat. Elle les laissa comme ça. Ce n’était jamais que des cheveux après tout.

Les profs’ se faisaient rare en ce moment. Le manque de personnels était considérable et pour trouver quelqu'un qui enseigne bien, il ne fallait pas trop en vouloir en ce moment. Andrea ne savait pas vraiment à quoi pouvait être du les départs. Elle cherchait, sans savoir.

Quand le jeune homme lui dit qu’au moins, elle, elle ne se faisait pas brûler par son pouvoir elle eut un sourire. C’est vrai. Mais en première année, la demoiselle ne savait même pas rallumer une allumette que l’on venait d’éteindre.

« C’est vrai. Et puis ce serait dommage que je brûle non ? J’ai envie de rester ici encore longtemps, alors je préfèrerais ne pas mourir à cause de mon pouvoir. Ce n’est pas très glorieux en fait ! »

Elle en riait à présent, mais il y a quelques temps, en rire l’aurait sans doute mise en colère ou déprimée.

Quand elle arriva à sa hauteur, il lâcha un « merci » quelle acquiesça avec un hochement de tête gentil. C’était normal. Elle n’allait pas le regarder de loin avoir besoin d’aide si jamais un jour cela devait arriver.

Akira lui demanda ce quelle faisait après. Elle fit mine de réfléchir et répondit tout aussi joyeusement qu’au début :

" Je pense que je n’ai rien à faire aujourd’hui ! "

Il n’avait pas rougi en lui demandant ça. A vrai dire, il n’avait absolument aucune raison de le faire. Alors elle ne fut pas choquée, ni même intimidée. Si il voulait sortir en sa compagnie, elle serait tout aussi contente que lorsqu’elle l’avait conduit jusqu’au dortoir. La journée s’était annoncée moins banales que les autres. Tant mieux. Andrea n’aurait peut être pas supporté de vivre un nouvel après midi monotone après un matin encore plus monotone que le reste.

[OO The big post, a mon tour =D]

Etrangement Akira n'avait que très peu de souvenirs de comment il était avant, étant enfant il avait toujours obéis à ses parents comme le ferais un chien, au fond il était comme un petit prince. Mais maintenant il n'arrête pas de les décevoir et pour dire la vérité ce n'est pas ce qui lui déplait le plus. Pas qu'il les aime pas, mais juste qu'il n'aime pas la personne qu'il serais si il vivait et les écoutait. Simplement envie d'être lui, de faire ce qu'il veut, ou il veut avec qui il veut. Être totalement indépendant. Il en avait fait des conneries, mais au moins il s'amusait. Parfois il se demandait même si il avait un casier judiciaire. Rares sont les fois où après une soirée bien arrosée et suivis d'un réveil difficile en prison il se rappelle de ce qu'il a fait la veille. Du moins, pour l'instant ce n'était pas le plus important dans sa vie de jeune indépendant. Les erreurs sont faites pour apprendre la vie, non ? Du moins, lui ses erreurs il les refaisait, une fois deux fois même trois fois...Les mêmes et pour dire que c'est pas très jouissif!
Au fond Andrea devait être quelqu'un qui aime la vérité et qui obtient tout ce qu'elle veut par ses propres moyens, certes. Pas comme lui où tout ce qu'il a eu on lui a donner sur un plateau. Maintenant il aimerait vive l'expérience d'un "pauvre" Et pour dire vrai il s'était même donner un défi, un peu bête c'est sûr mais il l'avait relever. Il est rester une semaine (bon début) dans la rue sans argent, sans téléphone, sans rechange. Juste histoire de voir leur vies, et durant cette semaine il avait perdu 12 kilos OO il avait découvert comment maigrir gratuitement. Depuis il a quelques problèmes d'appétit et est toujours fier de donner aux sans abris quelques billets, histoire de leurs facilité la vie au moins durant une journée. Normalement lui est la charité n'allait pas ensemble, mais c'est une expérience qui lui a ouvert un peu les yeux. Sur les autres. Même si il est allé très loin, très bas.
Si elle voulait chercher les failles qu'il cachait au plus profond de lui, ce n'est absolument pas avec ses méthodes qu'il le cracheras. De toute façon c'est des trucs enfouis dans son passé qui, sortiront certaine jamais de sa tête et ne dépasseront jamais les barrières de ses lèvres.

Akira sait pas si, elle utilise ce genre de manières avec lui, si il resteras encore avec, la croiser la saluer. Il n'aimait pas qu'on le prenne avec des gants mais tout de même il y a aussi le respect, certes elle doit le savoir, mais elle ne semble pas vraiment comprendre que les gens autres qu'elle ont un cœur, une vie et des sentiments et que quelques mots peuvent blesser... Enfin, il ne comprend pas pourquoi il pense ça d'elle soudainement. Il ne la croyait pas cruelle, méchante et ingrate. Bien au contraire on dirait plus la princesse que la sorcière. Après si elle caches son jeu, et qu'elle est comme il ne l'imagine pas alors là il tomberas de haut et seras super déçu. Le problème d'Akira est qu'il donne que très rarement une deuxième chance. Il n'en accorde jamais, peut être parce qu'il ne laisse pas le droit à l'erreur...C'était idiot hein ? Oui mais il est comme ça. Il exige toujours de ses fréquentations comme il ne se donne pas le droit à l'erreur et même si il fait une erreur et qu'il s'en rend compte, et que la personne en question lui donne une deuxième chance, il ne l'acceptera pas, tout le monde la même chose... Qu'il était stupide de penser ainsi, même lui trouvait ça nul...

Oui en aucun cas c'est sa faute le malheur des autres à par si c'est à cause d'elle. Cependant lui ne pensait pas à aider les autres, souvent de toute façon, il était rejeter, son aide n'était jamais sollicité, alors pourquoi l'offrir si c'est pour être remballé? A rien. Si on lui tend une perche il l'attraperas, il veut bien aider mais pour ça, maintenant, il faut qu'on lui demande. Son aide pouvait être dans certains cas très précieuse. Il avait des façons de sortir les gens qui ont besoins d'aide et qui l'assume, disons particulière.

Pour un coureur de jupons, Akira ne croyait pas trop profiter, au fond c'est pas comme si sauté sur tout ce qui bouge bien au contraire. Sinon Andrea ... Enfin bon stop aux idées idiotes et insensées. On dit coureur de jupons, mais certaines femmes cherchent bien. Il lui était déjà arrivé de rencontré une jeune femme qui était une vraie de chez vraie coureuse de ...Caleçons x'DD. Au fond chacun ses manières ... Lui il use de son charme, mais d'autres usent de leur intelligence, de leurs rangs, de leurs pouvoirs. Il trouvait que ça manière à lui était bien plus loyale... De toute façon, il serait obliger de continuer, ça l'amuse beaucoup et puis comme ça il est lui même. Si les autres le jugent, ça lui fait rien... Absolument rien.

Il aurait bien rit si elle l'avait laisser dévaler une à une les marches de marbre. Trêves de plaisanteries et de blabla à ce propos!

C'était sûr que maintenant qu'il était là, dans le même dortoir qu'elle, ils se verraient assez souvent. De toute façon, il ne pense pas que ce soit nécessaire de lui dire que sa porte était toujours ouverte pour elle. C'est vrai et ça semblait si normal pour lui. Il pouvait comprendre que durant des jours particuliers elle se sente seule abandonnée, délaissée...De toute façon on lui à toujours dit qu'il était fort pour consoler les autres alors...Autant jouer de cette atout! Il aimait bien se balader seul, mais certains moment la solitude mène à de la déprime et là c'est pas bon. c'est pourquoi parfois il ne refuse jamais une bonne compagnie. En tout cas ce qu'il sait c'est que si il se quitte sur le palier de sa nouvelle chambre, il la reverrai un jour qui suivrait. Il était futé et trouverai un moyen de la voir, juste histoire d'avoir des nouvelles. Il était comme ça...

Tester sa chance est quelque chose qui, jamais, ne lui est venu à l'idée, à quoi bon ? Quelle était l'utilité ? Peut être qu'à force d'en user on en à plus ? Ou c'est peut être pour avoir confiance en sois... En tout cas lui c'est pas ce qu'il fait tous les jours. Il en a presque pas de la chance lui. Et c'est pas ça qui lui manque le plus.

Elle prouveras sa chance ? Aller c'est partit! Il eut un sourire sûr et dit :

" D'accord! On verras. "

Il la croyait, c'est sûr qu'elle devait être chanceuse, mais il voulait quand même voir ça. Ça pouvait être drôle. Son rire était cristallin, et très agréable à écouter. Déjà qu'un rire en général est agréable mais le sien était ...Super.
Il était tombé sur une fille joyeuse ne perdant pas d'occasion de rire, cool! lui c'était pas trop son cas, il riait quand on devait rire, mais durant des moments où tout aller mal il ne fallait pas compter sur lui. Au départ il n'arrive pas à cacher ses sentiments, contrairement à d'autre. Sauf quand il est en compagnie d'une personne triste qui est malheureuse sur le moment, là c'est priorité à cette personne. Ça toujours était la même chose, priorité aux autres et ensuite lui. Une preuve de non-égoïsme. Et ça il en était plutôt fier. Ils rirent ensemble parfaitement coordonnés.

Folle, oui toutes les filles étaient folles pensait il. C'est vrai qu'il y avait toujours une pointe de folie dans l'Homme en général, mais chez les demoiselles elle se dévoile souvent. C'est presque de l'hystérie, et ça c'est charmant. Trouvait il. Au moins c'est quelqu'un qui, en grandissant n'a pas perdu le sens de l'humour, pour certain c'est preuve d'immaturité, mais pas pour lui, ça prouve qu'elle est heureuse de vivre et que parfois elle aime se lâcher histoire de rendre la vie moins monotone. Non ?

Au fond sa réaction était surprenant, et l'avait surpris. De là il était devenue sérieux. Ce qui ne dura pas en voyant la petite corne de la demoiselle. Elle aurait voulut toucher à ses cheveux ? A le geste qu'il faut pas faire, lui est ses cheveux c'est l'amour parfait, sans oublier sa valise. Non il n'aurait rien dit, mais ça l'aurait chiffonner pour toute la journée. L'humeur vient de ses cheveux, si il a une cornes qu'il n'arrive à maitriser, il sera gêné toute la journée. Bizarre. Elle remua la tête et la corne disparu pour réapparaitre, il ne put s'empêcher de rire, et levant la main libre vers elle, il saisit la corne et la fit suivre les autres, la rebelle! xD Il avait l'habitude de manier les cheveux, ( surtout celles des jeunes filles parce que ceux des jeunes hommes il les touche pas souvent =D ) avec douceur, et délicatesse. Elle avait des cheveux disciplinés et doux. Lui trouvait les cheveux importants, ça faisait tout dans une personne.

Si les profs se faisaient rares en ce moment c'est pas si grave, il apprendra seul, que ce soit les cours ou son pouvoir, oui il était pérceverant et y arriverais certainement seul. Contrairement à ce que son image peut faire penser ce n'est pas le genre de personne qui a tout et qui ne cherche pas a avoir plus. Lui veut avoir un boulot après être partit dans une université. Même si l'argent de sa famille le feras vivre aisément toute sa vie il préfère dépenser SON argent. Comme les autres. Donc il tiens aux cours, et au reste. Il ne veut pas d'un avenir servit sur un plateau.

Pas savoir allumer une allumette éteinte ? En première année. C'était déjà énorme, lui n'arrive même pas à éviter de se bruler tout court OO. Qu'elle brule? Dommage ? c'est à voir ...Non pas bien >< bien sûr que ce serait dommage !

" Oui très dommage...C'est vrai que si là tu brûle je serais dans le petrin vois tu...Je sais toujours pas où est ma chambre..."

Il dit ça d'un ton sérieux sans tenir évidement, il éclata de rire joyeusement et d'un coup d'épaule amicale et pas trop fort hein. il la poussa. La taquinant.

Il ne fallait pas déprimer pour ce genre de chose, il avait une question à lui poser, vu que c'est même pas sûr qu'il y ai un prof pour son pouvoir, il lui demanderais si déjà c'est possible de ne plus en avoir...

Après avoir dit son merci, il dit quand même par gentillesse et surtout amicalement :

"Euh, ouais si jamais tu meurs au fond de ton trous, et que tu déprime à mort, enfin tu vois, bah moi aussi je suis là, on s'entre-aide entre voisin de palier ...Enfin presque hein =) "

Elle réfléchit, et répondit négativement, donc ils pourraient certainement se promener tous les deux sans sa valise. Et leurs timidité de "nouvelle rencontre".

" Génial, si tu veux te tester à m'supporter encore un peu, c'est avec joie"

Oui il n'y avait aucune raison, mais certains rougissent rien qu'à l'idée d'être en face d'une personne du sexe opposé. Oui il voulait une balade avec elle, elle et elle seule! Histoire de faire plus ample connaissance et de sortir un peu, il avait fait de la route et en avait par dessus la tête d'être enfermé est stressé depuis ce matin tôt.

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

[Chui inspirée en ce moment xD]

Bien avant d’arriver à Kinako, Andrea avait vécu avec son père. Il n’avait jamais été un homme sévère, bien au contraire. Il lui avait appris à respecter des règles, des sentiments, les gens. La demoiselle avait grandi et continuait ainsi chaque jour. Mais elle n’avait pas toujours été comme ça. Enfant la demoiselle se demandait souvent à quoi pouvait bien servir les sentiments des autres. Elle avait tout d’abord pensé à un amusement, mais avait vite appris que ce n’était pas quelque chose que l’on peut et doit négliger. Ce n’était pas anodin. Elle avait eu tendance à faire confiance trop vite aux gens, mais le fait d’être rejeté l’avait vite faites changer de vision. La demoiselle se renferme, devient moins sociable, et plus puérile. Pourtant certains jours, elle pouvait faire preuve de gentillesse et d’empathie. S’en était presque déconcertant. On disait souvent que son comportement ressemblait au jour et la nuit opposée.

La demoiselle avait quitté sa ville natale pour venir au pensionnat. Et hop ! Plus de nouvelles de son père, plus de contacts avec le monde qui l’avait entouré dès sa naissance. Ce n’était peut être pas plus mal. Elle ne préférait pas se voir reproché les erreurs du passé. Elles étaient bien trop
nombreuses. Et le seraient sans aucun doute encore.

A vrai dire, Andrea n’avait pas eu tout ce quelle voulait mais avait su obtenir autre chose. Alors elle ne se plaignait pas. La jeune fille connaissait les situations de vies dehors, et se privait certains mois de choses futiles pour donner de l’argent à ceux qui en auraient plus besoin qu’elle. C’était naturel d’aider son prochain. N’était ce pas la un des plus grand problèmes de la société ? Fermer les yeux sur les problèmes des autres, ne voir que ce qui arrange ? L’égoïsme dominait à certains endroits.

Andrea ne cherchait pas les failles de tout les monde. Il y avait des limites à ne pas dépasser pour garder le contact alors elles ne les franchissaient pas. C’était une mauvaise manie dès quelle était en colère ou irrité par un comportement quelle jugeait reprochable. Ce n’était souvent pas un point de vue partagé mais qu’importe, Andrea franchissait les limites qu’on le jugeait ne pas avoir à franchir. Peu importe els conséquences. Peu importe ce qui devrait arriver, trop c’est trop. D’ailleurs, il arrivait souvent que la demoiselle soit témoin de disputes ou même victime de ses propres « crimes ». Ils n’étaient pas aussi abominables que cela. Les gens n’aimaient pas être étudiés et percés à jour. Voila tout.
Ses manières pour la plupart étaient détestables. C’Est-ce que l’on disait d’elles. Mais Andrea ne jugeait pas que l’on puisse les qualifier aussi sévèrement. L’extérieur n’avait qu’à savoir se contrôler. Point barre.

Malgré tout, Andrea savait que les gens avaient une vie, des sentiments et pouvaient être blessés par ses actes ou paroles. Elle n’était pas inconsciente. Et penser quelle était aussi égoïste et égocentrique ne lui plaisait pas. Qui dans l’histoire était égocentrique ? Ceux qui cherchaient à connaître la vérité pour quelle soit la en retour ? Ou ceux qui se fichaient de celui qui cachaient tout aux yeux des autres en prenant le soin de mentir ? C’était une vision particulière et particulièrement détestable aussi. Qui d’ailleurs devenait par moments source de conflits. Les gens voulaient la vérité sans avoir à faire aux problèmes. La facilité et le résultat. Andrea ne pouvait pas concevoir que quelque un prétendre être blanc comme neige dans des histoires comme celles-ci. S’enfoncer dans le mensonge ne donnait pas mieux que la vérité éclater au grand jour.

Si Akira ne donnait pas de deuxième chance au gens, alors il devait souvent être déçu. Où alors les personnes étaient hypocrites. Ce n’était pas mieux. La jeune fille avait pensé qu’accorder une deuxième chance en fonction des erreurs était une bonne idée. Le moindre faux pas et tout s’arrêtent ? Non, c’était trop demandé pour quelque un d’imparfait. C’est-à-dire la quasi-totalité des personnes. Si il avait commis un faux pas envers ses amis et qu’il ne lui donnait pas une seconde chance, serait il impassible à cette perte ? Ou alors voulait il que tout le monde soit logé à la même enseigne, et quitte à en souffrir, ne pas avoir droit de tout recommencer pour voir si les choses peuvent êtres arrangés ? C’était triste de penser ainsi. Se considérait il comme un homme droit pour avoir une conception du pardon aussi étroite ? Non, sans doute pas. Peut être pas. Mais au fond, qu’en savait elle Andrea ? Rien, absolument rien. Elle aurait aimé le savoir. Lui accorderait il une deuxième chance, à elle, si jamais Andrea le décevait ? Ce serait malheureux que tout se brise pour un seul faux pas.

En étant rejeté, il ne pensait pas à aider les autres. C’est vrai. Si c’est pour être calomniés après, ça ne servait à rien. Pourtant, même si être rejeté n’est pas plaisant, Andrea savait qu’au fond c’était une manière d’appeler au secours. Il fallait tenter pour peut être y arriver. Même si paradoxalement, elle se fichait de la douleur de gens par moments elle pouvait devenir trop émotive. C’était ambigu et étrange. Elle détestait cette facette de sa personnalité. Ne pas savoir comme aider puis ne plus chercher à le faire. Quel casse tête !

Parfois, un côté masochiste sortait en elle. Si on ne souffrait pas, cela prouverait que l’on ne vit pas. C’est désagréable d’avoir mal que ce soit physique ou mental, mais la douleur lui rappelait quelle pouvait être joyeuse, émue, ou impassible. Alors elle avait des sentiments. Des sentiments détestables ou charitables. Mais des sentiments. Le jeu en valait la chandelle. Elle souffre, elle est heureuse, elle ne ressent rien, ne veut pas ressentir mais au fond elle vit parce que tout ça se mélange. D’une façon ou d’une autre, Andrea n’est pas si immonde que ça.

Akira avait raison. Il profitait mais sans plus. Et puis, les femmes le voulaient bien. Elles décidaient elles même de ce qui se passerait ensuite. Il n’y était pour rien si elles succombaient à ses charmes. Cette pensée arracha un sourire à Andrea. Oui, il ne sautait pas sur tout ce qui bougeait. Heureusement.

C’était rassurant de savoir que son futur voisin de palier, ou presque, serait la sans quelle ne demande rien. Si cela semblait normal pour lui, alors Andrea ne devait pas se plaindre. Elle n’avait pas à le faire. Et puis, les gens se faisaient rare en ce moment, c’était sympathique de voir de nouvelles têtes. Surtout aussi charmante que celle-ci.

Il acquiesça de manière sur à son affirmation. Il n’y avait plus qu’à trouver le jour ou Andrea était la plus chanceuse, pour le lui prouver.

Il était vrai de dire que Andrea riait beaucoup. Elle riait quand ça allait mal, elle riait quand ça allait bien, et dans les deux cas, soit elle riait pour elle ou pour les autres. La demoiselle avait assez de joie en elle pour en faire profiter beaucoup. Rire l’aidait à continuer. Et puis, être toujours de mauvaise humeur ou triste, n’apportait rien bien positif. Il fallait profiter des bons moments pour étaler la joie les jours ou rien n’allaient. C’est ainsi qu’il lui arrivait de procéder à la demoiselle.

Andrea partait souvent dans des délires qui faisaient peur au gens trop terres à terres. C’était bon de laisser libre cours à son imagination en ébullition. Elle adorait faire ça. Même si le sérieux avait du bon, trop ça devenait fatiguant. Le délire aidait à éloigner les jours mornes.

Elle sentit la main d’Akira remettre une de ses nombreuses mèches rebelles en place. Heureusement qu’il était la pour la recoiffer la mistinguette xd. Andrea s’aperçut qu’il avait l’habitude de manier les cheveux féminins. Il y allait avec délicatesse. Aha un gentleman des cheveux ! Ça ne courait pas les rues xd ! C’est vrai, ses cheveux à lui étaient bien coiffés, même si la mèche de devant semblait rebelle, il avait une coiffure soignée. Y’a des gens comme ça. De toutes façon il était pratiquement impossible pour Andrea d’avoir des cheveux bien coiffés. Elle était toujours en train de courir quelque part ou de sautiller u_u.

Si Akira était persévérant alors il arrivait à apprendre seul comme Andrea qui doutait avoir la même persévérance que lui. Elle avait du travailler longtemps pour en arriver la. Alors elle s’autorisait des pauses de longue durée. Et puis, s’entraîner toute seule n’était pas forcément toujours agréable.

Akira semblait presque convaincu de ce qu’il disait. Il affirma que ce serait dommage si elle brûlait, surtout qu’il ne connaissait pas encore sa chambre. C’était en effet un énorme problème xD. Il éclata de rire joyeusement, et la poussa amicalement d’un coup d’épaule. Elle se tourna vers lui, faisant une fois de plus la moue, tout de même contente qu’il soit joyeux lui aussi.

« Sa me fait plaisir de voir que je te suis utile en tant que guide. Mais après ? Tu me laisserais brûler sans rien faire ? »

Elle fit mine d’être triste avant de re-éclater de rire tout aussi joyeusement qu’auparavant. Ils se charriaient et se taquinaient. Amusant.

Akira lui dit que si jamais elle déprimait ou quelle se terrait au fond de son trous, il était la. Elle lui sourit avec reconnaissance avant de lâcher un merci enthousiaste. C’est toujours plaisant que quelque un dise cela.

Le jeune homme semblait content de pouvoir aller se balader avec elle. Se tester à le supporter encore un peu ? Elle rit doucement avant de répondre :

« Ça va être pénible et sans doute les heures les plus longues de ma vie mais je tente le coup ! »

Elle lui tapota sur l’épaule, se mettant légèrement sur la pointe des pieds > <, et reprit :

« Mais fais gaffe, je suis insupportable «

Andrea fit une mine compatissante et se décida enfin à s’arrêter devant une porte et de dire avec un peu plus de sérieux, néanmoins son éternel sourire encore sur son visage :

« Nous y voila ! Je te laisse le soin de découvrir ta nouvelle chambre. »

La demoiselle se plaça derrière lui, laissant Akira découvrir en premier la chambre dans lequel il habiterait à présent. Elle tourna doucement son regard vers une porte situé à deux paliers de celle-ci, opposé à celle d’Akira, puis reposa son regard sur le jeune homme. Elle fixa quelques instants sa nuque puis se pencha pour regarder la poigné.

[J'vois ça Oo]

Ah? Son père lui avait appris tout ça ? Sincèrement on aurais pas dit, mais comme on le lui avait appris à lui, de ne pas juger les gens par les apparences temps qu'on a pas des preuves concrètes. Il était peut être trop réfléchit le garçon. Sûrement et malheureusement pour lui. Pour dire vrai, Akira étant jeune ne croyait pas que d'autres personnes pouvaient compter à part lui, maintenant il le gardait pour lui c'était bien trop honteux! C'était d'un égoïste inouï! Et rien qu'à l'idée de pensé ça, il se trouvait détestable, mais il a changé, il a eu de nombreuse occasion de changer, et il pense les avoir saisies. Lui était une personne d'excentrique à l'extérieur et de calme à l'intérieur, en faite, il se croit devenu sociable, mais il en doute, sociable était un bien grand mot. Souvent pas qu'il n'ose pas, mais il n'aborde pas les gens, si c'est eux qui le font là il ne refuseras pas une discutions. Ça voulait dire tant de choses non ? En tout cas, lui trouvait ça à la fois bête et à la fois une preuve d'intelligence et de capacité de réfléchir. Elle était lunatique ? Tout le contraire de lui, à part comme tout le monde il lui arrive d'être de mauvaise humeur, mais ce n'est pas pour ça que tout son comportement change...

Elle n'avait aucune nouvelle de son père ? Elle en souhaite peut être. PAs lui, mais il en a, à vrai dire il aimerait bien éviter que tout le monde sache qui est son père, certes une personne riche mais il n'en sauront pas plus. Il n'était pas très fier de son père et quand il pouvait éviter d'avoir de ses nouvelles il le faisait avec joie. Méchant? Peut être. Après tout il n'était pas majeur et ses parents avait tous les droits sur lui, et alors? Il vivait bien à des milliers de kilomètres et grâce à ça il faisait un peu ce qu'il voulait! Si il ne pourrait pas faire toutes ses choses qui le rendent heureux chaque jour, il aurait certainement fugué. Triste situation, mais sa liberté était la chose la plus importante pour lui. Pour lui on vit que lorsqu'on est libre de ses mouvements, pas quand des gens connus ou pas se préoccupent de l'endroit ou tu es, de ce que tu fais avec qui...

Charité. Grand mot qui semble si loyale, mais qui se fait rare. C'est vrai. En pensant à ça, les paroles de son père lui traversèrent l'esprit avec vivacité, il lui avait dit un jour : "Tu vois les gens qui vivent dehors, qui meurt dehors, c'est parce qu'il ne font rien pour s'en sortir! Ils sont nuls, ils ne méritent pas notre aide, de toute façon les pièces qu'on leurs donnent servent à achetez de l'alcool ou même de la drogue! Ils ne méritent pas notre attention!" Lui l'avait cru comme les enfants croient tout ce que leur parents leur racontent. Mais après son séjour " parmi " eux, il compris qu'en faite si il acheter de l'alcool ce qui était vrai c'était soit pour oublier, tout oublier, leur situation, soit pour se réchauffer. Et si il acheter de la drogue c'est soit parce qu'ils en sont accrocs, soit c'est pour voir la vie en rose juste une dizaine de ridicules minutes. Depuis qu'il avait pensé ça la première fois, il n'avait était que moins égoïste et surtout il donnait toujours plus. Autant faire partagé son bonheur, non ? Si l'argent peut les aider un minimum. Il se rappelle même avoir volé de l'argent à son père prétendant avoir fait et offert un tour d'hélicoptère de plusieurs villes à ses amis pour leur légué quelques milliers de dollars, qu'il distribuer également par personne. Depuis on l'avait surnommé Dieu, mais n'était que Akira.

C'est totalement humain d'avoir ses manies d'être curieux, mais c'est vraiment ignoble de pousser les gens par des manières barbares de dévoiler leur secret qu'ils n'osent certainement pas dire, tout le monde a ses secrets, et une fois qu'on en a plus, qu'il a été dénoncé, c'est sur que là, on se sent nul et vide, on à l'impression de rien avoir à l'intérieur d'être connu par cœur par tout le monde. Il savait ce qu'il disait il était bien trop naïf. Ça le perdra.Et si un jour elle rencontre une personne étant aussi forte qu'elle à ce petit jeu sadique, et que cette personne arrive à lui suturé comme elle suture les secrets des autres, comment se sentira t'elle ? Mal ? Nulle ? Vide ? Ou juste honteuse? En fait Andrea aimait se mettre en questions, elle aimait aussi le danger de perdre des gens qu'elle peut apprécier, de les tester...

Chacun fait ce qu'il veut de sa vie. En tout cas si une personne veut cacher des choses à Akira il le laissait faire. Tant pis après ce n'était plus ses affaires, il ne le forcerait pas. C'était ignoble et détestable de faire ça.Si les gens mentent, c'est peut être pour se protéger. Ce qu'il pouvait dire sur ces manières c'était qu'elles n'étaient pas recherchées avec approfondissement. Qu'elle avait effleurer chaque idée. Si un jour ils parleraient de ça, il lui dirait tout ce qu'il pense en sachant que ça ne serviras à rien. Ce n'est pas un héros. Heureusement. Il se voit mal aider tout le monde ^^'. San prétention, il croit bien qu'un jour elle seras malheureuse à cause de ça. C'est vrai que la vérité était mieux qu'un mensonge. Mais il faut que la vérité sorte seule, pas par la torture, non ?

Faire des erreurs était quelque chose qu'il ne supportait pas venant de lui. Il était très exigeant, et on lui reproché. POur ce qui est de ses amis, c'est vrai qu'il les lâchait à cause des faux pas, mais quand il dit faux pas ce n'est pas une petit bêtise ou petite trahison, tout de même. Juste des limites bien posées, déjà presque à l'extrême. Il était souvent déçu c'est sûr. Mais c'était une façon de se punir. De quoi, bonne question. Peut être d'être né comme ça, là où il est né, avec ce qu'il a et la chance qu'il a eut avec... Au fond c'était pas sa faute mais il se sentait plutôt coupable du malheur des gens différents. DE toute façon pour dire vrai, des amis il n'ent a que deux. Et n'en auras toujours que deux. Des amis qu'il n'a pas revu depuis au moins 7 ans. Mais c'est les seul qu'il aura. Il change bien trop souvent d'endroits pour s'en faire de nouveau. Les connaissances il ne s'y attachait jamais beaucoup. Pour qu'une connaissance devienne un ami il fallait qu'il se connaisse au moins depuis un an minimum, mais jamais pour l'instant il n'était rester plus d'un an dans un pensionnat. Bizarre. Souvent il souffrit de devoir se séparer de ses amis comme ça, mais il ne le montrait pas, et partait souvent pour excuse, d'exagérer les choses. Sinon ils ne comprendraient pas et s'en voudraient, eux. Alors que c'est Akira est lui seul qui doit souffrir de cet échec. Pour ce qui était d'Andrea, on verrai bien, mais pour lui il semble inconcevable qu'elle puisse le décevoir, elle semble si parfaite et puis ses limites sont si éloignées de la normale que si il y a bien quelqu'un qui n'a rien à craindre c'est bien elle ! Du moins il l'espère.

Si on observe bien son comportement envers les autres on peut savoir qu'il est très exigeant. Oui c'est vrai, mais il pense être plus exigeant envers lui qu'envers les autres. A force il se retrouveras seul. Il l'aura mérité. Lui si il était mal, ou déprimé, qu'il avait besoin d'aide, il tendait une main, pour qu'on l'aide, c'est comme ça qu'il réclamait de l'aide. Pas autrement. Si il le fait pas, alors c'est qu'il n'en veux pas. c'est si simple. A part bien sûr si c'est quelqu'un qu'il aime beaucoup, et qu'il voit souffrir chaque jour là il aide sans qu'on lui demande.

Donc en fait pour Andrea vivre est souffrir était complémentaire? on ne vit pas si on souffre pas? C'est bien bizarre ce raisonnement. Mais c'est vrai que tout le monde souffre au bout d'un moment, lui avait plus souffert physiquement que mentalement jusqu'ici. Ça changerais certainement mais il ne préfère pas, il préfère souffrir de douleur insufflées que se détruire de l'intérieur.
Il se doutait bien qu'elle n'était pas si immonde que son caractère lui montre. Parce que si c'était le cas il n'aurait pas ce comportement envers elle.

POurquoi se priverait t'il d'un bonheur tel que celui ci ? Alors qu'il n'est pas le seul à le partager ? Ce serait idiot est inutile,a près si les femmes le rappelait à l'ordre et que lui n'était pas tout à fait de leur avis, ce n'était en aucun cas de sa faute, si elle ne savait plus s'arrêtait. C'est pourquoi lui à chaque fois il se met des limites et surtout ne donne jamais son numéro de téléphone ^^. Il était innocent. Et ce n'était pas de sa faute si il était jeune avec autant d'expérience. Oui Heureusement, parce qu'ici il serait servit!

Il fallait bien s'entraider, surtout qu'elle était plutôt sympathique et agréable, donc il ne voit pas pourquoi après cette journée il couperais tous les ponts. De toute façon ce serait difficiles étant presque voisins de palier. Elle était d'une compagnie tout ce qu'il y a d'agréable, gentille, drôle, très mignonne et intelligente certainement. Mais après c'est certain qu'il n'a pas tout découvert sur elle.

La il l'avoue elle a une belle façon de procédé. Lui c'était plus simple, ne rien laisser paraitre et être normal, sans s'adapter aux autres, devant une personne triste mais habituellement joyeuse il s'empresse de lui remontrait des choses positives, devant une personne triste et habituellement triste, il lui montre que la vie n'est pas que pourriture sans lui voiler la face. Et avec une personne joyeuse comme Andrea l'est aujourd'hui il était purement lui même restant naturel, rire si il trouve sa drôle pleurer si.. Non il pleurait jamais ^^.

L'imagination était belle, souvent, mais il ne fallait pas la laisser trop déborder sinon on en perd la tête. Il aimait bien les gens qui se tapent des délires seuls souvent ça lui faisait un merveilleux voyage remplit de rire et de bonne humeur. Elle avait totalement raison. Par contre lui, n'arrivait pas à se laissait aller, et laisser trop son imagination guider une conversation, pas qu'il soit coincé ou autre, mais manqué t'il peut être un peu d'humour. Qui sait?

Oui heureusement qu'il était là pour se genre de chose qui n'ont presque aucune importance. Mais au moins ça l'empêchera de rire pour une chose aussi bête. Et puis il aimait bien toucher les cheveux des demoiselles, souvent il étaient doux et souples. Un gentleman des cheveux ? Ouha quel rang Oo. Elle n'avait pas l'air pas coiffé, bien au contraire! pour lui les cheveux montrait un grand bout de la personnalité, une personne se tartinant de gel, pour que ce soit parfait est en manque de perfection ou alors est maniaque. Une personne comme Andrea qui à les cheveux brossés mais légèrement ébouriffés ça veut dire qu'elle est...Euh...Active =D.

Lui ne s'était à vrai dire jamais entrainait. Du moins pas avec son pouvoir, il trouverait la technique des exercices. Des façons. Il verrais bien. Il a tout le temps. Et tant qu'il ne saura pas le maitriser il ne sortira pas de ce pensionnat. Alors il était obliger de savoir le maitriser, il ne voulait pas périr ici. Entre ses murs si...Seul. Maintenant, elle n'aura plus à s'entrainer seule, il irais la voir, histoire d'observer, puis il essayeras. c'était une bonne technique ça, l'observation. Fier qu'une idée pareille lui parcoure l'esprit maintenant!

Oui une ÉNORME problème de pas connaitre sa chambre aussi près du but. Alors c'est pourquoi il ne veut pas qu'elle brûle, pas tout de suite x'D. Quand il la bouscula pas comme une brute on est pas au rugby hein. Elle fit une nouvelle fois la moue, même si faire ce genre de chose semblait plutôt négative il croyait comprendre qu'en fait qu'il la taquine ne lui pose pas plus de problème que ça. Tant mieux parce qu'il adore ça.

"Ah, bonne question. Il faut que j'y réfléchisse encore un peu... "

Il tourna la tête dans le sens opposé d'Andrea, et dit en chuchotant assez fort pour qu'elle puisse l'entendre un truc du genre : " Est ce qu'elle peut me servir à quelque chose d'autre ? " Il tourna de nouveau la tête avec un sourire et avoua avec gentillesse:

" Non je te garde encore un peu avec moi, parce que une fois que je connais ma chambre, je fais quoi? Hein ? Il me reste encore tout le reste à visiter. "

Il eut un rire sadique. et dit après un moment de sérieux:

"Euh sans rire Andrea, tu vas bruler ? Parce que si c'est le cas, comment je t'éteins? "

Voilà une bonne question. XD Sa mine triste était trop mignonne, et la il aurait donner n'importe quoi pour ne plus jamais la revoir en sérieux. Pas qu'elle soit pas agréable à voir, mais c'était ...Triste .

Toujours plaisant, même si au fond il ne lui souhaite absolument rien du genre. Même si il aimerait bien un jour la consoler, c'était une des chose qu'il sait faire avec perfection x'D. Il lui montrerai peut être jamais ce talent.

Elle rit, mais elle aurait certainement du ma à supporter son caractère de "cochon ". Façon de parler hein. Pénible? Les heures les plus longues de sa vie, elle tente ? Super!

" Bon parce que t'es plutôt sympathique et très mignonne je ferais de mon mieux pour n'être que bon compagnon."

Il sourit. Il regarda son épaule, une minuscule main de poupée la tapotait, il s'abaissa d'une tête exagérant avec un rire discret. Et dit en la voyant avouer qu'elle était insupportable:

" Ne t'inquiètes pas, ça je m'y suis préparée au moment ou je t'ai vu arriver."

Il se redressa et continua une marche vers la fin du couloir. Là elle s'arreta en face d'une porte, il observa les lieux et regarda la porte attentivement laissant sa valise sur le côté, enfin. Elle avait toujours ce sourire, quand elle lui dit qu'il se tenait devant sa porte, il verrait si oui ou non il est seul. Il chercha ses clefs et une fois trouvées introduisit une pa unes dans la serrure, une fois trouvé il souffla. Et ouvrit la porte.Elle était derrière lui. Il entra examinant les lieux. Plutôt charmant, petit mais très pratique. Il y avait deux lits, mais apparemment aucun d'occupé, à moins qu'il soit tombé sur un manique sa chambre semblait être que la sienne. Tout était classique et un peu mort, ça changerais avec lui dedans ^^. La lumière rentrait bien dedans et c'était une chambre très éclairée. Là il eut un sourire désemparé et dit:

"Pitié dis moi une chose, Dis mois qu'on partage pas une salle de bains par dortoirs, tu vois le genre de douches mixtes. "

Il implora son regard et s'appuya contre un mur fondateur toujours son sourire attirant.

A l'inscription Nombre de messages : 67 Date d'inscription : 29/08/2007

Malgré les apparences, Andrea avait vite appris que le monde entier ne tournait pas autour d’elle. Contrairement à certain, elle avait su ouvrir les yeux sur ce qui l’entourait. En bien ou en mal, elle avait voulu changer la conception que les gens peuvent avoir de la « générosité ». Fermé les yeux, ne plus rien entendre, voila ce qu’ils appelaient aider ? Voila ce que devenait le monde à l’heure actuelle ? C’était bien triste. Andrea avait beau être parfois égocentrique et être un véritable glaçon, voir la souffrance qu’il lui arriverait peut être un jour de subir, ne pouvait pas la laisser de marbre. Les gens ne se rendaient ils pas compte que les autres souffraient ? C’était amusant de se dire que c’était Andrea qui pensait ainsi. Que elle, la demoiselle qui cherche els failles, qui cherche la vérité par les moyens le plus détestables, pensaient que le monde devenait égoïste. Elle aussi ressentait. Elle aussi pleurait pour les erreurs passées. Elle aussi voulait se racheter parfois.

C’est pourquoi elle pensait avoir droit à une deuxième chance, tout comme les autres. Bien sur les fautes anodines peuvent ne pas être pardonnés. La rancune, ou la douleur de la trahison faisait bien trop mal pour essayer de concevoir que le pardon existe. Mais avec du recul on se rend compte que les gens sont imparfaits. Andrea l’était. Elle pouvait comprendre que pardonner soit dur mais perdre quelque un parce qu’on ne supporte pas la trahison, c’était bien plus dur. La trahison en soi même est une faiblesse mais aussi un moyen de se protéger des représailles. On trahis pour éviter le joug, inéluctable sans aucun doute, d’une personne que l’on à pu aimer ou que l’on aime encore.
Envisager de faire un faux pas était un moyen pour Andrea de se protéger. Si elle savait qu’une erreur lui coûterait l’amitié ou l’estime de Akira, alors peut être que tout devrait s’arrêter. Elle ne voulait pas briser le début de leur rencontre, mais se connaissant, ne valait il mieux pas quelle ne le blesse pas en partant ? Changer de chemin pour qu’il ne soit pas déçu de ses propres erreurs à elle-même, n’était ce pas mieux ? Ce n’est pas quelle prévoyait de le trahir, oh non, mais juste éviter un massacre sentimental.

Être libre pour Andrea lui rappelait à quel point la vie avait bon goût. A quel point respirer était vital. A quel point rire ou pleurer n’était pas négatif. Se rappeler pourquoi elle riait n’était pas compliqué. Andrea riait parce quelle était heureuse. Rire parce quelle était triste. Rire pour effacer ce qui peut entraver le bonheur futur ou présent. Andrea détestait la sensation d’être prisonnière. De devoir dire pourquoi elle fait ceci ou cela. Non. Stop ! Il ne faut pas non plus l’enchaîner. Elle en deviendrait folle et agressive.
C’était sa façon à elle de voir quelle était libre. Libre et indépendante.

Calomnier des personnes qui avaient subi la dureté d’une vie bien trop injuste, dégoûtait Andrea. Tous, ils n’avaient pas choisis d’être sous ce ciel immense, sans abris, ni même avec de quoi subsister. On n’en les voit pas, on ne les entend pas. C’est ainsi. Il y avait bien trop de facilité dans ces paroles. Il n’y avait pas de moyen de faire machine arrière. Alors que faire ? Tout abandonner et faire semblant de ne rien voir et de ne pas s’y intéresser ? Les gens ne pourraient pas longtemps continuer ainsi.

Andrea avait, certes, des manières barbares mais elles étaient efficaces. Et puis si les gens avaient des choses à se reprocher ce n’étaient pas de sa faute. Les gens prétendraient vivre heureux en bouclant la boucle, en mentant pour garder ce à quoi il tenait. C’était bien trop triste. On ment pour oublier les jours noirs. On meurt de désespoir alors on ment pour oublier. La vérité faisait du bien à Andrea. Tout comme le mensonge pouvait l’aider. Mais voir les gens s’enfoncer dans leur propre mensonge insupportait Andrea. Pourquoi ne pas avouer ? Pourquoi avoir peur des réactions ? En mentant, on se sentait mieux ? Oui peut être. Mais tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, avec l’aide de quelque un ou seul, la vérité éclatait. Mentir pour se protéger. La demoiselle connaissait ça. Les manières les plus typiques pour se protéger avaient du bon. Pourtant, voila comment était devenu Andrea. Elle cherchait la faille, la ou sa fait mal pour dévoiler la vérité. Et ce à cause de quoi ? Parce quelle s’était enlisé dans la trahison et le mensonge. Les gens souhaitaient ils devenir comme elle ? J’en doute, fortement. Ils détestaient qu’on leur mentent, mais le faisait sans aucun scrupule. Où était la sortie le dedans ? S’en sortirait ils seulement un jour ?
En effet, Andrea deviendrait malheureuse à cause de ça. Elle le savait bien mieux que n’importe qui. Et l’avait toujours su. C’était inévitable.

On ne choisit pas la ou on né, ni même sa famille, ni ses origines. Rien ne peut être contrôlé. Andrea le savait aussi bien que les autres, alors se punir pour ça, n’était pas chercher des problèmes la ou il n’y en avait pas ? Regrettait il d’être devenu ainsi ? Regrettait il de ce qui avait pu se passé dans son enfance ? Au fond, n’était il pas le empathique de tous ? Se sentir responsable du malheur des autres car on est en partis « heureux ». Il semblait exigeant avec lui-même, alors en retour il l’était avec les autres. Andrea n’avait jamais vraiment accordé sa confiance aux gens. Il était rare quelle le fasse. Même si en apparence elle semblait confiante, ce n’était que des faux semblants. En y réfléchissant bien, depuis son arrivée, combien avait elle eu d’amis ? Très peu si ce n’est pas aucun. On pouvait la croire extravertie, mais avec la pénurie d’élèves, et ses allers retours, les rencontres n’étaient pas au rendez vous. En tout cas, Andrea espérait ne jamais décevoir Akira. Comment pourrait elle le faire ? C’est si facile de le faire. C’est si facile de bafouer confiance et estime. Elle en avait fait l’expérience. Alors, la demoiselle ne voulait pas prendre le risque de tout gâcher. Ce serait dommage !

Réclamer de l’aide quand ça n’allait pas, était bien une des choses les plus difficiles à faire. Tout d’abord, il faut avouer qu’on souffre. Ensuite, il faut vouloir s’en sortir. Akira ne voyait il pas que les gens avaient souvent du mal à l’avouer ? Andrea, quand elle allait mal, ne disait rien. S’enfermait, ou regarder les gens passer, comme la spectatrice de sa propre vie. Ne pas marquer les gens, qu’ils l’oublient, peu lui importait. Elle avait mal. C’est tout. Sans détour, elle ne se voilait pas la face. Elle s’enfermait dans le mutisme ou le mensonge. Voila. Et c’est ainsi que les choses se finissent. Ça passe. Tout redevient comme cela doit redevenir.

En effet. Ne pas avoir de sentiments, ne pas ressentir rejoignait le fait d’être un pantin. Un pantin qui crie dans le vent. Un pantin qui n’a plus à rien dire. Nous sommes dotés de sentiments, alors si on ne s’en sert pas, à quoi peuvent ils servir ? Si on ne ressent pas, pourquoi sont-ils la ? N’ont-ils aucun rôle à jouer ? N’ont-ils aucune importance aux yeux de certains ? Vivre rejoint souffrir. Souffrir rejoint le bonheur. C’est la vision d’Andrea. Elle préférait elle aussi, souffrir physique que mentalement. Les blessures sur le corps peuvent se soigner, celle que l’on inflige émotionnellement ou mentalement, ne se soignait que très rarement. C’était les plus dur à soigner.
Au final, Andrea aussi ressentait des choses.

Akira avait raison. Il ne devait pas se priver des plaisirs tels que celui-ci. Ce serait idiot. Il pouvait en profiter donc il le faisait. C’était simple et plaisant. Andrea l’enviait presque. Avoir autant d’expérience dans ce domaine la, serait attirant aux yeux de certaines.
Puisqu’ils seraient bientôt voisin de palier, autant s’entraider et s’amuser. Akira avait tout à fait raison. Et sans se voiler la face, c’était toujours agréable d’être aidé par un voisin charmant xD. Si il voulait découvrir des choses sur elle, être au même dortoir l’aiderait. Non pas quelle ne soit pas discret, mais elle avait tendance à rendre visite aux gens juste histoire d’avoir de leurs nouvelles. Et puis, Andrea aimait la compagnie tout autant que la solitude alors pour se connaître c’était assez facile.

Pleurer aidait les gens. Andrea pouvait le concevoir. Mais passer sa vie à pleurer n’aidait pas. Alors si ils pleuraient, la demoiselle les laissait. Tout en gardant un sourire joyeux sur le visage. Étaler la joie des jours passés faisait un bien fou. C’était sa manière à elle d’aider. Il ne pleurait jamais ? Avait il une carapace qui l’empêchait de laisser couler les larmes ? Étonnant.

L’imagination n’avait pas d’égale. L’imagination donnait des ailes. Elle permettait de s’évader lorsque tout allait mal, et encore plus quand tout allait bien. Andrea se laissait aller à des rêves parfois bien trop osés mêmes en étant des rêves. Mais Andrea doutait du fait qu’il manque d’humour. Pour l’instant, elle avait bien rigolé avec lui. Pourquoi cela ne durerait il pas ?

La demoiselle n’était pas du genre maniaque mais aimait l’ordre. En effet, il avait raison. Sa coiffure montrait quelle était active, toujours en train de courir et rare était les fois ou Andrea ne bougeait pas. C’était amusant cette façon d’analyser les gens par rapport à leur coupe de cheveux O_o. Marrant.

Andrea avait encore du temps avant de partir du pensionnat. Pour s’entraîner, elle devait le faire seule. Mais puisque le jeune homme était la maintenant, elle pourrait l’aider. Et apprendre en même temps. L’observer ? Han ! Ça la gênerait presque d’être observé par quelque un xd. Meuh non. Aucun problème à ce niveau la. Si il pouvait apprendre et progresser ainsi, tant mieux.

Il avait raison de penser que quand il la taquinait ça ne la gênait pas. En fait, ça l’amusait. Elle adorait être charrié. C’était un amusement. Rien qui pourrait vexer la demoiselle. Il lui dit qu’il fallait qu’il réfléchisse encore un peu à son utilité. Elle prit un air offusqué avant de rétorquer sur un ton plein de sous entendus :

" Mais je suis douée pour énormément de choses ! "

Elle rit un instant avant de reprendre :

" Pour visiter, les panneaux ça existent ! "

Elle lui tira la langue une fois de plus, et sourit face à son ton gentil. Son ton sadique la fit éclater de rire et plus encore sa phrase où elle répondit en faisant mine de réfléchir :

" Han ! Bonne question ! C’est un problème. Même moi je ne sais pas "

Andrea ne comptait pas brûler de si tôt. Qui viendrait le taquiner après ? Pour l’instant personne d’autre quelle. Alors pas question de cramer ! XD. C’était bien trop gentil de sa part de bien vouloir la consoler un jour. Qui sait ? Peut être qu’un jour …

Si il avait un caractère de cochon, que devait elle dire elle ? Mademoiselle la Princesse super exigeante.
Il serait donc bon compagnon. Intéressant.

" Soit. Y’a intérêt ! Oh ! Et merci pour les compliments ! "

Elle lui fit un clin d’œil accompagné de son fameux sourire colgate XD. Il la rassura en lui disant qu’il s ‘était préparé à ce quelle soit insupportable :

" Ça se voit donc tant que ça ? "

Arrivé devant la porte, il l’ouvrit. Andrea attendit qu’il ait regardé sa chambre, puis se pencha sur le côté et observa la chambre. Le soleil s’y était infiltré. Le sourire désemparé qu’il adressa à Andrea la fit rire et elle répondit :

"Les douches se situent à un autre étage. Et elles servent pour tout les élèves confondus "

Elle s’avança dans la chambre et s’assit sur un lit en face de Akira. Son éternel sourire sur les lèvres avant de reprendre :

" Désolé de te décevoir !"

Pareil pour le jeune homme. C'était était étrange que les enfants se font cette idée la du monde, que tout le monde vit pour eux, mais au bout d'un certain temps, ils tombent de haut, sans s'en rendre vraiment compte. Il y a des gens qui ne donne jamais et leur conscience ne leur reproche rien. Tant mieux pour eux, c'était pas son cas. Si les gens n'étaient que purs égoïstes c'était leur problèmes qui devenait un peu celui de ceux qui en ont besoin. Mais aussi peut être que les gens ne pensent plus a aider. Ou alors n'en ont plus les moyens, le monde tourne bizarrement en ce moment. La plupart des gens pauvres deviennent vraiment pauvres et ceux de la classe moyenne deviennent pauvres, Il y a que les riche riche qui s'en sortent sans aucune égratignures, comment ce fait il que le monde change ainsi ? Tout devenait plus assommant chaque jour. Mais il y a tant d'autre moyens un sourire, du volontariat. Rien que de penser à ça il en devenait rageux. Les gens étaient trop c**s parfois.

Il parait que le pardon est la chose la plus importante dans une vie, une qualité qu'il ne sait pas déverser sur les autres, il était comme ça... Il y a des fautes pardonnables, qu'il pardonne sans s'en rendre compte, mais c'est souvent des maladresse, il sait bien que personne n'est parfait, et il en est la preuve. Mais il y a des erreurs qu'il n'admet pas, du genre les trahisons, les gens qui le prenne pour un demeuré, ou même ceux qui reste avec lui pour ce qu'il a pas pour ce qu'il est. Ça c'est certainement le pire pour lui. En tout cas lui ne cesseras pas d'être ce qu'il est devenu, et tant pis pour lui si il perd des gens biens. Si il faut il rencontrera une personne qui ne le décevras pas, comme ses deux amis. Au fond il est certain de la rencontrée ici cette personne tant attendue. Après c'est sûr que si pour ne pas faire d'erreur on est plus naturel ça n'avait aucun intérêt. Il préféré encore être en face de gens vrai, pas de copies d'un être peut être parfait, si il aurait voulu dans ce genre là il se serait pris une peluche ou une poupée, mais il avait passé l'âge. Dans tout les cas il savait qu'Andrea était quelqu'un qui avait du culot, et certainement qu'un jour il "souffrira" de sa faute. Parce que quand il coupe tous les ponts avec un ou une ami(e) il en souffres, et y pense souvent.
Eviter les massacres était bien ce qu'il appelé être faux, ou encore fuir. C'est vrai si elle croyait que ne plus le revoir c'était mieux, déjà elle aurait beaucoup de mal à l'éviter, mais en plus il serait encore plus déçu. Ce n'est pas le genre de personne qu'il faut absolument connaitre, ce n'était pas Dieu et ne lui apporterais rien d'autre qu'apporte un Homme à quelqu'un. Tout ça pour dire qu'il était peut être rien, mais ses exigences doivent le priver d'elle ? Après tout c'était son caractère et si elle ne le supportait pas il comprendrait, lui même parfois se trouve nul et aimerais changer.

Il y a des personnes qui n'arrivent pas à vivre libres, qui n'arrivent pas à vivre sans les commandements d'une tierce personne. Etrange, mais avant Akira était comme ça. Maintenant il ne troquerait rien contre sa liberté, si un jour, il le sait, il devras se marier pour être stable, là il ne sait pas si il refuseras et disparaitra pas. Pas qu'il n'aime pas les responsabilité et les engagements mais il ne pourras pas tenir plus d'un an, comme il ne peut pas rester dans le même endroit avec les personnes durant un trop long moment. Sa façon de voir la liberté était un peu la même que la sienne. C'est vrai qu'il ne se voit mal dire tout ce qu'il fait avec qui et où à quelqu'un.

Sûr que si les gens cachaient des choses n'étaient aucunement sa faute. Mais après tout chacun vit comme il veut, si les gens trouve que leurs vies et ce qu'ils en on faits leur déplaisent fortement, c'est leurs choix de s'inventer une vie meilleure à l'aide de mensonges. Mais cela son assez malheureux et qu'une personne comme Andrea les percent, ne les aideras en rien à part les achever pour ne plus se relever. Mais elle ne voyait pas ça comme ça elle, c'était obligatoire. Peut être qu'elle n'aimait pas cette vision, des gens qui s'enfoncent un peu plus chaque jour dans le désespoir, mais ça ne la regardait en rien, et peut être que ses manières sont pas les bonnes pour ce genre de situations, au lieu de découvrir ce qu'ils cachent il faudrait plutôt leur demander pourquoi il font ça, et pour qui, si ils veulent de l'aide, et si il veulent SON aide. C'était un minimum, la moindre des délicatesse. Après c'est vrai qu'Akira ne s'y connait en rien, il était bien trop maladroit avec les mots pour gerer ce genre de discutions avec des personnes comme il les imagine.
En faite Andrea se sentait très impliquée là dedans, et si un jour la conversation sur ce sujet se dévoile à lui, il saisirait l'occasion pour lui demander ça. Lui demander pourquoi ? Comment ?...

Si, se punir pour ça n'était qu'une preuve d'une grande connerie qui sommeil et se développe en lui un peu plus chaque jour. Mais quand il voit toute cette misère dans le monde et que lui a toujours eux ce qu'il voulait, chaque anniversaire, il avait le droit de faire ce qu'il voulait, il a fêter son quinzième anniversaire dans le jet privé de son père survolant Los angeles. C'était que débile, il a tellement eu tout ce qu'il veut que maintenant il n'a presque plus de rêve. Et pour ça il s'en veux. Il y a des gens qui rêvent de voler, lui l'a fait, par des raisons plutôt dangereuses et remplies en sensations fortes. Bref, il y en a qui rêve de faire le tour du monde, lui le peu, il y en a qui rêve habiter ou voyager dans un pays, lui le peut. Il peut tout, rencontrer les stars, leurs parler, ou faire un tour en angleterre que pour faire un peu de shopping. Ce n'était pas égoïste ? Si mais comment faire pour y changer ? S'en privé? à quoi bon? Ca ne changeras rien ...Voilà pourquoi il se punissait, de ne pas trouvé de solution, il à même pensé qu'un jour il réaliserait une journée exprès pour réaliser les rêves, mais il imagine le bordel et les jalousie de ceux qui ne pourront pas y aller, ou autre, la vantardise sera de retour... Il préfère garder cette idée pour lui, au fond c'est peut être ça son rêve. Mais la définition du rêve est pas de faire quelque chose d'impossible pour nous, si, surement, mais pour lui c'est possible...Alors plein de questions se battaient dans sa tête, lui donnant limite mal à la tête. En tout cas il sait pas si, si il aurait vécu dans un endroit ou la célébrité de son père et tout le reste n'existait pas, il n'aurais pas était plus heureux. Mais après c'est peut être lui le problème... Il ne savait plus trop à qui en vouloir, pourquoi ? Et surtout qui il est? Si c'est une personne bien? Ou un monstre? Ou même peut être un bourge... C'est qualifications sur lui, le fit remuer la tête de droite à gauche, essayant d'oublier tout ce nombre incalculable de questions.
Pour ne pas le décevoir en fait c'était simple, rester sois même. Puisqu'il sait que l'erreur est humaine il devrait comprendre que tout être humain étant unique et pas une copie est pardonnable, non ? En tout cas il faudra bien un jour ou l'autre où il devras se rendre à l'évidence, le plus vite possible.

C'est vrai, mais en fait, même si il disait ça, il était très rare qu'il laisse un ami, ou une bonne connaissance dans le chagrin, il avait quand même un coeur. Pas en or c'est certain mais un cœur.C'est déjà pas mal. En tout cas, il avait le don de remarqué et d'observer els comportements et remarquait souvent ceux qui allaient bien et ceux qui n'étaient pas dans ce cas là. A partir de là, ils avaient beau lui mentir, en disant que tout va, lui n'en gobera pas un mot, il était peut être imbécile, mais pas aveugle! Si il voit Andrea il trouvera la solution, c'est sûr après tout même si pour l'instant il sont certainement rien l'un pour l'autre, elle faisait partit de son histoire ici, vu que c'est elle qui était à lors de ses premiers pas, lors de sa visite de la chambre...Le début, et il ne la laissera pas crever avec les rats, hein...

La vision d'Andrea était plus que bizarre, mais chacun la sienne, lui, n'avait pas réfléchit à cette question, quelle était sa vision à lui? Bonne question, il prendrait certainement un moment pour y répondre et y réfléchir. Heureusement que Andrea avait des sentiments, sinon elle ne serai certainement plus là, déjà, auprès de lui, à le guidé, amis aussi dans ce pensionnat, une personne sans sentiments et tout d'abord pas une personne, mais en plus est souvent mort de chagrin et d'ennui. Non ? En tout cas c'était peut être le début de sa vision. La question était à approfondir.

Il se stoppa net, c'est vrai qu'en pensant qu'il n'a que quinze ans et des poussières ( le règlement l'oblige U_U') et qu'il a une grande expérience dans ce domaine, le choqua. C'est comme la drogue au fond, tu commence et hop t'en est dépendant. M'enfin peut être qu'un jour il arrivera à avoir une petite amie...Qu'il ne trompera pas ^^'. En fait peut être qu'il fait ça pour cacher quelque chose, par désespoir, c'est comme les jeunes qui fument. Après tout il ne connaissait personne qui était aussi jeune et dans ce domaine si mature. Pourtant il trouvait ça pire que la drogue, non pire que la cigarette, la cigarette les gens peuvent supportaient mais ça, tu peux pas rester stable deux secondes --'.
Ils se verraient assez souvent alors. Parfait, il pourrait apprendre à la connaitre et la respecter. Surtout que n faisant cent mètre plus ou moins il n'en savait rien, il serait devant sa porte, comme ça...En plus vu qu'elle est seule dans sa chambre, il ne pourra presque jamais la dérangée, à part si elle à de la visite héhé.

Oui c'est vrai que très rares sont les fois où il laisse courir ses émotions dans des larmes, parce que d'abord, lui ça ne le soulage pas du tout et quand il pleure il se trouve d'un minable à faire peur. POur ce qui est sentiments, il laisse passer les autres d'abord, puis lui ensuite. Donc au fond, il n'a jamais le temps de passer du temps à se morfondre sur ce qu'il est où ce qu'il est pas. Sur ce qu'il aurait dut faire ou pas...Ça n'avait pas d'importance pour lui et le rendait plus malheureux qu'il ne l'est à ces moments là. Par contre, il laisse souvent ses bras et son épaule libre pour qui veut pleurer. ( Ou se moucher Beurk!)

C'est pas que ça ne durera pas, mais quand il part dans son imagination en faisant part aux autres de celle-ci souvent il s'en va trop loin et a du mal à revenir à la réalité intact, c'est pourquoi les voyages là bas étaient peu fréquents, à part bien sûr quand c'est une autre personne qui commence. Là c'est contre réalité de s'en empêchait.

C'est pas de sa faute, si pour lui les cheveux sont les plus grands indices. Souvent c'est grâce à des cheveux qu'on reconnait les gens. C'est obliger que en voyant une nouvelle coiffure les gens trouve que ça change vu qu'ils sont lus habitués, en tout cas, lui pensait que si il avait quelque chose de précieux dans envisage ou plutôt une tête féminine était bien ses cheveux. C'était comme ça...

Oui l'observer, il essaierait, même si elle est pas d'accord, il arriverait discrètement. Enfin, il trouverait une solution, ce n'est pas le genre de personne à regarder pour la beauté dans ce cas là, il prendrait le soin d'examiner tout ce qu'il faut faire et y arriverait avec mérite. Du moins ça c'est dans ses rêves. Il pourrait comme ça la voir, et en même temps apprendre, cette idée lui plaisait.

Manquerait plus que le fait qu'il soit taquin, la gêne. Alors dans ce cas là il fallait mieux qu'ils ne passent plus de temps ensemble parce qu'il le faisait même parfois contre son grès.
Quand elle dit qu'elle était doué de pleins d'autres choses, il eut un sourire, légèrement mesquin, il y avait tellement de sous entendus dans sa phrase qu'il en rit presque. Il retorqua :

" Cite moi en quelques uns que je vois une peu de quoi est capable une créature pareille!"

Puis repris après un rire. Les panneaux. Soit il sortait un truc du genre beau parleur, non il détestait ça il dit naturellement :

" Oui mais les panneaux ça ne me taperas pas la discut'! "

Il vu sa langue une deuxième fois. Elle sourit comme d'habitude à force quand il la verra sans sourire il ne la reconnaitra plus! Elle éclata de rire sans se priver à son ton sadique. La première fois qu'il la voit réfléchir, elle faisait....Sérieuse.

" Si tu sais pas toi non plus mieux vaut pour toi que tu ne prenne jamais feu..."

Il lâcha un rire et sourit. Non elle a raison pas maintenant! Faut qu'elle attende qu'il parte de ce pensionnat. xD Oui un jour viendra ou il devras réserver ses bras et son épaule pour elle. Ce jour est réserve d'avance, sans date fixe comme on dit à l'Open.

Oui lui avait un caractère très exigeant, un caractère de cochon. Elle princesse super exigeante lui allait parfaitement ben. Ca lui collait à la peau.
L'air de rien il dit, ni vu ni connu:

"T'inquiètes pas j'assure x'D. Mais Quels compliments? "

Son clin d'œil devait en faire fondre plus d'un, mais lui il lui en fallait plsuq eu ça x'D, Quoique avec le sourire Colgate qui va avec... x'D .

" Oui dès que je t'ai vu j'ai su que j'allais en baver. Bon je suis pas au bout de mes peines. Mais tu vas être bien sage avec Tonton Akira!"

Puis il lui glissa dans l'oreille pour la rassurer, à force qu'on lui dise des trucs aussi ignoble elle va se suicider xD Il chuchotta:

" Non bien sûr que ça se voit pas Mistinguette."

En voyant sa mine vers la porte d'entrée, elle se marra, c'était aps drôle pour lui pas de salle de bain à lui annonçait la mort assurée.

" QUOI ? A un autre étage en plus, ils veulent ma mort! "

Il ressortit de la chambre après l'avoir laissait planté sur le lit, et pris sa valise sur la palier, qu'il reposa tout devant la porte d'entrée, bien en évidence, comme ça elle la verrais peut être. Il s'assit près d'elle et dit en manquant d'éclater de rire:

" Tu m'déçois pas ça à ses avantages. Si c'est mixte..."

Oui c'est vrai mais bon. Le fait qu'elle utilise le verbe décevoir il en perdit le sourire rapidement. Puis dit le retrouvant mais avec sérieux:

" Je ne pense pas que tu puisses me décevoir, Andrea"

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