Mao sortit du collège les mains dans les poches. Elle s'ennyait à mourrir, comme d'habitude. Il faisait une chaleur accablante, et tout les étudiants étaient assis à l'ombre d'un arbre. La jeune fille s'arrêta au milieu du parc pour se mouiller un peu le frond, puis alla plus loin afin de savourer un peu la solitude. Elle trouva enfin son bonheur : un très grand rocher couvert de mousse projetant une ombre bienvennue. Mao s'assit devant, le dos contre le rocher, et souffrant d'une chaleur atroce, elle enleva son haut pour se retrouver en petit débardeur blanc. C'est alors qu'elle entendit, un peu plus loin, des bruit de pas dans les broussailles.