besoin de se défouler[pv]

Kairi , qui arrivait de la course avec Orinior, arriva furieuse, en volant à Mach 6. Elle brisa toutes les vitres, et se posa.



-Nan mais pour qui il se prend celui là.....



Elle ne remarqua pas Kazuko tout de suite. Elle était si en colère, qu'elle créa un dragon acqueux qui commença de tout ravager.

Kazuko soupira en voyant que Kairi entrait dans une folie destructrice. Cela l'embêtait quelque peu mais il ne voulait pas risquer de la blesser en s'attaquant à son dragon. D'un pas léger et discret, il apparut soudain devant la jeune fille, assez près pour la destabilliser. Il choisit ses armes, et c'était sa relation avec la jeune fille. Il lui fit un sourire charmant.

-Bonsoir ma belle. tu m'as l'air légèrement énervé. Tu arrêtes de tout détruire et on en parle?

Malgré sa décontraction apparente, il restait sur ses gardes. Une femme en colère était souvent vicieuse.

Voyant Kazuko apparaître comme ça devant elle, Kairi poussa un cri de surprise, et tomba sur le derrière.



-Comment tu as fait pour....?



Elle claqua des mains et son dragon disparut. Elle se releva.

Kazuko lui sourit et la prit dans se sbras pour la relever

-Eh bien, tu ne m'as pas vu, j'étais déjà là. Et puis je suis très rapide!

Il rit doucement en la reposant sur le sol.

Kairi adopta un air demeuré pendant quelques secondes.



-Ah boon.....



Elle tourna son regard vers le ciel.

Kazuko rit, s'écartant de la jeune fille pour aller ramsser sa serviette et s'éponger le visage et le torse, de façon à devenir plus présentable. Il tourna le dos à la jeune fille pour réaliser cette opération, sans vraiment y faire attntion. Enfin, il se retourna, un sourire aux lèvres, la serviette roulée sur sa nuque

-Alors? Que t'arrive-t-il?

-Je ne sais pas si je peux dire ça de lui, mais...Orinior m'a vexée. Je ne sais pas pourquoi mais je le sais.



Elle le regarda en souriant à moitié.



-C'est stupide, je sais , mais...

Kazuko arqua un sourcil.

-Je ne vois pas en quoi c'ets stupide. Ce qui ets légèrement idiot par conter c'ets d'avoir mis la salle d'entrainement dans cet état.

C'était le cas de le dire, la salle n'était pas belle à voir. Kazuko ferma les yeux un instant et créa une demi douzaine d'être d efeu qui commencèrent à ranger et sécher la salle.

-Bref... je ne sais pas ce qu'il a pu te dire, mais je pense qu'il fait erreur.

Elle sourit.



-Et la brûler ne l'est pas?



Elle se mit à tracer comme une folle, et se transforma en tornade. Elle aida les autres à ranger, et à la fin:



-Oh...j'ai trop tourné...



Elle tomba à genoux, assise sur ses pieds.

Kazuko éclata de rire et accourut auprès de la jeune femme qui était assise comme une enfant

-Un vrai maître du feu sait créer une flamme qui ne brûle pas. Je n'aurais jamais risquer de te mettre en danger voyons.

Il la regarda avec amusement puis finit par lui tendre la main, pour l'aider à se lever.

-Tu te lèves?

Tandis qu'il attendait que la jeuen femme attrappe sa main, il jeta un regard aux pantins qui disparurent aussi simplement qu'ils étaient arrivés

Kairi se releva.



-Ouh...je me suis à peu près calmée...



Elle le regarda en souriant.

Kazuko lui fit un sourire bienveillant

-Alors tout va bien

Il prit ses distances, conscient qu'il ne fallait pas tenter le diable d'ailleurs, lui même devait éviter de se tenter. Dieu que sa vie pouvait être compliquée depuis qu'il avait décidé de devenir fidèle

Kairi interpréta mal ce qu'il venait de faire. Elle le regarda étrangement.



-Tu.......



Elle se tourna, et commença de s'envoler.



-Si jamais, je ne suis pas le diable.

Kazuko soupira et déploya ses propres aile spour rattrapper la jeune fille

-Tu n'es pas le diable, et c'est heureux... Seulement, je ne suis qu'un homme.

Il lui prit doucement la main et commença à redescendre, la traînant doucement derrière lui.

Elle lâcha, d'une voix glaciale:



-Et moi, que suis-je?



Elle le regarda.



-Je ne suis qu'une fille.

Kazuko soupira tristement et il sentit le sol sous ses pieds, repliant ses ailes.

-Je ne crois pas que nous y accordions la même importance très chère.

Il ne pouvait pas s'empêcher de se sentir coupable, envers Kairi et Haku. C'était un monstre au fond

-Mais tu as raison...

-Ok, je te le concède . Je suis à moitié ange...mais...



Elle le regarda .



-Ne sois pas triste. Je ne veux pas me fâcher avec toi.

Kazuko soupira

-Moi non plus

Il rit amèrement

-Et par ailleur,s je n'ai d'humain que le nom donc... bref.

Il la dévisagea doucement puis, voulant lui montrer qu'il avait eu raison de garder ses distances, s'approcha d'elle. Laissnat à peine un cm entre eux d'eux

Il baissa son visage vers celui de la jeune femme et lui sourit avec charme

-Mais je crois que tu comprends de quoi je parle noN?

*Coeur appelle le cerveau coeur appelle le cerveau*
**Gné, c'est moi quoi?**
*On se calme là, c'ets bien d'être un beau gosse mais imagine qu'elle ne te repousse pas et qu'elle nous embrasse tu feras quoi?*
**Ah bah là, totale improvisation mais elle va nous repoussern c'ets obligatoire, comme ça elle aura compris de quoi je veux parler.**
*Bon sang ce que le smoines sont chiants avec leur faculté à séparer coeur et raison*
**Ta gueule laisse moi faire**

*Je....Pyro......désolée....*



Elle retint sa respiration.



-Je....je .... je vois ce que tu veux dire.

*Cerveau tu fais des conneries...*

Kazuko sourit doucement et emprisonna le visage de la jeuen femme entre ses mains

-Tu es vraiment sûre?

Il était on ne pouvait plus séducteur.

*CERVEAU CA SUFFIT PENSE UN PEU A HAKU!!!*
**Mais ne t'inquiète pas, elle n'en saura rien... et il ne se passera rien... Elle aimme son petit ami. Et si elle a besoin de s'en rendre compte c'ets une bonne occasion non?**
*Et si c'était nous qu'elle aimait?*
**Impossible. fin de la transmission**

Kairi sentait son visage devenir brûlant.



-Je...



Elle rougit.

Kazuko lui sourit, amusé

-Tu...?

Il murmura doucement

-Dit moi...

*Coeur appelle Cerveau ON SE REVEILLE*
** c'est bon on se calme... je gère...**

Kazuko arqua un sourcil et lâcha Kairi, s'éloignant doucement, un sourire triste aux lèvres

-Je crois que tu as compris ce que je t'avais dit quand je te disais que je n'étais qu'un homme.

Il soupira, ne la quittant pas des yeux