Arrivé de Saori !

Nous somme le 26 Aout 15h25.
Il fait lourd dans la ville de Kinako, prés de l'école black paper il y a foule, en effet les Biogam commence à arriver pour la rentré.
Sur le parking de l'établissement se gare une Lamborghini Noir immatriculée Tokyo. A son arrêt en sort un jeune homme de belle allure, environ la 30ène vêtue de noir, portant des gens blanc et un regard méfiant. Celui-ci se dirige en direction de la porte arrière et l'ouvrit. En sortie une fille de 15 ans vêtue de vert assez décontractée, la 1ère impression revois une mauvaise concordance entre le chauffeur et la passagère.
Du haut de son mètre soixante dix elle referme la porte en vitesse comme ci elle ne voulait pas que quelqu'un d'autre le fasse pour elle. De la même manière elle se déplace de l'autre côté de la voiture pour en sortir une valise noir qui ne devait contenir que le affaires d'une semaine.

"C'est bon Taki-san vous pouvez me laisser à présent." lui dit elle en levant la tête pour contempler la grandeur de l'établissement.

"Bien Mademoiselle." Répondit t-il en baissant la tête poliment, et se remis aussi tôt au volant de la belle voiture.

Les cheveux attachés par une simple pince noire, un T-shirt vert kaki, un pantalon en treillis et une paire de basket de ville, c’est avec cette simple apparence qu'elle se dirige vers l'avant pour passer la porte de l'école, toujours accompagnée de sa valise. Devant elle se trouvait une gigantesque porte en métal ornée d'une poignée que l'on dirait faite pour un géant, à son ouverture la jeune fille se mit à se demander s'il s'agissait d'une bonne idée finalement son entrée ici.
Une minute plus tard se trouvait devant elle un immense hall qui présentait l'ouverture par des escaliers par ses deux côtés, et d'une ouverture sur l'extérieur. La jeune nouvelle se dirigea alors vers cette sortie et se rendit de l'autre côté de la cours, où l'on pouvait apercevoir un bâtiment peint de noir sur lequel se trouvait la Kenji du Feu en rouge.

"Bien c'est ici ..."

A son approche la porte s'ouvrit d'elle même laissant entrevoir un petit hall décoré de flammes, de rouge et de noir, principalement garni d'un ascenseur qui donnait l'impression de n'attendre qu'elle.

"Moi qui n'aime pas le rouge, je suis servit ..." dit elle à voix basse, et monta dans cet ascenseur.

Arrivée à l'étage elle s'aperçoit de la grandeur de l'endroit qui formait, malgré toutes attentes, un arc de cercle. Elle suivit cette réflexion par quelques pas qui l'amena au centre de ce couloir étrange, elle fit un tour sur elle même en fermant les yeux, quand soudain elle senti se faire bousculer par quelqu'un.

Elle ouvrit aussi tôt les yeux et apparu devant elle un jeune garçon qui le dépassait d'une tête par sa taille, aux yeux bleu claire et la chevelure dorée. En face d'elle le visage d'un garçon qui devait faire son âge, sur le quelle se trouvait une marque sur la joue.

"Ah ! Je suis désolée je ne regardais pas devant moi ... est ce que ça va allée ?"
Lui dit elle avec embarra.

- Moi je vais bien. Mais toi tu n'as rien de casser ?

Saori était tellement gênée la seul pensée qui lui passai par la tête fut:

Pitié dit moi qu’il y a un placard tout prêt pour m’y cacher !

La jeune fille s’entait la larme de honte lui noyer les yeux, toutes les injures du monde lui passure par la tête en son égard, voilà un beau début, pour une fille qui se voulait discrète.

Elle se sentait tellement proche de ce garçon, son odeur lui chatouillai les narines, un parfum de frais, à bien y regarder, ses cheveux étaient mouillés et ses vêtement bien tôt réfectionnés, mais voilà, ce qui retenu l’attention de Saori à cet instant, ne fut pas l’allure du jeune garçon, mais son attitude en vers celle-ci. Les yeux rivés sur elle, de haut en bas, elle se senti analysée, étudiée, jugée.

L’individu se présentait devant elle avec ce même regard pendant un court instant, quand soudain il se donna un coup sur le front, pris d’étourderie il fini par se présenter à la demoiselle :

- Je m'appelle Nagi. Nagi Iwashi, pour vous servir, Gente Dame

Voilà une bien belle présentation, pour un garçon de son âge, Saori en fit de plus gênée. Était est ce sa manière de s’exprimer ou alors je reflet du statut de Saori. Elle qui toute sa vie avait cherchée à cacher ses moyens, elle qui, pour ne pas se démarquer des autres, se mit à aimer les cultures les plus humble.Ce n’était même pas la peine d’insister, ce garçon l’avait démasquée.

S’étant rendu compte du temps qui s’était écoulé depuis cette présentation, due à sa réflexion, Saori se mit alors à faire ses politesses :

« Enchantée Iwashi-san, Je me nomme Ayami Saori, j’ai intégré l’établissement ce jour pour un déménagement annuel. » Lui dit-elle avec un japonais des plus soutenu. (Iroshiku Onegaishimasu)

La nouvelle élève ramassa sa valise qui se trouvait toujours au sol. Retira la pince de ses cheveux, laissant retomber ses long cheveux sur l’ensemble de ses épaules et recouvrit la longueur de son bras gauche. Alors un parfum de fruits rouge embellie l’atmosphère comme si elle cherchait à venter les vertus de ces fruits si sucrés.
Mais le coup ne dura pas plus longtemps que cela, quelques secondes plus tard les voilà à nouveau rattachés de la même manière que précédemment, pour enfin esquisser un dernier mot :

« Vous logez dans ce dortoir également ? »

C’était très rassurant pour la jeune fille de rencontrer en premier lieu se jeune homme. D’une belle révérence et d’un doux baisé par la main celui-ci pris en pincement le cœur de la nouvelle demoiselle. Une éducation si raffinée ne pouvait appartenir qu’à un personnage bon.
La confirmation fût faite, il logeait ici, au même titre que Saori, probablement dans une chambre proche de la sienne, peu importe, logeant ici, il doit également avoir la maitrise du Feu. Enfin, il était temps pour elle de rencontrer, quelqu’un qui possédait les mêmes capacités qu’elle. Elle ne se sent plus comme à part, ou comme un monstre, enfin quelqu’un qui pourra comprendre ce qu’elle endure depuis ce jour où ses pouvoirs fut découvert.
D’un grand sourire elle prolongea la conversation :

« Moi aussi, je suis dans ce dortoir. Vous permettez que je vous tutoie ?, nous avons probablement le même âge, ces manières ne sont pas formative. »

Par timidité elle penche la tête vers le bas, en espérant qu’il accepte la requête présentée par la demoiselle. Suit à quoi il prit de la distance, de sorte à pouvoir communiquer aisément, pour le plus grand bonheur de Saori.

C’est alors que son portable se mit à sonner, une vibration douce caressait la jambe gauche de la demoiselle, une mélodie familière s’en jaillie. Pour ne pas manquer de respect à son interlocuteur elle laissa le son de « Moon » du groupe KAT TUN se prolonger dans le vide.

Encore plus mal à l’aise, elle se mit à sourire nerveusement, le garçon aurait pu la prendre pour une folle, mais rien de cela n’eu lieu. Elle se senti donc d’en l’obligation de s’expliquer :

« Il doit s’agir de ma mère, elle m’ignore à la maison, et qu’en je m’éloigne d’elle quelque heures elle me traque, j’ai l’habitude de laisser sonner. »

Ne voulant pas non plus s’étaler sur sa vie privée à ce garçon qui n’en avait peu être rien à faire, elle coupa court aux explications.

« Je suis bizarre, je sais … »

( Désolé pour le temps de la réponse ,fallait que je trouve l'inspiration ._. )


Nagi regardait la jeune femme qui se tenait face a lui ,elle avait l'air ravi d'avoir trouvé le jeune pensionnaire ,surtout elle avait l'air surpris par les gestes exécutés quelques instants plutôt ,c'est a dire ,un baiser sur la main et la révérence ,mais c'était un quotidien pour lui ,surtout depuis qu'il l'avait rencontrer .En regardant bien aussi ,on pouvait voir qu'elle mordait légèrement la lèvre ,comme si elle était intimidée par ses gestes ,mais c'était pas ça ,apparemment ,elle rougissait intérieurement .Ce qui était d'autant plus charmant qu'elle en avait du charme la jeune Femme . En adressant un très grand sourire a Nagi ,elle lui dit qu'elle logera désormais dans ce dortoir , Ce qui fit rougir un peu notre pensionnaire ,mais ça ne s'arrêtait pas là . En effet ,elle lui demandait aussi de ne plus la vouvoyer mais de la tutoyer . Nagi se mit a la regardé et lui dit ,sur ton doux :

- Je suis d'accord mais je te vouvoierais quelques fois . Car j'éprouve un respect pour toi .

Il lui sourit avant de se retiré ,en même moment ,juste avant sa réponse ,elle avait baissé la tête ,comme pour montré qu'elle avait peur que le jeune homme ,n'accède pas a sa requête ,mais ce fut tout le contraire ,il était content de pouvoir faire plaisir a quelqu'un .En lui souriant amicalement ,il entendit une sonnerie de portable ,ce venait du groupe KAT TUN et la chanson était <> . Il connaissait cette musique mais elle semblait venir de la poche de Saori . Bien qu'elle fit semblant de rien ,il en était persuadé vu qu'il n'y avait personne d'autre dans les couloirs .

Mais elle semblait vraiment mal a l'aise quand elle laissa le téléphone sonné plusieurs fois .Elle avait un sourire nerveux et sa se voyait ,donc elle décida de lui dire pourquoi elle ne répondait pas .Apparemment ,c'était la mère de Saori ,cette dernière lui dit que sa mère s'inquiète quand elle est pas a la maison mais qu'elle l'ignore quand elle est revenu . En souriant et en prenant Saori dans ses bras ,il lui dit :

- Tu n'as pas besoin de t'excuser et si je te serres trop fort dit le

Il la relâcha et se gratta la tête ,puis elle coupa la conversation ,comme pour dire qu'elle n'en dirait pas plus ,et elle ajouta qu'elle était bizarre .Mais Nagi ne l'a trouvait pas bizarre, au contraire .Elle était l'opposé d'une personne bizarre ,alors pour la rassuré ,il lui dit :

- Non tu ne l'ai pas .

En voyant les clés de la chambre de Saori ,Nagi rougit ,ils seraient dans la même chambre ,pourtant ,personne ne l'avait prévenu ,il se gratta le bras et dit en rougissant quand une grosse pivoine :

- On sera dans la même chambre, ca te gêne pas ?

Toujours devant ce garçon, dans ce grand dortoir élégant, au milieu du couloir aux lampes tamisées qui l’aient éclairaient avec douceur. Le regard au sol, comme à son habitude, Saori en perdit son sang froid, les mains se mirent à trembler et ses yeux à s’humidifier de nouveau, cette larme qui l’avait menacée de couler, était à présent en train de dessiner le contour de sa joue. D’un geste vif et brusque, elle passa la main sur son visage, faisant croire à un reflex de fatigue.
Elle sentit alors le regard du jeune homme sur elle, levant la tête doucement, elle vu juste, fixée par ses yeux il lui dit : - Je suis d'accord mais je te vouvoierais quelques fois. Car j'éprouve un respect pour toi.

Elle ne comprit pas de suite de quoi il s’agissait, pour ne pas que son questionnement intérieure soit lisible dans ses pupilles elle tourna la tête vars la gauche, faisant semblant de prendre gout à la décoration des lieux. Quand quelques tour de la pièce plus tard, elle réalisé de quoi il parlait. C’était elle qui lui avait demandé de ne pas la vouvoyer, mais quel sotte cette Saori.
Un respect avait il dit, voilà de quoi enfoncer la jeune fille d’avantage dans l’enfer de sa timidité, autant son statut l’avait habituée à recevoir un respect de la part des subordonnés qui travail à ses côtés chez elle, mais de recevoir un respect aussi franc de la part d’un garçon qu’elle ne connaît que depuis quelques temps seulement, cela en faisait trop pour notre pauvre demoiselle.
*Quel garçon fascinant !* se dit elle. Mais s’il veut être ami avec elle, il faudra être plus simple, car trop de timidité, tue la timidité.

Voilà déjà quelques secondes que le téléphone c’était arrêté de sonner, les explications enfin achevaient, elle se croyait à présent soulagée, mais non.
Souriant comme un ange il se pencha sur elle, d’un geste doux il prit Saori dans ses bras, ainsi le torse réchauffait par l’appui de la jeune fille, il s’exclama : Tu n'as pas besoin de t'excuser et si je te serre trop fort dit le.
Crispait contre celui-ci, elle ne trouva pas la force de reprendre son calme, elle trouva alors le besoin de lui dire en souriant nerveusement de timidité :
« Je vais bien, je suis désolée mais il n’est pas dans mes habitudes d’être aussi intime avec la gente masculine, ne m’en veut pas»
Suite à cette phrase, trop longue à son gout elle s’écarta doucement d’Iwashi-san, il se mit à se gratter la tête comme si il était gênait, ce qui la fit sourire.

Par peur d’être mal jugée par son interlocuteur, elle dévoila en hauteur son sentiment premier, elle ne lui cacha pas qu’elle pouvait être étrange parfois, même plus que parfois. Lui comme un vrai Gentlemen, il lui répondit qu’elle ne l’était. Forcement, le voir confirmer une telle chose aurait fait tache dans le décor même si il le pensait.
Pour occuper ses mains tremblantes, elle les enfonça dans sa poche et en sorti les clés remises par la directrices, ce matin. Des clés petites et dorées, avec un porte-clés qui prenait le dessus sur elles, il était quand à lui en forme de flammes rouge et noir comme le bâtiment dans lequel ils se trouvaient, sur celui-ci une inscription aussi grande que le support : « Nana », en japonais cela voulait dire 7. Ces clés était celle de sa chambre, le numéro 07, son chiffre porte bonheur, elle l’à voulait absolument, c’est pourquoi rien ne lui ferait changer d’avis, même d’apprendre que se charmant jeune homme en face d’elle allait être son colocataire.
Oui sont colocataire, elle l’apprit à l’instant quand par surprise il remarqua l’objet dans sa main, il se gratta le bras, et avec hésitation il lui dit : On sera dans la même chambre, ca te gêne pas ?

Alors là Saori allait devoir faire des efforts, elle si pudique, si timide, si solitaire et discrète, la voilà pour sa première expérience en internat dans la même chambre qu’un garçon, et pas des moindre.
Mais elle ne pouvait pas laisser la chambre partir, elle voulait cette chambre et pas une autre, s’était la seul condition à ses yeux, et puis tan pis, il est la bienvenu chez moi, dé le départ j’ai vu qu’on pouvait bien s’entendre, mais quelques règles devait être posées.
« A bon ? Tu loge dans la chambre numéro 7 ? »

Dit-elle alors avec assurance, comme pour lui faire comprendre que le sujet était sérieux.

«Dans ce cas je pense que l’on a beaucoup de choses à se dire. » conclut elle avec un ton des plus mystérieux, et un regard des plus menaçant. Elle ne veut pas d’un mauvais garçon attention, Saori sort les Cros.

Saori ne rigolait plus, les choses devenaient sérieuses, ce garçon en face d'elle allait tenir une place importante dans sa scolarité, mais va t-elle vraiment l'accepter?
Comment voulez vous ne pas tomber sous le charme d'un personnage aussi attentif, à peine Saori éloignait de son torse, il se mit à s'excuser, comme si il l'a connaissait depuis toujours, assez en tout cas pour décrypter ses émotions dans ses yeux.
D'un délicat, d'une douceur et d'une attention tout à fait stupéfiante, il ne pouvait échapper à la demoiselle que ce personnage était haut en couleur.
Lorsque Saori lui demande confirmation pour la chambre, il se mit à bégayer que cette chambre était belle est bien la sienne, et pourtant, ce n'était pas à lui de se sentir confus, mais à elle qui allait s'introduire dans une propriété déjà possédait.
C'est alors que le comportement directe de la jeune fille, rendit les choses plus délicates.
En effet le jeune homme se sentit mal ,le regard portait ailleurs, il lui dit: Désolé . Si tu veux ,je te laisse la chambre et j'en demande une autre a notre Directrice .

Il en était or de question, les principes de la demoiselle, reprirent alors le dessus, voilà des choses qui ne se font gère. Alors elle ouvrit les yeux aussi grand qu'elle pouvait et se mit avec énergie à hocher la tête de droite à gauche.
" Vraiment je suis désolée, se n'est pas du tout ce que je voulait que tu comprenne." Lui dit elle en lui posant la main sur l'épaule.
Mais ces mots ne firent rien, il se dirigea vers la chambre, l'ouvrit avec la clé qui était à l'identique de Saori, et se mit à attraper une valise et ouvrir les placards pour y mettre ses vêtements.
Alors Saori se mit dans un état pas possible, et se dit :
Mais qu'est ce que j'ai fait?
Elle pris une grande inspiration, serra les mains fort et d'un air directe et vif elle s'exclama fort:

"Nagi-san !" avec les lèvres tremblantes., elle repris sont calme et à présent d'une douce voie elle poursuivit " Vraiment cela me ferrait plus que plaisir d'avoir un colocataire tel comme toi, je ne pense pas trouver mieux."

Elle s'avança, lui repris la valise et rangea tout ce qu'il avait déjà sortie, sous les yeux ébahie du jeune garçon, qui ne compris plus se qui lui arrivait.
"Voilà toi serra là", en pointant son doigt sur le lit de droite, "et moi je serai ici", en pointant son doigt sur le lit de gauche. "Cela te convient il?"

- Arigato Gozaimasu.
Passant un doigt sur son œil coulant, déployant un sourire des plus radieux, le genre de sourire qui exprimait pleinement sa joie, une joie énorme. Oui Saori avait accepté de partager cette chambre avec lui, son choix était fait et le chemin « retour » n’était plus à sa porté.
- Merci .De m’accepter. Lui dit il, en l’observant séparer les lits. Soit le choix était fait, des semaines passeront pleine de nuit blanches pour la jeune fille, son intimité sera dévoilait, mais elle n’y pensa pas comme un fardeau, mais comme une option. Rouge de colère, elle se refroidit peu à peu, regarda en face le jeune homme, et se mit à rire.
Iwashi-san était là, debout, à rougir, comme s’il cherchait à imiter Saori dans s’est plus belle rougeurs.
Elle ne resta pas plus longtemps à l’observer, elle le bouscula par l’épaule et se rendit dans le couloir pour récupérer sa valise. Sa seul et unique valise pour l’année, se baissa et la porta pour la jeter sur ce qui était devenu son lit. Elle l’ouvrit et n’en sortit qu’un plan, le plan de Kinako.

« Je ne suis pas venue avec beaucoup d’affaires, en effet je compte faire mes achats ici, car je viens de loin, pourra tu m’aider dans cette tache ? »

Personne n’est aussi adroite que Saori quand il s’agit de changer de sujet, « l’arriver de Saori » ne devait pas s’éterniser sur un point aussi quelconque, il lui restait bien des choses à découvrir dans cette partie du monde, alors il n’était pas nécessaire de rapporter des affaire d’ailleurs.
Comment pourrions nous croire que cette jeune fille, en face, avec si peu d’affaires, et d’une si grande simplicité, pouvait être, probablement, la fille la plus riche de la ville.
Personne ne devait s’en rendre compte, et Iwashi-san allait devoir y contribuer.

Voilà, elle était installée dans sa chambre, avait déjà fait connaissance avec son gentlemen de colocataire de chambre il était temps de se remettre dans le vif du sujet.
Après tout sa venu ici n’était pas sans raisons, loin de là, le Feu était la cause du sujet.
Ils résident dans le dortoir du feu, mais allait il la comprendre pour autant ? Allait-il la voir comme une jeune fille ordinaire ou comme ses proches qui en avait peur ?
Cette connaissance allait peut être, tout changer pour Saori, voilà, l’année au Black Moon Paper avait commençait.


[vraiment navrée pour le retard, je te répond comme je peut, mais je comprendrai si tu n'aime pas]