Un p'tit rayon de soleil...

[toi, t'as fait un copier coller ! XD]

"tu joues les singes maintenant ?"
Surprise, Mya sursauta. Elle baissa les yeux pour voir qui l'avait interpelée, même s'il lui semblait avoir reconnu cetet voix si singulière. Son sourire s'élargit encore plus quand ses doutes se confirmèrent et que son regard se posa sur Alexandre.

- Hey ! Salut toi ! Ca fait plaisir de te voir ! Mais c'est toi qui monte, moi j'viens juste de monter et j'ai pas envie de redescendre ! Et j'veux absolument que tu sois près de moi !

Elle lui fit un grand sourire charmeur pour l'encourager à grimper.

- Je joue pas les singes, j'admire le paysage !

[désolé si c'est un peu beaucoup court, je ferais mieux la prochaine fois !]

[Eh non]

il fut un peu surprit quand Mya lui dit qu'elle regardait le paysage, quel étrange façon de le faire.

-Si tu insiste tant. Le paysage , étrange manière de le regarder.

Alex' leva les yeux, monter ne lui derangeait absolument pas; il s'approcha du tronc, leva la main pour quel lui serve d'appuie et commenca a monter, s'accrocha a une branche pour rejoindre Mya. Monter pour lui etait d'une faciliter enfantile il avait fait ca toute sa vie pratiquement, en moin de deux il etait au coté de Mya. rien n'etait mieu que d'etre au près d'elle. Rien!

Plus jolie, peut être, mais tout était plus beau quand Mya était dans les parages. En tout cas pour lui. Et rien n'était plus beau qu'elle a ses yeux, et même si la plus belle chose du monde se trouvait devant ses yeux, Mya restait de loin plus belle encore.

-peut être, mais j'ai quelque chose de bien plus joli ici

Il la regarda en souriant, depuis quand n'avait il pas sourit comme ça; Quel question , depuis la dernière fois qu'il avait été avec elle. Il déposa sur ses lèvres un baiser suave.

(post un peu court, désoler, je suis un peu presser)

[t'inquiète c'est pas grave du tout !]

Qu'avait-elle dit ? Merveilleuse ? Bien plus que ça finalement ! Sublime, magnifique, magique, fabuleu, prodigieux, fantastique ! [ça se voit tant que ça que je viens de recevoir mon dico des synonymes ? XD] Elle sourit, attendrie, et délaissa le paysage tout aussi superbe qu'il puisse être pour regarder une autre merveille : Alexandre. Il l'embrassa. Décidément, il en fallait vraiment peu pour être heureux... Enfin peu... C'était peu dire, Alexandre était loin d'être quelqu'un qu'on puisse qualifier de peu. Pour elle il était tout.

- Plus joli ? Je savais pas que j'étais comparable avec un paysage... Mais bon si tu le dis !

Elle aurait pu ne rien dire, se contentant d'accepter ces quelques paroles poétiques avec un sourire comblé, mais c'était moins amusant. Aujourd'hui, comme tous les jours depuis le soir de la fête foraine, elle portait au cou et au poignet les tendres cadeaux de son bien aimé. Le froid arrivant avait fait que ceux-ci étaient souvent cachés son un col ou une manche cependant elle sentait toujours ce contact, lui rappelant encore plus Alexandre, bien qu'il ne soit jamais complètement en dehors de son esprit.

[tu vois, moi aussi c'est pas bien long u_u Sorry]

son rire, se rire qui s'elevait dnas les air pour mieu penetrer dans son coeur. tout ce qu'elle fessait l'atteignait directement. Ce petit coeur si longtemps briser si longtemps glacer, qu'elle avait reconstruit et rechauffer par la simple force de son amour. Mais Mya n'avait pas fait que de reconstruire et recahuffer son coeur elle lui avait fait connaitre la peur. Une peur homni-presente depuis leur rencontre.

Il se rapellait tres bien quand ils etaient tout deux au milieu de l'ocean assis sur une planche de glace, ou ils etaient rester les yeux plonger dans les siens et qu'il avait peur de l'embrassé. Puis une fois qu'il en avait eu le courage, il avait eu peur de l'iamer. Mais c'etait un peu tard. Il l'iamait et maintenant il n'avait peur que d'une chose: la perdre. quoi que la retrouver dnas les bras d'un autre aussi. Non ca plus grnade peur etait qu'elle lui dise clairement qu'elle ne l'aimait plus. C'etait ces cauchemars

Une fois il c'etait reveiller un poeme en tete, ca ne lui etait pas arriver depuis des années un simple poeme tirer d'un reve:
"Tu es dans mon coeur
Tu est mon ame-soeur
La femme de mes reves et de ma vie
Que j'iamerait jusqu'a la fin de celle ci"
Le pire dnas tout ca c'est qu'il 'aurait jamais cru y croire et pourtant il y croyait , plus que beaucoup de chose;.

Elle, elle qu'il aimait tant, elle pour qui il avait tant de sentiment elle qu'il pouvait serrer dnas ses bras, elle qui fesait battre son coeur, elle qu'il n'arriverait jamais a oublier, elle a qui il pensait tout le temps, elle gravé dnas moi coeur en lettre d'or elle pour qui il vivait, Sans elle il mourirait. Triste realiter; enfin triste pas tant que ca. Il etait heureux c'etait toujours ca qui etait bien, emme si il avait trouver la peur, meme si elle le hantait, il etait heureux. Il le fut encore plus suite a ses mots. Se bonheur etait donc resiproque. tnat mieu il n'aurait pas voulut savoir que lui etait heureux alors que elle non, ca aurait ete egoiste. Et avec elle il voulait paraitre plus parfait qu'il ne l'etait, pour ne pas la perdre pour ne pas qu'elle se rende compte qu'elle etait trop bien pour lui.

-Ca me rassure parce que moi aussi

[J'avait pas trop d'inspiration desoler. ]

[Hey nouvelle avatar? Oula ca surprend. T'es rouse maintenant, carrotte ]

elle le remerciait d'exister? Il revait? Non , non elle le remerciait d'EXISTER!!! Lui qui avait essayer il y avait longtemps de ne plus exister justement, c'etait vraiment bizare, jamais iln'aurait crut qu'on le remercie un jour pour ca. lui qui n'avait jamais crut en rien, peut etre qu'en fin de compte le destin existait. il se posait la meme question, tout les jours, a toutes les heures, a toutes les minutes, depuis qu'il aait rencontrer celle qu'il aimait plus qu'il ne pourrit jamais aimer: Mya. Le destin devait exister, non? Ce destin qui aait fait que le chemin de mya avait croiser le sien. Ce meme destin qui avait fait qu'il n'avait jamais reussit a partir de cette terre. Ce meme destin qui avait mit devant lui tant de difficulter. Ce destin qui lui avait fait rencontrer sa seconde moitier. Ce destin qui pouvait bien exister apres tout.

A n'importe qui, avant il aurait repondu quelque chose du genre de "Ce serre a rien" ou autre

- Merci a toi

Ce fut tous se qu'il dit, ces simple mots qui pour lui voulait tout dire. Elle n'avait pas besoin de le remercie pour une chose dont il n'etait pas responsable, mais elle, non seulement elle etait la , mais elle l'aimait, c'etait deja tout. Tout pour lui. il savait que dnas le futur, si on lui demandait de resumer les choses importantes de son passé il dirait " Mya , Mya et ... Mya" Rien d'autre

[A j'ai plus le temps desoler]

[(désolé pour le retard, grosse coupure d'internet) Et ouais, un tout nouveau avatar ! Il est zoli hein ? Elle a vraiment une tête de morphale... Et dire que ça devait faire une bonne semaine que je l'avais dans mon répertoire d'image sans l'avoir repérée... En plus, elle est assortie à ma nouvelle couleur de nom ! Seul problème : impossible de changer la couleur des cheveux ! Mya est donc devenue rousse, toute nouvelle teinture qui lui va à merveille^^ J'avais même pas pensé aux carottes ! =p]

Certes, ce n'était pas lui qui avait décidé de son existence. Mais c'était lui qui avait décidé de ce qu'il était, plus ou moins consciement. Et c'était de ça qu'elle le remerciait. D'exister comme il était, de lui avoir prouvé qu'une personne ainsi pouvait vivre, que son idéal était. S'il n'avait pas existé, elle serait différente. Il l'avait définitivement changée. Elle avait passé un cap de sa vie, un de ceux où tout notre futur est remis en question, changé suite à un minuscule choix. Sauf que là, elle ressentait ce cap bien plus que n'importe quel autre. Elle ne se sentait plus la même. Elle ne se sentait plus une, elle se sentait un tout. Il faisait à jamais partie d'elle.

Suite à ses paroles, elle lui dédia un sourire remerciant puis détourna son regard de son magnifique visage pour le reporter à ses pieds, ou plus exactement à terre. Cette branche n'était pas ce qu'il y avait de plus confortable et elle avait sérieusement besoin de changer de position. Alors, elle fit de nouveau appel à son petit nuage. Condensant l'eau devant eux, elle s'assit sur ce véhicule moelleux et invita Alexandre à en faire de même. Puis, doucement, elle le guida jusqu'à se retrouver à terre. Alors, subitement, le petit nuage disparut. Cette manière de voyager était décidément bien agréable ! Elle s'étendit sur l'herbe, posant sa tête sur ses bras en croix.

[Sorry, c'est pas bien long, mais là j'ai pas le temps !]

il la suivit sur son petit nuage; il avait toujours l'impression d'être sur un petit nuage avec Mya, ses sentiments le faisait voler et le fait qu'elle soit avec lui le rendait toujours plus heureux de jour en jour; jamais il ne serait heureux autrement qu'avec Mya, il le savait, il c'était accorder se droit, lui, eux, tous ceux qu'il avait connu, lui avait offert se droit, le droit de l'avoir, le droit d'oublier, le droit de commencer une nouvelle vie, avec elle. Seulement elle uniquement elle; elle était tous , elle serait tout, il n'y aurait pas d'Alexandre Luke sans Mya Natsuko a ses coter, c'était comme, la chaire sans la peau, les veines sans le sang, les fleurs, sans l'eau, le A sans le B, des larmes sans émotions, la tristesse snas la joie... inimaginable; quoi que pour la tristesse sans la joie, Alexandre pouvait l'imaginer vu qu'il l'avait vécu, pendant longtemps, si longtemps, tout se temps ou il regrettait ses actions, ou il détestait l'eau autant qu'il se détestait. rencontrer Mya n'avait pas fait qu'il s'aime, non loin de la il avait renouer avec l'eau, avec le bonheur, avec l'amitié, mais il se haîsait toujours.

Il s'assit a coter d'elle la contemplant un sourire au lèvres, il aimait la regarder, quoi qu'elle fasse il souriait toujours, et le pire c'était qu'il pouvait avoir l'air idiot a sourire dans le vent il s'en fichait. Dans sa tete c'etait comme une danse, une dnase sans fin qui tournait comme personne, comme rien. il la regardait et il ne voyait pas une simple fille allonger dans l'herbe. oh non, il y voyait une merveille! elle le tenait quoi qu'elle fasse, son cœur et son âme était a elle; elle l'avait bouleverser, il croyait en des choses au quel il n'aurait jamais crut, comme l'amour. Il ne croyait qu'au chose, matériel, qu'il pouvait voir ou toucher, mais la il ne voyait et ne touchait rien et pourtant il y croyait; Souvent quand quelqu'un dit qu'il ne croit que ce qu'il voit on lui dit " et l'honnêteté et l'amour" avant il n'y croyait pas , ni a l'un ni a l'autre. mais maintenant, il croyait au deux en tout cas avec Mya. elle faisait de lui ce dont il n'aurait jamais cru être: quelqu'un! avant il n'était rien, que quelque chose d'indéfini qui errait sans but sans sentiment, sans espoir, avec pour regard, soit celui d'un enfant malheureux soit celui d'un homme pre cosse. mais il n'était rien de tout ça maintenant, il était entier, il était quelqu'un, parce qu'il l'avait elle, elle qui remplissait son cœur, elle qui remplissait sa vie; Jusqu'où irait il pour elle, pour cette amour qu'il chérissait tant, pour celle qu'il chérissait tant; L'amour de sa vie, celle qu'il n'oublierait pas même si il devait y passer, celle pour qui il donnerait tout, jusqu'à sa vie; il n'avait jamais eu peur de rien, a part de ses propres cauchemar mais maintenant il avait peur de la perdre et il ne le répèterait jamais assez. avant la peur et les excuse étaient des signes de faiblesse a ses yeux mais maintenant il avait découvert a quel point c'était naturel, envers Mya. Il découvrait des chose, mais seulement envers Mya, envers les autres, ses principes ses idées restaient les même qu'avant.


[Poste un peu cour je te promet des bon post la prochaine fois parce que les post a deux franc cinquante que je sors en se moment....]

[arrête de t'excuser sans raison.]

Mya, les yeux perdus dans le vide, sentit le regard d'Alexandre glisser sur elle. C'était un peu comme un sixième sens, un magnétisme qui l'avertissait de ce geste. De la même qu'une sensation désagréable l'étreignait parfois quand elle sentait dans la rue un regard méprisant planté entre ses deux omoplates, un grand sentiment de bien être l'envahit au regard de son bien-aimé qui était évidement complètement différent. C'était un regard tendre, aimant. Un regard qui savait apprécier son corps, un regard protecteur. Un regard qui la réchauffait et qui l'attrira irrésistiblement à tourner son visage vers le jeune homme, un tendre sourire aux lèvres.

C'était si agréable de le regarder... Il était magnifique, pour Mya en tout cas. Car c'était un regard amoureux qu'elle portait sur lui, un regard qui aimait chaque forme, chaque trait. Il était beau. N'importe qui aurait pu le dire. Mais pour Mya, il n'était pas seulement beau, il était merveilleux. Dès le premier jour, elle avait ressenti un magnétisme gigantesque qui l'attirait vers lui. Jamais elle n'avait senti cela auparavant. Et c'est pour ça qu'elle avait l'illusion que leur amour serait éternel. Parce qu'elle n'avait jamais rien senti d'aussi fort.Elle regardait Alexandre sans dire un mot, un ravissant sourire aux lèvres.

Après un moment assez long, elle dit enfin :

- As-tu un rêve dans la vie ?

[Je suis comme ça/ vous vous êtes passé le mots avec ma prof, lundi matin elle m'a posée la même question]

Un rêve dans la vie? question a la fois si simple et si compliquée. il avait eu beaucoup de rêve, enfin c'était toujours le même mais sous différente forme, celui de s'en sortir. dans toutes les galères qu'il avait enduré toujours il voulait s'en sortir enfin pas toujours, quelque fois il se sentait dans une routine et ne croyait qu'il y aurait autre chose dans sa vie, mais a chaque fois il s'en sortait, pour plongée dans un autre cauchemar souvent plus pire les uns que les autres. mais maintenant il était heureux, comment ne pas l'être? il était en bonne santé, n'avait tué personne, avait trouvée sa soeur et surtout trouvé son âme soeur. Mais on a tous un rêve! Quel était le sien? on a tous toutes sortes de rêves quelque fois impossible si l'impossible devenait possible il voudrait revoir sa tante, revoir sa première amie, revoirs ses amis quand ils étaient encore sien, tous les revoirs autrement qu'en photo comme si la vie était belle. la vie était comme un bateau que tout les rêves ne pouvait empêcher de couler tôt ou tard. Tout orphelin rêvait de retrouver ses parents, mais lui pas tellement il se fichait d'eux et c'était ça le pire. Il ne savait même pas se qu'ils étaient devenu, enfin si son père était mort, il le savait mais sa mère? Son rêve serait il ça? Savoir qui elle était? Pourquoi l'avait elle abandonner? Il voulait la vérité. Mais ne s'éloignait il pas un peu du sujet initial? Un peu. Son rêve , son rêve... N'avait il pas déjà réaliser son plus grand rêve en rencontrait Mya? oh si sûrement!Aucun rêve n'était plus beau. Mya était un rêve a elle toute seul.
peut être son rêve était il de ne jamais la quitter que jamais leur routes n'aient a se séparer. mais se n'était pas un rêve, c'était un espoir, pour une fois qu'il en avait de l'espoir. la plus part des choses qu'il voulait était plus des espoirs. Comment différencier rêve et espoir? ça lui était impossible! peut être n'en avait il juste pas. Comment vraiment savoir?

Il essuya le coin de son oeil sans réel raisons réfléchissant rapidement pour finir par donner une réponse simple

-Non.

Il se demandait se qu'il en tait pour Mya

-Et toi?

elle elle devait bien avoir un rêve.

[A la limite que tu t'excuses dès que c'est un peu court je dis pas, mais quand t'en fais des longs et biens... T'es pire que Coeurdeau !]

Non ? Il n'avait aucun rêve ? Aucun idéal qui lui allégeait la vie dans les moments durs, qui le poussait à aller de l'avant pour pouvoir un jour connaître la joie de voir son rêve devenir réalité ? Même pas un rêve impossible, un de ceux qui provoque un soupir et une déprime conséquente ? Ou peut être ne voulait-il pas lui en parler... Mais pourquoi voudrait-il le lui cacher ? Il n'y avait pas de raison à cela. Soit il n'avait vraiment aucun rêve, soit il ne les qualifiait pas ainsi.

Et elle ? Avait-elle un rêve ? Elle ne savait pas. Ou plus, tout ça n'était pas clair. A présent Alexandre emplissait tout son esprit et elle n'imaginait pas son avenir sans lui et sans bonheur. Pas de quoi rêver donc... Pensive, elle baissa les yeux au sol, glissant dans ses songes. Mais avant ? Que souhaitait-elle avant de le rencontrer ? Tout ça lui semblait déjà si loin...Mais elle avait déjà eu un rêve. Elle le sentait. Souvent, elle s'était levée seulement guidée par cette idée que cette journée était indispensable à la réalisation de son rêve, et quand elle se couchait, s'était parce que le lendemain elle serait plus énergique pour partir à la conquète de son idéal. Se replongeant dans ses souvenirs, son coeur se serra en se souvenant de ce que le beau jeune homme avait réussi à lui faire oublier. Elle se souvint de ce dont Kinako l'avait distraite, ce qu'elle avait tant voulu se décharger et qu'elle avait finallement réussi à oublier. En fin de compte, son rêve ne l'avait pas quittée. Elle releva les yeux vers Alexandre, une boule dans la gorge.

- Mon rêve... c'est de comprendre. Comprendre certaines choses qui ont tout changer dans ma vie et dont pourtant je ne sais rien...

[C'est la vie, je suis comme ca ]


Comprendre? Comprendre etait souvnet un reve impossible; Certaine chose que l'on voudrait comprendre etait impossible a comprendre, pas par idiotie, mais par incapacibiliter. Quel etait ses chsoes dont parlait Mya? Cela l'intriguait. pour lui comprendre n'etait pas vraiment un reve vivre dans l'ignorance, il avait appris a le suporter. Il avait vecu dnas l'ignorance de ses actes, l'ignorance de toutes les consequences que son passage entrainait, l'ignorance de se dont il etait capable, l'ignorance de ce qu'il etait. et maintenant il n'en savait pas plus, mais il en etait concient, et l'assumait, il etait ignorant. mais si il y avait une chose qu'il n'ignorait pas et que beaucoup dnas se vaste monde ignorait, c'etait certe la veritable souffrance, mais aussi le veritable amour. Et oui mya etait arriver dans sa vie comme un soleil a peitt matin et avait revieller en lui se que son ignornce dissimulait, de fort sentiment. Les plus fort. Beaucoup passait leur vie a chercher l'amour, mais lui, du haut de ses 16 ans, il aimait, et bien plus qu'il ne l'aurait crut possible. Il n'etait plus le petit garcon au coeur de glace. Ce coeur avait fondu, emportant avec lui toutes les "maledictions" qui avait pesé sur lui. plus rien ne pourait le faire souffrire. Enfin si une chose, la perdre. La perdre serait pour li la pire chose au monde. que serait il sans elle, il se le demndait telment souvent, elle etait tout et lui il etait rien. Quel philosophie! Mais pourtant c'etait vria, elle etait telment extrordinaire, et lui telment, rien. il lui arrivait souvent, meme toujours, de penser qu'es ce qu'elle faisait avec lui. Il passait des nuit entiere a penser a ca, sans que la fatigue ne vienne l'envahire, sans qu'il ne se sente coupable de tout comme il en avait l'habitude, sans qu'il ne pense u pire, mais juste au meilleur. Et le meilleur, son seul meilleur, c'etait elle. Elle, elle si parfaite, elle si extraordinaire, elle si magnifique, elle si philosophique, elle si brillante, elle si... tout, aucun mot ne pouvait reelment la decricre car jamais Homme n'avait eu a faire a quelqu'un comme Mya pour inventer un mot qui pourait exprimer ce qu'elle etait. Lui qui avait toujours un mot pour tout, maintenant quand quelque chose serait trop merveilleux pour etre qualifier de merveilleux, trop splendide pour etre qualifier de splendide, trop parfait pour etre qualifier de parfait, dnas ca tete, ce qui qualifierait une tel perfection, une tel meveille, ce mot ou plutot se nom se serait Mya. Mya doux son a ses oreilles. Il se reveillait se nom dnas la tete t dans le coeur et s'endormait egalement dans se meme etat, un etat ou il etait hanté, hanté par elle, elle qu'il cherrissait tant, elle pour qui il donnerait tout, elle qu'aucun mot ne pouvait qualifier, Mya. Mais la ses pensés s'eloignait du sujet de conversation.

-Que veux tu dire par "certaines choses qui ont tout changer dans ma vie et dont pourtant je ne sais rien"

[[soit, dans ce cas-là je vais pas me retenir non plus : incapacibiliter n'existe malheureusement pas, on dit incapacité. Et aussi, étant à présent en 3ème année, Alexandre ne peut pas avoir 16 ans. En première année, il est sensé (je dis bien sensé car il ne me semble pas que c'était ce que tu avais mis et que c'est une règle souvent ignorée) avoir 15 ans donc logiquement en 3ème année il a 17 ans. Ou 18 s'il avait 16 ans en première année. Et oui, le temps passe vite ! Je précise quand même que ces deux détails sont sans importance mais j'ai pas cherché à me retenir^^]]

Il lui demanda de mieux s'expliquer. Elle aurait pu s'y attendre, elle n'avait pas été très explicite... Mais c'était souvent ainsi : sur ses sentiments profonds, elle préférait s'exprimer avec des phrases complexes, des sens cachés, des métaphores, bref tout ce qui peut cacher un tant soit peu la réalité. Peut être parce qu'elle hésitait justement à dévoiler ses sentiments mais qu'elle ne pouvait s'empêcher d'en parler un peu, ne serait-ce que pour se soulager. EN effet, exprimer ses tourments profonds aide toujours à s'en décharger. Et c'est pour cela que ses phrases étaient peu explicites et qu'elle était souvent la seule à les comprendre, pour avoir l'impression d'en parler sans pour autant se faire comprendre.

Cette tendance était aussi liée au fait que Mya ne mentait jamais. Quand la vérité était gênante, elle la dissimulait dans des phrases à sens multiples ou se taisait mais ne mentait jamais délibérément. C'est pour cela qu'elle ne pouvait pas ignorer la question d'Alexandre. D'autant plus qu'elle venait de lui. Après tout, pourquoi chercherait-elle à lui cacher ce malaise qu'elle ressentait à cette pensée ? Pourquoi cacher ses pensées profondes alors qu'il la contrôlait complètement et qu'elle avait l'impression qu'il lisait en elle comme dans un livre ouvert ? Pourquoi s'enquiquinerait-elle à l'envoyer ballader alors qu'au fond elle ne demandait qu'à se confier et qu'il était sans aucun doute la personne la mieux placée sur Terre pour l'écouter et la comprendre ? Il lui avait même confié son passé douloureux, elle n'avait aucune raison de lui cacher le sien pourtant bien plus heureux !

Le problème des histoires atrocement tristes, c'est que cette horreur est si effroyable qu'il est impossible de l'imaginer. Mystérieusement, cela revêt un caractère irréel et on arrive pas à les considérer dans toute leur atrocité car elle nous dépasse. C'est l'inconvénient d'avoir eu une vie trop heureuse : on ne peut pas ressentir ce que ceux qui ont vécu une vie plus dure ressentent à ce sujet. Et Mya avait vécu une vie immensément plus heureuse que celle d'Alexandre. Elle ne pouvait donc pas faire mieux que d'imaginer ce qu'il avait pu ressentir en ses moments de malheurs et compatir de tout son coeur. Ce n'est pas forcément évident de compatir pour quelque chose d'inconnu...

- Je parlais d'une des raisons qui m'ont amené dans ce pensionnat...

Elle continuait avec ses demi-réponses... Comment pouvait-elle faire ça avec Lui ? C'était honteux ! Mais elle se trouvait bête de raconter son histoire en lui accordant autant d'émotion alors qu'il avait vécu tellement pire... A côté de lui, ce n'était qu'enfantillages... Mais c'était ce qui la faisait le plus souffrir après l'idée qu'Alexandre l'abandonne. Et, longtemps, cela l'avait tourmenté la nuit et renfermée sur elle-même. Trop émotive, on lui avait déjà dit. Mais était-ce sa faute si elle s'attachait si facilement aux gens, si elle aimait tant sa famille ? N'était-ce pas légitime d'être aussi touchée par ceux de son sang ? Peut être bien qu'elle exagérait tout... C'est vrai, cet amour par exemple qu'elle ressentait pour le beau blond... N'était-ce pas exagéré d'aimer autant ? La plupart des gens se contentait d'une simple amourette nan ? Alors pourquoi elle, elle ressentait tout aussi fort ? Bonne question, qui risquait de rester longtemps sans réponse comme tant d'autres questions... Mais la sagesse est de découvrir sa propre réponse aux interrogations de la vie et si toutes ces questions n'existaient pas, la vie serait bien monotone... Elle baissa les yeux et raconta :

- J'aimerais comprendre pourquoi mes frères nous ont abandonné, moi et ma mère, alors qu'ils avaient toujours été très proches de nous. J'aimerais savoir s'ils sont encore en vie et ce qui les empêche de nous donner des nouvelles. J'aimerais savoir ce que faisait mon père exactement...

Elle soupira puis acheva :

- ...et pourquoi j'ai ce curieux sentiment que cela est lié à l'absence de mes frères.

Puis, elle releva la tête et regarda Alexandre avec un sourire :

- J'aimerais aussi savoir pourquoi j'ai un sentiment si fort qui vibre en moi et, tant qu'à faire, j'aimerais connaître les secrets de l'Univers. Mais ça je me le réserve pour quand je serais vieille !

[[Ah, enfin un post (de ma part) digne de ce nom ! Ca fait plaisir ! =D]]