allez voila ma fic:
Prologue :
An 2222 alors qu’une nouvelle air commence une nouvelle race naît : Les clones….La cause de leurs existences ? Un virus a ravagé pendant un siècle l’espèce humaine. Les enfant mourrait vers l’ages de 1 ans ….très peu survivait… Il n’y avait plus qu’une seule solution. Les clones. Ces êtres identiques a leur géniteur étaient surdéveloppés des compétente physique et une intelligence sans égale… Mais cela ne va pas sans problème. Les clones devenaient de plus en plus bizarre de plus en plus menaçant.
Chapitre 1 :
Dans une pièce sombre meublé simplement d’une armoire et d’un bureau ainsi qu’une table de nuit. Une petite fille de 4 ans était assise sur un lit et lisait. La fillette avait de grands yeux sombres, ses yeux exprimaient une tristesse et une haine indescriptible. Quelques instants plus tard une jeune femme entra, la fillette releva la tête et la regarda un moment de ses yeux ombreux avec un reflet insistant .La femme soupira et alla s’asseoir près de la gamine.
« Allons-y Nina le médecin nous attends.
L’enfant ne murmura que quelques mots.
-maman… »
Quelques minutes plus tard Nina et sa mère étaient dans la voiture. La fillette regardait la route droit devant eux d’un regard vagues et perdu. La voiture s’arrêta devant un grand bâtiment blanc avec marquer hôpital. L’enfant et la mère descendirent de la voiture silencieusement. Arrivé a l’accueil une jeune infirmière les interpella.
« Madame Amélia Kuroda ! Anna (Nina est son surnom) seras dans la salle 10 pour examen complait et monsieur Mokié souhaiterait s’entretenir avec vous après le test.
-bien dites-lui que j’y serais. »
Arrivé a la salle 10 Amélia entra dans la salle avec sa fille et la déposa sur un lit l’embrassant sur le front .Puis elle partit. Monsieur Mokié arriva peut de temps après. C’était un homme grand et musclé avec un air déterminer. Puis une série de test commença pour Nina.
Une heure trente plus tard Amélia revint chercher sa fille .Monsieur Mokié s’approcha d’elle et lui murmura quelques mots, Amélia hocha de la tête affirmativement. Monsieur Mokié s’approcha de la fillette et lui fit une prise de sang, une larme roula sur le long de la joue de la jeune enfant .Un peu plus tard dans le bureau de monsieur Mokié.
« Nina représente-t-elle les symptômes ?
-Non, Il semblerait que l’enfant échappe à toutes signification.
-Mais alors pourquoi continué ces tests pourquoi faut-il la faire souffrir ?
-Pour nous assurer que rien de grave ne lui arrive. »
Bientôt la mère et l’enfant repartir de l’hôpital.
Chapitre 2 :
Le soir Amélia alla broder Nina. Nina se laissa faire mais au moment où sa mère refermait la porte elle lui demanda :
« Maman est-ce que c’est vraie que lorsque qu’on regarde quelqu’un dormir on peut voir ses rêves ? »
Amélia réfléchit un moment et se rapprocha de sa fille.
« Je n’en sais Rien Nina… Tu sais les rêves et les penser sont des choses que personnes ne peux cerner. Ils n’appartiennent qu’a nous et a nous seuls. L’esprit de l’homme est le dernier refuge qu’il possèdent sont trésors le plus précieux. Maintenant dors demain tu a classe.»
Sitôt que la jeune femme eut fermé la porte. Nina se releva et se dirigea vers une étagère. Elle sortit un album poussiéreux et l’épousseta. A l’intérieur elle pouvait y voir un jeune femme puis un homme ainsi que un petit garçon qui devait avoir 5 ans. Puis on y voyait la même jeune femme entrain de pleurer. Nina retourna l’album photo et lut la date inscrite au dos. 2216. Elle revint à la page ou elle s’était arrêtée. Plus loin encore on pouvait apercevoir un petite tombe ou il y avait marquer :
« Ici gît : Johann Kuroda. »
Nina sortit le cliché de l’album et tourna les pages du livres pour revenir a la photo du petit garçon. Elle la prit et la retourna. Au dos il y avait marqué :
« Johann Kuroda. »
Nina comprit qu’il avait du être son frère mais il était maintenant mort. Elle reprit sa découverte du livre. A un moment elle vit un ^photo ….. D’elle !! A coter de celle-ci était écris une remarque : La vraie HUMMAINE. Ne comprenant pas elle retourna la photo et vit le nom de sa mère écrit. Ne comprenant rien a rien elle referma l’Album et alla se coucher mais une image était tomber.