Mon début de ficc^^

(Voila mon premier chapitre de ma ficc, j'espère que sa vous plaira^^)

Les Chroniques de l’Ange Noir

1-La messagère

Okinawa une île du Japon situé a égale distance entre son pays et la chine. Ses plages de sable blanc et sa chaleur annuelle qui réjoui les touristes venant passé leurs vacances sur cette île de rêve. Nous sommes fin de l’été, l’année deux mille six, le soleil couchant prêt de la plage avait une vision de pur paradis sur cette petite île, c’est ici que notre histoire va commencer.
Un jeune homme se baladait sur cette plage tout en regardant le ciel orangé qui lui inspirait une profonde mélancolie qu’est la reprise du lycée. Ce jeune homme s’appelle Gatsou Emishi, il est âgé de seize ans, assez grand, les cheveux long noir et les yeux bleu. Il passe son temps pendant les vacances a se baladait dans les rue, les plages de la ville et a joué de la flûte. Il était assez ouvert d’esprit sur la nature et aimé rester seul durant de longues heures, il avait aussi quelque pulsion assez étrange et violente par moment mais que très rarement.
Ce soir la il rentrait en prenant une direction différente par rapport a d’habitude, il voulait voir de nouvelle chose. Il attendait avec une profonde tristesse le chemin qui le ramènerait dans son lycée, il n’aimait pas beaucoup les cours et de nombreuses personnes lui causait régulièrement des problèmes. Il réfléchissait a se qu’il pourrait faire dans ces derniers jour de liberté mais il avait peine a trouver. Il marchait le long d’une rue étroite qui menait a sa maison où sa famille l’attendait comme tout les soirs, il était prêt a se faire remonté les bretelles suite a son escapade car chaque soir il disparaissait sans mot dire se qui inquiété ses parents. Il arriva devant chez lui et entra.
Il habité dans une petite maison qui possédait un assez grand jardin, bien que la maison montré qu’il n’avait pas une famille nombreuse elle n’en était pas moins dans une bonne situation. Son père était un homme assez grand lui aussi et avait une certaine prestance qui faisait de lui un homme respecté de tous, il dirigeait une banque très importante pour la ville. Quant à sa mère elle était une petite femme mince qui était elle professeur dans son propre lycée à son grand malheur, elle ne raté pas une occasion pour le ridiculisait en publique même si ce n’était pas son but. Il entra dans la pièce qui semblait être le salon est fut accueilli par les remontrances de sa mère

- Alors c’est à cette heure la que tu rentre ? On se faisait su souci pour toi je te signal
- Mais maman tu sais bien que je me balade prêt des plages et que je mets toujours un peu de temps a rentré, il ne m’arrivera jamais rien.
- Oui mais se n’est pas une raison pour rentré alors qu’il fait presque nuit, tu sais bien que vers cette heure la des jeunes très peu recommandable sorte pour faire des choses a pas faire.
- Je le sais mais que veut tu qu’il me fasse un pauvre gars comme moi qui ne leurs cause pas d’ennuis, ils ne font jamais attention à moi alors je risque rien.

Suite à cette discussion qui revenait tous les soirs, ils passèrent à table, le dîné était silencieux personne ne parlait. Après avoir mangé Gatsou alla dans sa chambre et s’allongea sur son lit, il pensait a se qu’il allait faire demain puis ensuite au avertissement de sa mère, il s’en fichait complètement, il savait que personne ne lui causerait de problème comme lui-même n’en causait pas. Il s’endormit très vite en pensant à toute chose.
Il se réveilla le lendemain et après avoir pris son petit déjeuné repartit en ville. C’était un samedi matin, les rues étaient animées. Les gens parlait, marchait, commerçait, comme dans toute les villes. Gatsou quand a lui déambulait dans la rue principale regardant les passant, il s’assit sur un banc tout en réfléchissant sur diverse chose de la vie quotidienne. Quand tout à coup quelqu’un l’appela il tourna la tête pour voir d’où la voix venait, il vit alors une jeune fille qui était dans sa classe. Elle s’appelait Natsuko, elle était de taille moyenne pour une jeune fille, les cheveux noirs de jais et ses yeux verts charmés tous les garçons de sa classe. Elle était la seul personne qui comprenait Gatsou quand a lui il la considéré comme sa sœur. Quand elle fut à coté de lui il dit :

- Tiens sa faisait longtemps Natsuko, je ne t’ai pas vu des vacances, alors comment vas-tu ?
- Je vais bien et je m’excuse de ne pas t’avoir prévenu, j’étais à Tokyo avec ma mère elle faisait un voyage d’affaire et elle m’a laissé avec mes grands parents qui habite à la capital.
- Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas, alors qu’est ce qui t’amène par ce beau jour de fin de l’été ?
- Hé bien j’étais parti faire un tour en ville pour faire des courses, je ne pensais pas te voir toi qui reste d’habitude cloîtré dans ta maison à lire des bouquins d’heroic fantaisie ou encore des mangas.
- J’ai changé mais habitude pendant tout l’été je suis sorti faire un tour chaque jour sur les plages ou encore les rues de la ville, j’y reste jusqu'à que le soleil se couche se qui ne plait pas à ma mère du tout.
- Elle a raison, des bandes sorte beaucoup vers ces heures la et tu le sais aussi bien que moi.
- Oui je le sais, ma mère me le redis tous les soirs inlassablement…Alors maintenant je suis habitué.
- T’es vraiment impossible quand tu t’y mets, c’est pas vrai sa !!!
- On ne change pas se que l’on ai c’est la règle de toutes choses, sinon si nous allions sur la plage, je te jouerai un morceau de flûte que j’ai appris pendant les vacances.
- Si tu veux je n’ai rien à faire d’autre puis les course peuvent attendre.

Ils partirent en direction de la plage principale d’Okinawa, sur le chemin ils discutèrent de tout et de rien, Ils étaient heureux de se retrouver après deux mois d’absence. Gatsou qui n’avait pas rit depuis plusieurs semaine retrouva cette sensation auprès de Natsuko. Ils déambulèrent le long des rues sombres de la ville avant d’arriver sur la plage précédemment laissé par Gatsou la veille, ils s’assirent sur un banc qui se trouvait juste devant la plage puis Gatsou commença à jouer un morceau de flûte qu’il jouait régulièrement maintenant. La musique était calme et douce, Natsuko se laissé bercer par le flot de note sortant du petit instrument en bois, elle ferma les yeux jusqu'à la fin de la mélodie qui se termina après quelques minutes.
- Tu joues de mieux en mieux c’est bien, j’aimerais bien jouer d’un instrument mais mes cours de kendo m’empêche de faire d’autre loisir.
- Tu es la seul fille que je connais à faire se sport qu’est ce qui t’attire dans se sport…Moi j’aimerais bien en faire mais mes parents le trouve trop violent du coup je ne peux pas.
- Tes parents on toujours était très stricte sur se genre de chose les miens me laisse un peu plus de choix dans les sport mais c’est tout je ne peux pas sortir tout le temps comme toi.
- Je sors parce que je ne les écoute pas sinon je resterai tout le temps enfermer dans ma maison à faire des taches ménagères, rien que dis penser sa me donne des frissons.
- Sa ne te ferais pas de mal de travailler un peu pourtant. Bon que faisons nous maintenant…Moi je dois aller faire des courses pour mes parents si je ne rentre pas bientôt je vais me faire incendié.
- Tu as besoin d’aide pour tes courses ?
- Non c’est bon je vais le faire toute seul, comme sa je vais pouvoir faire un peu les boutiques en même temps.

Elle sourit l’embrassa sur la joue et partit en courant, Gatsou lui resta sur son banc sans bouger pendant un moment suite à ce qui venait de se passer. Il regarda la mer pendant plusieurs heures, il alla manger une glace au bord de l’eau. Le soleil commença a se couché pour laissé la place a une nuit tiède qui était dirigeai par la lune sombre qui glaçait le sang de plein de gens dans le monde. Il commença à rentrer et s’attendait comme à son habitude de se faire disputer par sa mère quand soudain un groupe de personne qui devait avoir son age apparu. Ils avaient tous les habits troués et rigolaient fortement tout en buvant de l’alcool et en fumant. Quand ils le virent ils l’encerclèrent puis se qui semblait être le chef de la bande entra dans le cercle nouvellement formé.
Il était grand et très musclé, il était rasé comme un soldat de l’armée, il portait une bière dans sa main droite et dans l’autre sa cigarette. Il s’avança et lui dit tout en rigolant :

- Que fait tu sur notre terrain de jeu la mauviette ?
- Je ne fais que passer…je ne vais pas vous dérangez, dit Gatsou en s’attendant à ce que cette situation empire.
- Tu es sur notre territoire à une heure interdite je te signale, répondit le chef de bande.
- Je n’étais pas au courant, veuillez m’excuser, je pars maintenant.

Des rires s’élevèrent du groupe de jeunes et des rirent pas particulièrement amical. Leur chef les regarda tour à tour avec un grand sourire particulièrement sadique. Il l’observa un moment tout en tournant autour de Gatsou et il finit par lui dire :

- Dans se cas tu va devoir payer un petit tribut et on te pardonnera
- Je n’ai pas d’argent sur moi désolé.
- Et bien si tu n’as pas d’argent a nous donné, nous allons te punir sévèrement.

Des coups commencèrent à pleuvoir de toutes parts, il ne faisait rien pour les éviter. La bande riait aux éclats en voyant la douleur de Gatsou s’agrandir au fur et à mesure que les coups s’intensifiaient. Ils le frappèrent pendant un long moment où il ne réagissait toujours pas et les coups ont subitement cessé de tomber. Les jeunes partirent laissant Gatsou dans une pluie d’été, sur le sol, trempée de sa honte qu’il n’ait pas eu le courage de réagir. Il ne réagissait toujours pas, ne pensait à rien et regardait dans le vide. Pourquoi c’était il laissait faire ? Le courage lui manquait et il n’avait jamais eu de force pour lutter alors il ne préférait pas riposter. Il finit par se lever et à commencer sa marche nonchalante, non assurée, pour rentrer chez lui. Il ne voyait rien sur le retour ou plutôt il ne voulait rien voir, il pensait juste à sa défaite cuisante où il n’avait rien fait pour empêcher sa. Arrivé dans sa maison il subit les remontrances de sa mère qui s’inquiétait visiblement, mais il ne l’écouta pas et rentra dans sa chambre. Il ferma la porte à clé puis il s’allongea sur son lit. Les bruits du tambourinage de sa mère sur la porte cessaient petit à petit, il commençait vraiment à réaliser se qui lui était arrivé et il s’énerva tout seul contre lui-même, la rage se faisait de plus en plus forte mais il réussit à se contenir. Il ouvrit la fenêtre de sa chambre pour respirer l’air frais de la fin d’été puis il s’allongea mais se qui se passa le fit se relever aussitôt…Une dague passa par la fenêtre et se planta dans le mur dans un bruit sourd, une lettre y était accrochée. Il se leva doucement en regardant par la fenêtre, au cas où la personne en relancerait une qui se dirigerait vers sa nuque, et il prit la lettre et la regarda. Elle était écrite au plumes et le papier n’était autre que du parchemin, encore quelqu’un qui se prend pour plus qu’il n’ait pensa t’il, puis il la lut et il disait :
« Je suis celui que ton cœur cherche sans cesse, je suis celui qui réveillera ton future incertain enfoui en toi, je suis celui qui fera de toi ce que tu as toujours rêvé d’être. Si tu veux en savoir plus sur ta destinée rejoins-moi le soir de pleine lune sur le toit de l’immeuble qui se trouve devant toi. Je ne suis qu’un messager mais bientôt tu comprendras que je suis bien plus que sa pour toi car se qui va t’arriver sera un bien ou un mal pour toi…Ceci dépendra de tes manières d’agir de par le monde… Je te souhaite bonne chance jusqu'à lors, tu me rejoindras car ton âme y est déjà…
Ps : Viens seul en rendez vous de ta destinée sinon ton âme sera à jamais damnée »
Il relut le message plusieurs fois avant de le laisser sur le coté de son lit avant de s’asseoir sur celui-ci. Il réfléchi un long moment, ne pensant plus a ce qui c’était passé à la plage et ne pensant plus à ses innombrables blessures…Quelque chose l’intriguait dans cette lettre car d’habitude il l’aurait jeté pensant que c’est une farce mais la c’était comme si une aura étrange était imprégné dans ce morceau de parchemin comme dans les livres d’héroïque fantaisy qu’il lisait tant. Il ne dormit pas cette nuit la mais il avait le sentiment qu’il ne pouvait pas refuser cette invitation. Il se leva le matin, toujours pensif, il fit se qu’un homme normal ferait le matin et parti en ville pour sa dernière journée de vacance mais quelque chose l’interpella quand il passa devant une vitrine, en la regardant il vit qu’il n’avait pu aucune blessures. Il resta un moment devant la vitrine et fouilla dans sa poche où il avait mis la lettre avant de partir et vit qu’elle y était toujours…Comment ce faisait t’il que ses plaie et bleu avait disparut ? Il ne le savait pas, mais quoiqu’il en soit ce n’était pas plus mal.

Il passa une nouvelle journée auprès de la plage mais un peu plus loin que celle de d’habitude pour ne pas retomber sur les jeunes de la veille…Il devait aussi partir plus tôt pour rencontrer le messager qui lui avait fait un trou dans le mur. Il y pensé sans cesse et surtout il imaginait diverse hypothèse comme celle de la farce bidon qui pourrait sûrement lui arriver ou alors des personnes de sa classe qui veulent régler des comptes avec lui…Il pensait plus que se que disait la personne était vrai car il vivait beaucoup dans un monde fantastique alors pour lui si cela se réalisait il serait vraiment heureux et il pourrait enfin changer de vie…Son seul regret c’est que son amie Natsuko ne pourrait pas la suivre alors que celle-ci voulait absolument venir. Il décida de ne pas aller la voir pour ne pas que sa lui fende le cœur aussi bien à lui qu’à elle.

Le soir était vite tombé, il devait se dépêcher d’aller dans l’immeuble que lui avait indiqué la lettre, Il marcha le long des rues sombres qui étaient souvent des raccourcis de sa trouvaille…Soudain sur le chemin il trouva Natsuko qui se dépêchait elle aussi mais pourquoi à cette heure ci ? Il la regarda passer sans lui parler car il allait être en retard et des choses comme sa ne pardonne pas. Il courut dans les quartiers arrivant essoufflé devant le grand immeuble où il devait se rendre au sommet pour obtenir la féliciter ou alors le ridicule dont il était assez habitué maintenant. Il monta les escaliers quatre à quatre et arriva trempé comme un sportif après une journée d’entraînement et aussi frais qu’un poisson hors de l’eau il marcha d’un pas incertain vers le milieu du toit…Personne ne s’y trouvait, il était seul et commença à s’énerver car il avait encore était mené en bateau. Il s’assit pour récupérer mais il était vraiment furieux et se dit que s’il trouvait les coupable de sa il les ferait payer très cher.

Mais tous ses doutes et son énervement s’envolèrent quand une grande lumière apparut devant lui, très brève qui disparut quelques secondes plus tard. Une jeune femme était sortie de la lumière et se tenait devant lui. Il se releva tant bien que mal face à la stupéfaction et il se frotta les yeux pour voir si se n’était pas un rêve. La jeune femme s’avança un peu, elle était très belle dans une longue robe blanche tenu à la taille par un mince ruban de soie blanc presque transparent, un collier discret se trouvait autour de son cou. Elle avait des formes alléchantes et dessinés, son visage était pur et doux rien qu’un la vision, ses longs cheveux noir et ses yeux mêlant le vert et le marron rendait était vraiment magnifique. Son sourire creusait de belles petites fossettes découvrant des dents aussi blanches que la neige, ses lèvres pulpeuse était vraiment attirante. Elle s’avança et lui dit d’une voix chantante :

-Te voila, toi qui est maintenant un des élu des «Jun'Hogosha»… Je te rencontre enfin, je suis heureux que tu sois venu contrairement à plein de monde que mes frères ne rencontreront peut être pas.
- Bonjour…Euh…Vous avez dit «Jun'Hogosha», Qu’est ce ?
- Je répondrai à tes questions le moment venu, mais avant je vais me présenter, je suis une des messagères du monde du «Saiketsu », je m’appelle Yoshiko. Je suis venu ici pour te voir comme tu te doutes mais surtout pour t’investir d’une grande mission.
- Bien, bien si vous le dites mademoiselle Yoshiko mais avant tout j’aimerais bien que vous m’éclairiez sur certains points comme les Jun’Hogosha ou alors le Saiketsu.
Elle remit une de ses mèches en place puis elle me regarda d’un air mystérieux et sourit gravement avant de reprendre la parole :
- Bon alors je vais t’expliquer se qu’est le Saiketsu d’abord…Pour commencer nous pouvons dire que c’est un monde différent de celui-ci où seul quelques élus qui sont décédés peuvent atteindre. Notre but est de garder les mondes parallèles en état pour qu’il n’y est pas de distorsion temporel qui pourrait mener de grandes guerres jusqu'à la destruction de l’univers.
- Boulot assez compliqué, vous devez avoir du travail pour tout une vie avec tout sa…
- Nous sommes immortels vu que nous sommes déjà mort, et puis se n’est pas si terrible une fois qu’on y est habitué. Ensuite les Jun’Hogosha son des personnes venu de différent monde qui protége les mondes alentours de leurs force comme nous ne pouvons intervenir nous même…Peu de personnes on la chance de faire parti des Jun’Hogosha, alors estime toi heureux, mais je dois te prévenir d’une chose tu n’es pas le seul à être investi de la mission que je vais te donner mais certains deviendront tes ennemies alors fais attention. Certaines personnes ne reviennent pas vivantes de ces missions.
- Et bien je sens que tous sa va être intéressant, je suis presser dans savoir plus sur ma mission.
L’excitation se faisait de plus en plus grande dans le corps de Gatsou, il allait vivre des aventures pour la première fois de sa vie, il avait attendu se moment depuis des années déjà. La jeune femme le vit qu’il tremblait de plaisir alors elle sourit et lui dit de sa voix douce.
- Je vais maintenant t’expliquer ta mission, elle reste simple et complexe à la fois. Tu dois tuer un homme du nom de Rikyu, il a fait certaines choses qui ne nous on pas plus à nous les messagers de Saiketsu. Il a commencé à faire d’énormes distorsions spatio-temporelles qui amènent des monstres d’un autre plan nommé «Jigoku»…
-L’enfer ! Rétorqua Gatsou assez surpris.
- C’est comme sa que vous l’appelait dans votre monde mais nous c’est différent, mais sa reste le même principe. Il est dangereux et seul tu ne pourras rien faire…Alors nous te demandons aussi de recruter certaines personnes dans les mondes que tu visiteras. Tu sauras qui le moment venu…Je t’interdis de dévoiler ta mission aux personnes que tu rencontreras, et surtout d’autres personnes comme moi donnerons des missions à d’autres personnes comme toi. Tu les reconnaîtras grâce à ce signe.
Elle pointa son doigt vers Gatsou et une lumière bleutée jaillit de celui-ci pour aller vers l’épaule du jeune homme. La lumière disparut et une marque apparut, elle représenter un marteau entouré des quatre éléments. Le feu, la terre, l’air et l’eau. Elle le regarda surpris et lui dit d’un ton joyeux qui donna du baume au cœur du jeune homme.
- Tu es vraiment chanceux le signe que tu as sur l’épaules prouve que tu as un don spécial, normalement le marteau ne devrait pas s’y trouver…Bon ce n’est pas tout sa mais je dois t’envoyer dans le monde où va commencer ta mission.
-Un don spécial…Partir en mission tout de suite, balbutia Gatsou. Mais je dois prévenir mais parents et ma famille je n’ai rien sur moi en plus.
-Tu n’auras besoin de rien ne t’inquiète pas, dit elle d’un ton désinvolte. Tout sera sur place…Au faite parfois en allant dans certains mondes tu rajeuniras, dans d’autres tu vieilliras, sa dépendra du monde. Tu auras aussi les souvenirs de se qui c’est passé avant que tu viennes dans le monde comme si tu y avais toujours été… Tu pars dans quelques minutes maintenant.

Yoshiko regarda Gatsou puis elle sourit, elle l’embrassa sur la joue et lui dit bonne chance pour son aventure. Une légère brise se fit sentir dans les jambes du jeune homme quand soudain une énorme lumière bleue tombe sur lui et l’aspire dans un passage temporel, avant de partir il vit qu’une autre lumière semblable se trouve sur un autre immeuble. Il arrive entre deux plans parallèles, il fait noir, complètement noir. Flottant dans les airs, il avance comme si il connaissait le chemin. Tout à coup il fronça les sourcils et vit une point lumineux au loin, se débattant comme il put, il avança vers le point qui grossissait a vu d’œil maintenant. Arrivé prés de celui un violent coup de vent se fit sentir dans son dos qui le poussa littéralement en dehors du domaine sombre où il se trouvait. Qu’allait-il découvrir dans le monde où il allait arriver ?