Rien.

Invité

Awena était seule dans une classe abandonnée. Elle n'avait pas envie de se meler aux autres, pas tout de suite, elle se sentait trop étrangère à ce monde pour vouloir y pénétrer d'un seul coup, alors elle avait décidé de faire une approche à petit pas de loup. Cela lui était difficile, elle n'arrivait pas à s'attacher aux autres, et les autres n'en avait pas grand chose à faire d'elle, surtout avec son silence total. Awena ne pouvait pas parler, était ce sa faute ? La réponse pouvait etre affirmative, pour la simple et bonne raison que c'était elle qui avait cessé de parler, mais elle était tout autant négative. Awena n'avait plus rien à dire d'important, elle n'avait plus personne à qui parler, alors à quoi lui servirait la parole ? Rien.

Elle était assisse sur une table, ses pieds reposant sur une chaise, elle ne faisait rien, elle regardait le mur d'un blanc sale et fisuré par de nombreux endroit, à croire que ce dernier allait s'effondrer, peut etre menacait il de le faire, elle ne savait pas, en fait elle s'en moquait un peu, le plafond pouvait lui tomber dessus, cela n'avait pas d'importance pour elle. Ses doigts jouaient toujours avec sa ficelle. Elle s'amusait inconsciemment à faire des figures avec.

Awena soupira, elle s'ennuyait, elle ne savait pas que faire, elle avait envie de chanter un peu, mais sa voix étant réduit à néant pour le moment, elle savait que ce n'était pas la peine d'essayer, mais surtout elle savait que de toute facon se serait en vain, elle n'avait pas la force de se remettre à chanter tout de suite, la, en ce moment meme alors qu'elle était seule. La jeune fille ferma les yeux un petit moment, lorsqu'un bruit retentit, la porte venait de s'ouvrir, elle regarda qui était la.

Masato entra et vit la jeune fille seule dans la salle.

Je...je dérange ?

*toujours toquer avant d'enter Xp*

Invité

Awena la personne rentrée, un jeune homme semblait il mais elle n'en était pas tout à fait sure. Elle le regarda de ses grands yeux rouges emplient de tristesse, mais elle l'accueillit d'un sourire aux lèvres. Elle n'était pas non plus une brute épaisse qui envoyait tout le monde balader. Elle lui sourit et lui répondit d'un signe de tete qu'il ne la dérangeait pas. Elle l'invita meme à prendre place à ses cotés s'il le souhaitait.
Awena se rendit compte que peut etre était ce elle qui génait, elle restait là dans une salle, alors que cette personne en avait peut etre besoin ? Elle se mit à réfléchir un peu, elle ne savait pas si elle devait partir pour lui laisser la place, et elle ne voyait pas comment lui proposer, alors elle verrait bien ce qu'il dirait, s'il lui demandait de lui laisser la salle, elle la lui laisserait.

S'assoit au près d'Enor.
Masato vit une larme briller dans les yeux d'Enor et lui tendit un mouchoir(brodé à la main, merci pour les précisions >.<).

Heu...ça va ? Tu va tenir le coup ?

Invité

Awena refusa le mouchoir, elle n'en avait pas besoin, elle avait toujours eu ce regard emplie de tristesse, mais elle constata qu'il devait bien etre la première personne à avoir ce geste envers elle, elle eut un petit sourire qui était vraiment adorable sur ses lèvres, et lorsqu'il lui demanda si elle allait bien, elle affirma, toujours d'un signe de tete, bien sur, elle avait tenu le coup à travers les années alors si elle devait pleurer elle n'allait pas le faire la, maitenant tout de suite devant un étranger, c'était pour sur.
Awena garda un sourire distrait aux lèvres. Elle entendit un petit bruit, elle se leva et se dirigea vers la porte, elle n'avait pas l'intention de partir, mais elle l'ouvrit et une petite boule de poil sauta pour venir lui attérir dans les bras, elle l'attrapa en faisant attention de ne pas lui faire mal et referma la porte. Elle retourna s'asseoir auprès du jeune homme, Caru sur ses genoux, elle le caressa et tourna son regard vers l'inconnu, elle l'observait un peu.

*soupir*

Il remballa son mouchoir et souriat.

C'est mignon comme boule de poils ! Il est à toi ?

*m####, faut pas de questions indiscrète...*

Invité

Awena affirma d'un petit signe de tete lorsqu'il lui demanda si le chat était à elle, oui, c'était bien son petit compagnon qui avait du traverser toute l'école à sa recherche. Elle le caressait tranquillement, et il ronronnait, s'endormant. Awena aimait bien les félins, ils avaient une vie sans soucis pratiquemment, ils passaient leur temps à manger et dormir, ou s'ils ne faisaient pas l'un des deux, ils demandaient de l'affection, n'était ce pas une belle vie ? Bien sur c'était pour les domestiqués car ceux qui vivaient dans la nature, là, c'était une autre histoire. Awena soupira silencieusement, elle avait peur que le jeune homme ne s'ennuie à cause de son silence, ou encore qu'il croit qu'elle ne voulait pas lui adresser la parole, quoi que, si elle n'avait pas voulu, elle lui aurait répondu affirmativement lorsqu'il lui avait demandé s'il dérangeait. Elle haussa les épaules, un peu plongée dans ses pensées, il serait bien qu'elle retrouve sa voix un jour, un jour, oui, mais quand, elle ne le savait pas, elle verrait bien avec le temps et si l'envie de parler à nouveau se faisait vraiment forte alors elle y arriverait surement.

Tu es sûre que ça va...?

Franchement, il s'inquiètait.

Je n'entends pas ta jolie voix sortir de ta bouche...

*il est trop kawai, le minou*

Invité

Awena fronca légèrement les sourcils pendant un court instant, comment pouvait il savoir si sa voix était jolie alors qu'il ne l'avait pas entendu ? Elle ne comprenait pas. La jeune fille n'avait pas comprit que c'était une expression pour dire qu'il voulait l'entendre parler, elle n'était pas accoutumée à ces phrases étranges, du moins elle en avait perdu l'habitude, elle le regarda intriguée jusqu'à ce qu'elle se dise qu'il ne fallait pas chercher à comprendre puisqu'il n'y avait rien à comprendre.
Awena pencha un tout petit peu la tete sur le coté après avoir affirmer d'un signe de tete encore, qu'elle allait bien. Elle se demanda comment elle pouvait lui faire comprendre qu'elle ne pouvait pas parler alors que c'était tout simple. Elle pointa un doigt sur sa gorge et fit un signe qui s'en suivit pour expliquer que sa voix était morte puis elle fit un petit sourire plutot chaleureux mais s'il observait bien, il verrait que ce n'était pas un véritable sourire, plus un rictus dépourvu de tout sur un visage bien triste. Elle gardait pourtant le sourire, elle ne souhaitait pas désespérer le jeune homme avec une vision d'elle sombre.

*tout surpris*

Ah...! Je...je suis totallement confu...Je suis désolé, mais vraiment beaucoup, je...ne savais pas.

Comme il ne voulait pas tourmenter encore plus Enor, Masato se tut. Il s'approcha d'une table vide avec seulement une chaise et s'assayat dessus. Celle-ci était proche d'une fenêtre. Il jetta un coup d'oeil vers la boule de poils, se retourna et se mit à comtemplerla fenêtre. Il resta dans cette pose pendant quelques instant, en pensant que Enor lui en voudrait toute la vie. Pourquoi ? Il n'en avait pas la moindre idée. Mais il le pensait.

*cette fille toute mimi n'a plus de voix, elle ne pourrat plus chanter sa chanson préféré, elle ne poura pas parler de ses futurs projets, elle ne pourra plus répéter des choses drôles qui passe à la télé. Elle ne pourra plus utiliser sa voix, plus jamais...Plus jamais...*

Masato eu une mine triste, quelques oiseaux passaient près de la fenêtre. Les nuages se firent de plus en plus dense, un orage se préparait...Tout ça à cause de Masato et de son pouvoir..Si il le pouvait, il voulait rendre la voix d'Enor.

Invité

Awena pencha légèrement la tete sur le coté, pourquoi s'excusait il ? Il n'avait rien fait de mal, décidemment, elle ne comprendrait jamais cette manie qu'avaient les gens de s'excuser pour un rien alors qu'ils n'étaient pas en cause, la seule déduction qu'elle avait eu était qu'ils s'excusaient en pensant avoir dit quelque chose de mal qui pouvait éveiller de mauvais souvenirs, c'était cette conclusion la, qu'elle avait eu.
Awena regarda le jeune homme s'en aller vers une table, avait elle fait quelque chose qu'il ne fallait pas ? Elle le regarda de ses grands yeux, elle cherchait à comprendre un peu. Elle trouvait qu'il avait un air un peu triste, elle se demandait ce qui se passait. Elle se leva après un long moment d'hésitation entre sortir de la salle pour le laisser tranquille, ne pas poubger d'ou elle était ou encore s'approcher de lui, elle avait finit par se décider et s'approcha de lui.
La jeune fille marcha tout doucement vers lui, Caru dans ses bras, elle le posa sur une table et elle s'arreta à quelques centimètres de l'adolescent. Elle hésita encore un instant, avant de poser sa main sur son épaule, avec délicatesse, ne sachant pas la réaction qu'il aurait. Elle le regardait d'un regard bienveillant, elle ne savait pas ce qu'il avait mais elle ne voulait pas qu'il soit triste pour une quelconque raison. Awena le regarda, un sourire aux lèvres.
Le ciel avait pris une étrange couleur, et commencait à tonner, elle se demandait pourquoi, il avait été si clair, l'instant d'auparavant.

Masato, fut un intant surpris que la jeune fille posa sa main sure son épaule. Le sourire chalereux d'Enor fit apparaitre le sien, il se sentait bien, maintenant. Le ciel recommençait a repprendre ses couleurs bleus pastels et les nuages se dissipèrent.

Merci...

Les mots de Masato ressemblaient à un murmure à peine auditible, mais il savait que Enor, qui avait un bon coeur, l'avait entendu.

Invité

La jeune fille gardait son sourire doux, quelque peu attenué par ses grands yeux. Elle entendit le mot du jeune homme mais elle n'affirma que d'un faible de tete, elle etait captivée par autre chose. Le ciel, qu'avait il ? Pourquoi etait il ainsi ? Awena n'y comprenait rien, cet horizon si éloigné en ce jour jouait des tours, il passait d'un ravissant bleue ciel a un temps qui avait tendance a demoraliser les gens. Elle l'observait, la mian posée sur l'epaule de l'élève, elle cherchait a comprendre ce qui se passait. Un air intrigué sur le visage. Elle s'apercut apres un moment qu'elle n'avait pas réagit, elle secoua la tete et regarda Masato, elle lui sourit, et tappota son epaule. Elle lui affirmait que ce n'etait rien.